Abidjan – Au terme de la séance plénière qui a réuni les partis politiques et les acteurs de la société civile ivoirienne, le Premier ministre, Amadou Gon entend faire des propositions concrètes aux acteurs concernés par la réforme de la commission électorale indépendante (CEI) en vue de l’adoption d’un texte consensuel à soumettre au conseil des ministres.
« Nous avons aujourd’hui tous les instruments en main pour pouvoir faire des propositions qui vont être maintenant à la base de discussions définitives avec les acteurs qui iront au Conseil des ministres" , a déclaré M. Gon à l’auditorium du Ministère des Affaires étrangères, mardi.
Il a fait remarquer que des points de convergence et quelques points de divergence à approfondir ont été notés, notamment sur la représentation des différents acteurs des partis politiques et des membres de la société civile, au sein des structures de la la future CEI .
« Nous arrivons à la phase de propositions concrètes que nous ferons bientôt aux acteurs pour pouvoir clore ce dossier », a-t-il indiqué. Il a insisté sur la mise en place de la CEI au cours du mois de Juin " pour lui permettre de préparer dans la sérénité l’élection présidentielle de 2020".
" Chaque pays développe ses modèles selon sa propre histoire politique, son organisation institutionnelle et ses valeurs administratives", a rappelé le chef du gouvernement dans son adresse à l’entame de cette plénière. Une coalition de l’opposition dont fait partie le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et le groupement EDS, n’a pas participé à cette séance plénière.
Le gouvernement ivoirien avait déploré, le 29 mai dernier, l’absence du PDCI et du groupement EDS, sur les neuf partis et groupements politiques attendus aux discussions aux séances du Comité restreint, cadre de discussions unanimement adopté après les séances plénières.
Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly avait échangé, le 3 juin dernier, à son cabinet à Abidjan, avec le corps diplomatique ainsi que les partenaires de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la question de la réforme de la commission électorale indépendante (CEI).
Sur instruction du président de la République, Alassane Ouattara, Gon Coulibaly a initié, depuis le 21 janvier, un dialogue politique national en vue du réexamen de la composition de la CEI, conformément à l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples.
Le Gouvernement a tenu, à ce jour, 10 rencontres, dont quatre avec des plateformes d’organisations de la société civile, et six autres avec les partis et groupements politiques, a-t-on appris.
nmfa/ask
« Nous avons aujourd’hui tous les instruments en main pour pouvoir faire des propositions qui vont être maintenant à la base de discussions définitives avec les acteurs qui iront au Conseil des ministres" , a déclaré M. Gon à l’auditorium du Ministère des Affaires étrangères, mardi.
Il a fait remarquer que des points de convergence et quelques points de divergence à approfondir ont été notés, notamment sur la représentation des différents acteurs des partis politiques et des membres de la société civile, au sein des structures de la la future CEI .
« Nous arrivons à la phase de propositions concrètes que nous ferons bientôt aux acteurs pour pouvoir clore ce dossier », a-t-il indiqué. Il a insisté sur la mise en place de la CEI au cours du mois de Juin " pour lui permettre de préparer dans la sérénité l’élection présidentielle de 2020".
" Chaque pays développe ses modèles selon sa propre histoire politique, son organisation institutionnelle et ses valeurs administratives", a rappelé le chef du gouvernement dans son adresse à l’entame de cette plénière. Une coalition de l’opposition dont fait partie le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et le groupement EDS, n’a pas participé à cette séance plénière.
Le gouvernement ivoirien avait déploré, le 29 mai dernier, l’absence du PDCI et du groupement EDS, sur les neuf partis et groupements politiques attendus aux discussions aux séances du Comité restreint, cadre de discussions unanimement adopté après les séances plénières.
Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly avait échangé, le 3 juin dernier, à son cabinet à Abidjan, avec le corps diplomatique ainsi que les partenaires de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la question de la réforme de la commission électorale indépendante (CEI).
Sur instruction du président de la République, Alassane Ouattara, Gon Coulibaly a initié, depuis le 21 janvier, un dialogue politique national en vue du réexamen de la composition de la CEI, conformément à l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples.
Le Gouvernement a tenu, à ce jour, 10 rencontres, dont quatre avec des plateformes d’organisations de la société civile, et six autres avec les partis et groupements politiques, a-t-on appris.
nmfa/ask
