Abengourou - Le ministre ivoirien des Mines et de Géologie, Jean-Claude Kouassi, engage la brigade anti-orpaillage clandestin, en place à Abengourou, à poursuivre sans relâche la lutte contre le phénomène, et à faire en sorte que les sites déguerpis ne soient plus recolonisés, les exhortant à également à œuvrer à restaurer ces sites aux fins d’être à nouveau exploitables.
« Nous mesurons l’ampleur des dégâts causés dans la zone par le phénomène de l’orpaillage qui, au vu du matériel utilisé, n’a ni d’artisanal, ni de légal », a déclaré, lundi, à Bébou (environ 57 Km au sud d’Abengourou), le ministre Kouassi, saluant l’action de la brigade locale anti-orpaillage, dirigée par le commandant Kouadio N’Guessan Ernest, qui a permis de freiner le désastre écologique en cours dans la région.
Le gouvernement ivoirien a mis en œuvre un code minier réformé, qui a permis aux tribunaux, en ce qui concerne les infractions constatées, d’écrouer des contrevenants qui ont été condamnés à payer, individuellement, 50 millions FCFA à l’Etat de Côte d’Ivoire et, collectivement, 100 millions FCFA au ministère des Mines et de Géologie.
La brigade locale anti-orpaillage a déjà interpellé plusieurs sujets se livrant à cette activité, et saisi un lot d'engins lourds comprenant 31 pelleteuses, qui seront mises aux enchères, au terme d’une procédure administrative. Ces orpailleurs clandestins, contre lesquels une action judiciaire sera engagée, opéreraient sur une zone de plus de 200 kilomètres carrés, avec des dénivellations de 100 mètres de circonférence et d’environ cinq mètres de profondeur.
Rkk/ask
« Nous mesurons l’ampleur des dégâts causés dans la zone par le phénomène de l’orpaillage qui, au vu du matériel utilisé, n’a ni d’artisanal, ni de légal », a déclaré, lundi, à Bébou (environ 57 Km au sud d’Abengourou), le ministre Kouassi, saluant l’action de la brigade locale anti-orpaillage, dirigée par le commandant Kouadio N’Guessan Ernest, qui a permis de freiner le désastre écologique en cours dans la région.
Le gouvernement ivoirien a mis en œuvre un code minier réformé, qui a permis aux tribunaux, en ce qui concerne les infractions constatées, d’écrouer des contrevenants qui ont été condamnés à payer, individuellement, 50 millions FCFA à l’Etat de Côte d’Ivoire et, collectivement, 100 millions FCFA au ministère des Mines et de Géologie.
La brigade locale anti-orpaillage a déjà interpellé plusieurs sujets se livrant à cette activité, et saisi un lot d'engins lourds comprenant 31 pelleteuses, qui seront mises aux enchères, au terme d’une procédure administrative. Ces orpailleurs clandestins, contre lesquels une action judiciaire sera engagée, opéreraient sur une zone de plus de 200 kilomètres carrés, avec des dénivellations de 100 mètres de circonférence et d’environ cinq mètres de profondeur.
Rkk/ask