Notre investissement d’aujourd’hui sur les enfants est un gage de prospérité et de paix pour demain ». C’est la déclaration faite par Yehualachet Mekonen, chef de projet à l’Institut africain indépendant. Il a prononcé ces mots, le 18 juin dernier, au siège (Cocody) du Conseil national des Droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndh Ci). C’était à l’occasion du Forum de lancement et de plaidoyer sur "le Rapport africain sur le bien-être de l’enfant 2018 : Bienveillance envers les enfants-progrès des gouvernants africains".
A la lecture de ce Rapport, il a fait remarquer que les droits de l’enfant ne sont toujours pas respectés. « Les taux de retard de croissance chez les enfants ont baissé de 38 à 30% entre 2000 et 2016, mais le nombre d’enfants atteints de retard de croissance a augmenté de huit (08) millions sur la même période. Seul un enfant sur quatre (04) a accès à l’éducation maternelle en Afrique », a-t-il souligné. Gustave Gbanhé, vice-président du Forum des Ong et Associations d’aide à l’enfance en difficulté, a, lui aussi, fait le même constat « En parcourant ce Rapport de façon succincte, j’ai retenu trois (03) aspects. Le premier, c’est la piètre éducation, le second, c’est la malnutrition qui a des impacts sur les enfants et le troisième aspect, c’est la question de l’employabilité de la jeunesse. Une jeunesse qui est oisive », a-t-il dénoncé. « Que faisons-nous pour protéger les enfants ? Qu’est ce qui a été fait ? Que reste-t-il à faire ? Que devons-nous faire pour leur offrir une égalité de chances et davantage d’opportunités et de bien-être ? », S’est interrogée la présidente Conseil national des Droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndh Ci).
D.KM
A la lecture de ce Rapport, il a fait remarquer que les droits de l’enfant ne sont toujours pas respectés. « Les taux de retard de croissance chez les enfants ont baissé de 38 à 30% entre 2000 et 2016, mais le nombre d’enfants atteints de retard de croissance a augmenté de huit (08) millions sur la même période. Seul un enfant sur quatre (04) a accès à l’éducation maternelle en Afrique », a-t-il souligné. Gustave Gbanhé, vice-président du Forum des Ong et Associations d’aide à l’enfance en difficulté, a, lui aussi, fait le même constat « En parcourant ce Rapport de façon succincte, j’ai retenu trois (03) aspects. Le premier, c’est la piètre éducation, le second, c’est la malnutrition qui a des impacts sur les enfants et le troisième aspect, c’est la question de l’employabilité de la jeunesse. Une jeunesse qui est oisive », a-t-il dénoncé. « Que faisons-nous pour protéger les enfants ? Qu’est ce qui a été fait ? Que reste-t-il à faire ? Que devons-nous faire pour leur offrir une égalité de chances et davantage d’opportunités et de bien-être ? », S’est interrogée la présidente Conseil national des Droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndh Ci).
D.KM