Abidjan (Côte d’Ivoire) - Plusieurs acteurs du secteur privé s’imprègnent des actions de la mise en place définitive de la Stratégie nationale de développement de l’économie bleue, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon le Secrétaire permanent du Comité Interministériel de l’Action de l’Etat en Mer, Abroulaye Fofana, « il s’agit d’impliquer ceux qui vont mettre en œuvre cette stratégie sur le terrain », ajoutant que « ce n’est pas l’Etat qui va mettre en œuvre la stratégie ».
« Nous nous fixons comme objectifs de soutenir cette stratégie (…) les attentes sont grandes », a pour sa part indiqué, Luc Grégoire, le Représentant-Résidant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en Côte d’Ivoire. Le secteur privé attend plus d’actions concrètes pour la mise en place de cette stratégie.
A cet effet, Claude Koutoua, de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI), a souhaité que ce séminaire sorte « des actions concrètes qui permettent d’élaborer des programmes afin d’atteindre les objectifs notamment la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui passe par des actions pour agir sur les ménages et le transport ».
Les menaces et risques de sécurité maritime ont des effets néfastes sur l’économie et le développement humain des Etats du Golfe de Guinée. La complexité de la question a amené les Etats de la zone à développer plusieurs initiatives, tant au niveau sous régional, régional que continental.
Ainsi en Côte d’Ivoire, le gouvernement ivoirien a adopté le 5 novembre 2014 une Stratégie nationale de l’Action de l’Etat en Mer qui énonce dans ses axes stratégiques et ses domaines d’application, la nécessité d’une gestion durable des ressources marines, donc le besoin de développement d’une économie bleue.
Abidjan est l'un des principaux ports de la façade maritime ouest-africaine. Il joue un rôle clé dans le système économique national auquel il procure 85% des recettes douanières.
SY/hs/ls
Selon le Secrétaire permanent du Comité Interministériel de l’Action de l’Etat en Mer, Abroulaye Fofana, « il s’agit d’impliquer ceux qui vont mettre en œuvre cette stratégie sur le terrain », ajoutant que « ce n’est pas l’Etat qui va mettre en œuvre la stratégie ».
« Nous nous fixons comme objectifs de soutenir cette stratégie (…) les attentes sont grandes », a pour sa part indiqué, Luc Grégoire, le Représentant-Résidant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en Côte d’Ivoire. Le secteur privé attend plus d’actions concrètes pour la mise en place de cette stratégie.
A cet effet, Claude Koutoua, de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI), a souhaité que ce séminaire sorte « des actions concrètes qui permettent d’élaborer des programmes afin d’atteindre les objectifs notamment la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui passe par des actions pour agir sur les ménages et le transport ».
Les menaces et risques de sécurité maritime ont des effets néfastes sur l’économie et le développement humain des Etats du Golfe de Guinée. La complexité de la question a amené les Etats de la zone à développer plusieurs initiatives, tant au niveau sous régional, régional que continental.
Ainsi en Côte d’Ivoire, le gouvernement ivoirien a adopté le 5 novembre 2014 une Stratégie nationale de l’Action de l’Etat en Mer qui énonce dans ses axes stratégiques et ses domaines d’application, la nécessité d’une gestion durable des ressources marines, donc le besoin de développement d’une économie bleue.
Abidjan est l'un des principaux ports de la façade maritime ouest-africaine. Il joue un rôle clé dans le système économique national auquel il procure 85% des recettes douanières.
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