A la veille du match qui les opposera aux éléphants de Côte d’Ivoire, dans le cadre des 8e de finale de cette CAN 2019, on peut dire que les maliens avec en tête le sélectionneur Mohamed Magassouba sont confiants.
Au cours de la conférence de presse d’avant-match, il a réaffirmé cela face aux médias : « Je pense que nous avons fait une très bonne première phase. Nous sommes convaincus que nous avons des valeurs et que nous allons poursuivre notre aventure. Nous avons préparé une CAN. Nous allons avancer » a-t-il déclaré tout confiant.
« Un entraîneur n’est jamais satisfait. Nous travaillons pour faire plaisir au pays, par le patriotisme... Aucun match ne ressemble à un autre. Nous sommes sur notre planète technique. Nous nous nourrissons de l’esprit »
Sur 30 rencontres entre la Côte d’Ivoire et le Mali, les éléphants mènent avec 19 victoires contre 3 pour les aigles et 8 matchs nuls. Mais pour Magassouba, ce sont des histoires.
« L’histoire, c’est pour les historiens. Si nous devions tenir compte de l’histoire, certaines équipes ne seraient pas là, jusqu’à être premiers de leurs poules (parlant de Madagascar NDLR)» a-t’il indiqué.
Les ivoiriens sont prévenus.
Atapointe, envoyé spécial en Égypte
Au cours de la conférence de presse d’avant-match, il a réaffirmé cela face aux médias : « Je pense que nous avons fait une très bonne première phase. Nous sommes convaincus que nous avons des valeurs et que nous allons poursuivre notre aventure. Nous avons préparé une CAN. Nous allons avancer » a-t-il déclaré tout confiant.
« Un entraîneur n’est jamais satisfait. Nous travaillons pour faire plaisir au pays, par le patriotisme... Aucun match ne ressemble à un autre. Nous sommes sur notre planète technique. Nous nous nourrissons de l’esprit »
Sur 30 rencontres entre la Côte d’Ivoire et le Mali, les éléphants mènent avec 19 victoires contre 3 pour les aigles et 8 matchs nuls. Mais pour Magassouba, ce sont des histoires.
« L’histoire, c’est pour les historiens. Si nous devions tenir compte de l’histoire, certaines équipes ne seraient pas là, jusqu’à être premiers de leurs poules (parlant de Madagascar NDLR)» a-t’il indiqué.
Les ivoiriens sont prévenus.
Atapointe, envoyé spécial en Égypte
