Proposée pour la présidence de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde a cessé de diriger le Fonds monétaire international (FMI). Durant ses huit années passées à la tête de l'institution, elle a sillonné l’Afrique et contribué à adoucir l’image de « Père Fouettard » du Fonds.
À son arrivée à la tête du FMI, Christine Lagarde a tenté de substituer une image empathique à la réputation d’institution brutale que celui-ci traîne depuis les années noires 1990-2000, des douloureux « ajustements structurels ». Pas toujours avec succès.
Quant à son rapport avec le continent, pour bien des membres du personnel du Fonds, sa priorité n’était pas l’Afrique, mais l’Europe qui, la crise grecque aidant, était le patient malade de la planète. Elle... suite de l'article sur Jeune Afrique
À son arrivée à la tête du FMI, Christine Lagarde a tenté de substituer une image empathique à la réputation d’institution brutale que celui-ci traîne depuis les années noires 1990-2000, des douloureux « ajustements structurels ». Pas toujours avec succès.
Quant à son rapport avec le continent, pour bien des membres du personnel du Fonds, sa priorité n’était pas l’Afrique, mais l’Europe qui, la crise grecque aidant, était le patient malade de la planète. Elle... suite de l'article sur Jeune Afrique