Toulepleu-(Côte d’Ivoire) - La 19ème Journée internationale des réfugiés a été commémorée, jeudi à Toulepleu, a constaté APA sur place dans cette localité, située à environ 580 kilomètres d’Abidjan dans l’ouest ivoirien.
C'est le Préfet de Toulepleu, Brahima Cissé, qui a lancé ce cri de cœur à l'endroit des 78 réfugiés, fraîchement, venus, la veille, du Libéria.
L'autorité administrative insisté sur la nécessité « de sortir de l’état d’assisté pour se prendre en charge », souhaitant que l’arrivée successive des réfugiés « contribue valablement à la cohésion sociale et au retour définitif de la paix en Côte d’Ivoire et en particulier dans le Cavally ».
Auparavant le Représentant –Résident du Haut Commissariat des Réfugiés (HCR) en Côte d’Ivoire, Askia Mohamed Touré, a indiqué qu'« aujourd’hui plus que jamais, accueillir et protéger les réfugiés relève d’une responsabilité mondiale ».
Askia Touré a salué la légendaire tradition d’accueil des réfugiés de la Côte d’Ivoire de même que les efforts fournis par les autorités.
« Celles-ci se manifestent aussi bien dans le domaine de l’identification, de la santé que de l’autonomisation des réfugiés », a-t-il noté.
« Notre engagement auprès des réfugiés et des rapatriés s’inscrit dans une responsabilité interinstitutionnelle collective, au sein de laquelle le HCR en Côte d’Ivoire apporte sa compétence en matière de protection et son expertise en matière de réintégration », a par ailleurs expliqué M. Touré lors cette cérémonie.
C’est pourquoi, a insisté le premier responsable du HCR en terre ivoirienne, « il est indispensable que tous les acteurs de bonne volonté répondent, dans la mesure de leurs capacités, aux besoins immenses des communautés de réfugiés, de demandeurs d’asile, de rapatriés et d’apatrides ».
La Côte d’Ivoire comptait environ plus de 300 000 réfugiés dans les pays limitrophes au lendemain de la crise post-électorale de 2010-2011 dont près de 271 000 sont retournés en Côte d’Ivoire.
SY/hs/ls
C'est le Préfet de Toulepleu, Brahima Cissé, qui a lancé ce cri de cœur à l'endroit des 78 réfugiés, fraîchement, venus, la veille, du Libéria.
L'autorité administrative insisté sur la nécessité « de sortir de l’état d’assisté pour se prendre en charge », souhaitant que l’arrivée successive des réfugiés « contribue valablement à la cohésion sociale et au retour définitif de la paix en Côte d’Ivoire et en particulier dans le Cavally ».
Auparavant le Représentant –Résident du Haut Commissariat des Réfugiés (HCR) en Côte d’Ivoire, Askia Mohamed Touré, a indiqué qu'« aujourd’hui plus que jamais, accueillir et protéger les réfugiés relève d’une responsabilité mondiale ».
Askia Touré a salué la légendaire tradition d’accueil des réfugiés de la Côte d’Ivoire de même que les efforts fournis par les autorités.
« Celles-ci se manifestent aussi bien dans le domaine de l’identification, de la santé que de l’autonomisation des réfugiés », a-t-il noté.
« Notre engagement auprès des réfugiés et des rapatriés s’inscrit dans une responsabilité interinstitutionnelle collective, au sein de laquelle le HCR en Côte d’Ivoire apporte sa compétence en matière de protection et son expertise en matière de réintégration », a par ailleurs expliqué M. Touré lors cette cérémonie.
C’est pourquoi, a insisté le premier responsable du HCR en terre ivoirienne, « il est indispensable que tous les acteurs de bonne volonté répondent, dans la mesure de leurs capacités, aux besoins immenses des communautés de réfugiés, de demandeurs d’asile, de rapatriés et d’apatrides ».
La Côte d’Ivoire comptait environ plus de 300 000 réfugiés dans les pays limitrophes au lendemain de la crise post-électorale de 2010-2011 dont près de 271 000 sont retournés en Côte d’Ivoire.
SY/hs/ls