Le représentant spécial du secrétaire général des Nations-Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Mohamed Ibn Chambas, a appelé mercredi à Abidjan les Ivoiriens à redoubler d’efforts pour le « succès » de la présidentielle d’octobre 2020.
Img : Ibn Chambas appelle les Ivoiriens à redoubler d’efforts pour le «succès» de la présidentielle de 2020
M. Ibn Chambas s’exprimait face aux caméras, à l’issue d’un entretien avec le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, à la présidence de la République, au Plateau, le Centre des Affaires d’Abidjan.
Outre les questions de sécurité et de développement de l’Afrique de l’Ouest, du Sahel, et la coopération entre les Nations-Unies et l’Union du fleuve Mano, les deux hommes ont échangé sur la situation socio-politique en Côte d'Ivoire, un pays phare de cette région.
« Tout le monde doit redoubler d’efforts pour que le prochain scrutin présidentiel soit synonyme de succès et de paix pour tout le peuple ivoirien », a dit Ibn Chambas pour qui cela est « une étape majeure dans la consolidation de la démocratie et le développement » du pays.
Le représentant spécial du secrétaire général des Nations-Unies pour l’Afrique de l’Ouest et du Sahel, Mohamed Ibn Chambas, a fait observer que « la Côte d'Ivoire joue un rôle très vital dans la consolidation de la paix et la sécurité dans la sous-région ».
Il a félicité M. Ouattara pour son leadership et surtout « le rôle que la Côte d'Ivoire joue au sein du Conseil de sécurité des Nations-Unies » avant de lui réitérer le « soutien » de l’organisation au peuple ivoirien pour ses aspirations à la paix, à la démocratie et pour le développement.
Les prochaines élections générales en Côte d'Ivoire sont prévues en 2020. Pour éviter une crise comme en 2010/2011, des ONG ont saisi la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples qui a ordonné une réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), actuellement en cours.
L'opposition ivoirienne qui dénonce une « mascarade » dans la réforme de la CEI, institution chargée d'organiser les élections en Côte d'Ivoire, a refusé mercredi dernier de répondre favorablement à une plénière organisée par le gouvernement.
Le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), Henri Konan Bédié, a déclaré à Abidjan que l’opposition est « déterminée» pour une « réforme profonde » de la CEI, face à des militants de base, réfutant une simple recomposition des membres de l’institution.
AP/ls/APA
Img : Ibn Chambas appelle les Ivoiriens à redoubler d’efforts pour le «succès» de la présidentielle de 2020
M. Ibn Chambas s’exprimait face aux caméras, à l’issue d’un entretien avec le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, à la présidence de la République, au Plateau, le Centre des Affaires d’Abidjan.
Outre les questions de sécurité et de développement de l’Afrique de l’Ouest, du Sahel, et la coopération entre les Nations-Unies et l’Union du fleuve Mano, les deux hommes ont échangé sur la situation socio-politique en Côte d'Ivoire, un pays phare de cette région.
« Tout le monde doit redoubler d’efforts pour que le prochain scrutin présidentiel soit synonyme de succès et de paix pour tout le peuple ivoirien », a dit Ibn Chambas pour qui cela est « une étape majeure dans la consolidation de la démocratie et le développement » du pays.
Le représentant spécial du secrétaire général des Nations-Unies pour l’Afrique de l’Ouest et du Sahel, Mohamed Ibn Chambas, a fait observer que « la Côte d'Ivoire joue un rôle très vital dans la consolidation de la paix et la sécurité dans la sous-région ».
Il a félicité M. Ouattara pour son leadership et surtout « le rôle que la Côte d'Ivoire joue au sein du Conseil de sécurité des Nations-Unies » avant de lui réitérer le « soutien » de l’organisation au peuple ivoirien pour ses aspirations à la paix, à la démocratie et pour le développement.
Les prochaines élections générales en Côte d'Ivoire sont prévues en 2020. Pour éviter une crise comme en 2010/2011, des ONG ont saisi la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples qui a ordonné une réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), actuellement en cours.
L'opposition ivoirienne qui dénonce une « mascarade » dans la réforme de la CEI, institution chargée d'organiser les élections en Côte d'Ivoire, a refusé mercredi dernier de répondre favorablement à une plénière organisée par le gouvernement.
Le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), Henri Konan Bédié, a déclaré à Abidjan que l’opposition est « déterminée» pour une « réforme profonde » de la CEI, face à des militants de base, réfutant une simple recomposition des membres de l’institution.
AP/ls/APA