Une approche cartographique unique qui donnera aux petits exploitants « la meilleure solution pour savoir au mieux quoi, où et comment cultiver », a été désignée comme lauréate du Prix Olam 2019 pour l’innovation en matière de sécurité alimentaire, grâce à son potentiel d’amélioration de la productivité des zones et pays touchés par l’insécurité alimentaire.
Dans sa volonté de repenser l’agriculture mondiale et les systèmes alimentaires, Olam, entreprise agroalimentaire singapourienne présente en Côte d’Ivoire depuis 25 ans, a lancé le Prix Olam pour l’Innovation dans la sécurité alimentaire en partenariat avec l’Agropolis Fondation, fondation scientifique française.
Ce prix vise à accroître la productivité des producteurs en soutenant la recherche. Le lauréat reçoit un montant sans restriction de 75 000 US$ (43 millions FCFA) pour le développement d’une recherche éprouvée.
Cette année, le prix Olam a donc été décerné au modèle « Innovation Mapping for Food Security » (IM4FS), développé par une équipe de recherche coordonnée par le Dr Tomaso Ceccarelli du centre de recherche environnementale Wageningen (Pays-Bas) et le Dr Elias Eyasu Fantahun de l’université d’Addis-Abeba (Éthiopie).
Le modèle IM4FS permet aux agriculteurs des récoltes nettement supérieures à la moyenne, ainsi que l’autosuffisance grâce à l’application de ces bonnes pratiques.
Ce modèle a la capacité unique de permettre la planification des scénarios facilitant la prise de décisions liées aux paysages agroalimentaires et aux régions touchées par l’insécurité alimentaire. Il crée un outil plus dynamique et interactif pour contribuer à la simulation et à l’engagement des acteurs impliqués, notamment les agriculteurs.
En recevant ce prix, Le Dr Tomaso Ceccarelli, a déclaré : « Ce prix de 75 000 US$ contribuera à financer le déploiement de la collecte de données in situ et à développer l'outil de cartographie pour y inclure la fonction de planification de scénarios. Les cartes pourront ensuite être utilisées par les institutions gouvernementales, les planificateurs et d’autres entités pour simuler le type, le lieu, la date et le mode des interventions agricoles et des investissements à mettre en œuvre. »
Son homologue, le Dr Elias Eyasu Fantahun a ajouté : « Le financement Olam renforcera l’engagement entre nos chercheurs et les planificateurs régionaux, accélérant ainsi l’adoption et la mise en œuvre d’innovations agricoles spécifiques de sorte à améliorer la productivité alimentaire et les moyens de subsistance à plus grande échelle. »
Cette recherche rejoint les travaux pointus menés en Côte d’Ivoire, visant à apporter une solution durable à l’agriculture de subsistance afin d’en accroître le rendement, garantir l’approvisionnement du pays, et améliorer le revenu et le bien-être des producteurs.
Depuis la première remise de ce prix en 2015, des agriculteurs du monde entier ont bénéficié d’innovations gagnantes, reconnues pour leur impact potentiel sur la disponibilité, l'abordabilité, l'accessibilité ou la suffisance des denrées alimentaires.
L’édition 2020 sera bientôt lancée. Les candidatures d’institutions universitaires ou de recherche, de sociétés civiles et du secteur privé en Côte d’Ivoire sont les bienvenues. Elles peuvent concerner n’importe quelle région, environnement, culture ou partie de la chaîne d’approvisionnement agricole.
Dans sa volonté de repenser l’agriculture mondiale et les systèmes alimentaires, Olam, entreprise agroalimentaire singapourienne présente en Côte d’Ivoire depuis 25 ans, a lancé le Prix Olam pour l’Innovation dans la sécurité alimentaire en partenariat avec l’Agropolis Fondation, fondation scientifique française.
Ce prix vise à accroître la productivité des producteurs en soutenant la recherche. Le lauréat reçoit un montant sans restriction de 75 000 US$ (43 millions FCFA) pour le développement d’une recherche éprouvée.
Cette année, le prix Olam a donc été décerné au modèle « Innovation Mapping for Food Security » (IM4FS), développé par une équipe de recherche coordonnée par le Dr Tomaso Ceccarelli du centre de recherche environnementale Wageningen (Pays-Bas) et le Dr Elias Eyasu Fantahun de l’université d’Addis-Abeba (Éthiopie).
Le modèle IM4FS permet aux agriculteurs des récoltes nettement supérieures à la moyenne, ainsi que l’autosuffisance grâce à l’application de ces bonnes pratiques.
Ce modèle a la capacité unique de permettre la planification des scénarios facilitant la prise de décisions liées aux paysages agroalimentaires et aux régions touchées par l’insécurité alimentaire. Il crée un outil plus dynamique et interactif pour contribuer à la simulation et à l’engagement des acteurs impliqués, notamment les agriculteurs.
En recevant ce prix, Le Dr Tomaso Ceccarelli, a déclaré : « Ce prix de 75 000 US$ contribuera à financer le déploiement de la collecte de données in situ et à développer l'outil de cartographie pour y inclure la fonction de planification de scénarios. Les cartes pourront ensuite être utilisées par les institutions gouvernementales, les planificateurs et d’autres entités pour simuler le type, le lieu, la date et le mode des interventions agricoles et des investissements à mettre en œuvre. »
Son homologue, le Dr Elias Eyasu Fantahun a ajouté : « Le financement Olam renforcera l’engagement entre nos chercheurs et les planificateurs régionaux, accélérant ainsi l’adoption et la mise en œuvre d’innovations agricoles spécifiques de sorte à améliorer la productivité alimentaire et les moyens de subsistance à plus grande échelle. »
Cette recherche rejoint les travaux pointus menés en Côte d’Ivoire, visant à apporter une solution durable à l’agriculture de subsistance afin d’en accroître le rendement, garantir l’approvisionnement du pays, et améliorer le revenu et le bien-être des producteurs.
Depuis la première remise de ce prix en 2015, des agriculteurs du monde entier ont bénéficié d’innovations gagnantes, reconnues pour leur impact potentiel sur la disponibilité, l'abordabilité, l'accessibilité ou la suffisance des denrées alimentaires.
L’édition 2020 sera bientôt lancée. Les candidatures d’institutions universitaires ou de recherche, de sociétés civiles et du secteur privé en Côte d’Ivoire sont les bienvenues. Elles peuvent concerner n’importe quelle région, environnement, culture ou partie de la chaîne d’approvisionnement agricole.