Abidjan- Le ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Bakayoko-Ly Ramata, a partagé le modèle ivoirien en matière d’éducation des filles et de formation des femmes, au cours d’une table ronde ministérielle, à la Conférence internationale de la Francophonie, à Ndjamena (Tchad), fait savoir un communiqué transmis lundi à l’AIP.
Au cours de cette rencontre qui a eu lieu, mardi et mercredi, autour du thème « L’éducation des filles et la formation des femmes dans l’espace francophone: défis, bonnes pratiques et pistes d'actions », Pr Bakayoko a indiqué que le secteur de l’éducation/formation constitue une priorité pour l’Etat qui y consacre plus de 22 % du budget national. « La Côte d’Ivoire a fait de l’éducation de la fille et de la formation de la femme, un axe essentiel de sa politique avec une approche inclusive et holistique de la question », signifie la note.
Elle a relevé plusieurs actions et stratégies mises en œuvre en faveur de la gente féminine notamment la construction d’internats pour jeunes filles, la lutte contre les grossesses en milieu scolaire, la création de clubs des mères d’élèves filles (CMEF), le Fonds d’appui à la promotion de la femme enseignant-chercheur et chercheur de Côte d’Ivoire (FAPECI), l’octroi de quotas aux filles pour les logements et les bourses, l’appui aux différents clubs et associations d’étudiants œuvrant pour l’équité et la promotion du genre.
« Toutes ces actions coordonnées ont contribué à la promotion de la scolarisation et au maintien des filles à l’école avec un indice de parité dans le préscolaire en faveur de la petite fille de 1,08 et la presque parité au primaire (indice de parité : 0,99) », précise le communiqué.
Elle a également montré comment le Programme social du gouvernement va accompagner cette approche inclusive en termes de construction d’infrastructures scolaires et universitaires, d’autonomisation de la femme et d’emplois stables et décents pour les jeunes et les femmes.
Bakayoko-Ly Ramata a par ailleurs souligné qu’il existe des défis importants auxquels la Côte d’Ivoire doit faire face pour une scolarisation accrue de la jeune fille, à savoir, l’insuffisance des infrastructures, le déficit en ressources humaines, la persistance des mariages précoces et des grossesses en cours de scolarité, les violences en milieu scolaire, le faible taux d’achèvement dans les collèges (52%) et lycées (25%).
La ministre a également pris part à l’atelier qui avait pour thème « Alphabétisation et éducation non formelle, quelles compétences pour le 21ème siècle ? »
ena/ask
Au cours de cette rencontre qui a eu lieu, mardi et mercredi, autour du thème « L’éducation des filles et la formation des femmes dans l’espace francophone: défis, bonnes pratiques et pistes d'actions », Pr Bakayoko a indiqué que le secteur de l’éducation/formation constitue une priorité pour l’Etat qui y consacre plus de 22 % du budget national. « La Côte d’Ivoire a fait de l’éducation de la fille et de la formation de la femme, un axe essentiel de sa politique avec une approche inclusive et holistique de la question », signifie la note.
Elle a relevé plusieurs actions et stratégies mises en œuvre en faveur de la gente féminine notamment la construction d’internats pour jeunes filles, la lutte contre les grossesses en milieu scolaire, la création de clubs des mères d’élèves filles (CMEF), le Fonds d’appui à la promotion de la femme enseignant-chercheur et chercheur de Côte d’Ivoire (FAPECI), l’octroi de quotas aux filles pour les logements et les bourses, l’appui aux différents clubs et associations d’étudiants œuvrant pour l’équité et la promotion du genre.
« Toutes ces actions coordonnées ont contribué à la promotion de la scolarisation et au maintien des filles à l’école avec un indice de parité dans le préscolaire en faveur de la petite fille de 1,08 et la presque parité au primaire (indice de parité : 0,99) », précise le communiqué.
Elle a également montré comment le Programme social du gouvernement va accompagner cette approche inclusive en termes de construction d’infrastructures scolaires et universitaires, d’autonomisation de la femme et d’emplois stables et décents pour les jeunes et les femmes.
Bakayoko-Ly Ramata a par ailleurs souligné qu’il existe des défis importants auxquels la Côte d’Ivoire doit faire face pour une scolarisation accrue de la jeune fille, à savoir, l’insuffisance des infrastructures, le déficit en ressources humaines, la persistance des mariages précoces et des grossesses en cours de scolarité, les violences en milieu scolaire, le faible taux d’achèvement dans les collèges (52%) et lycées (25%).
La ministre a également pris part à l’atelier qui avait pour thème « Alphabétisation et éducation non formelle, quelles compétences pour le 21ème siècle ? »
ena/ask
