Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part, ce dimanche 07 juillet 2019, à Niamey (Niger), aux côtés d’une trentaine de Chefs d’Etat et de Gouvernement, au 12ème Sommet extraordinaire de l’Union Africaine (UA) consacré au lancement de la phase opérationnelle de l’Accord sur la Zone de Libre – Echange Continentale africaine (ZLECaf).
La ZLECaf vise à créer un marché unique pour les marchandises et les services afin de renforcer l’intégration économique du continent et d’améliorer les conditions de vie des populations.
Au terme des travaux, le Chef de l’Etat, après avoir félicité les autorités nigériennes, en particulier le Président ISSOUFOU Mahamadou, pour la qualité de l’organisation, a indiqué que ce fût un « très bon Sommet, une belle réussite ».
Il a souligné qu’au cours de leurs travaux, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont passé en revue les différents textes qui fondent la ZLECAF afin de s’accorder sur ce qu’il reste à faire d’ici le 1er juillet 2020, date butoir pour la mise en oeuvre effective de ce Traité. Il a insisté sur la nécessité d’une véritable volonté politique et d’une détermination à respecter le plan de mise en oeuvre de la ZLECAF, notamment la levée définitive des entraves au développement des échanges intra-africains.
À cet égard, le Président de la République a indiqué, qu’au niveau du commerce intra-africain, la Côte d’Ivoire, à ce jour, a le taux de couverture de commerce avec les autres pays africains le plus élevé, avec 23 à 24%, contre une moyenne générale de 7%.
Sur cette question, le Chef de l’Etat a révélé avoir insisté, dans son intervention, sur le fait que la Côte d’Ivoire, qui a une économie libérale, a toujours été ouverte aux investisseurs et aux entrepreneurs étrangers et que le moment était venu pour tous les Etats membres de notre Union, de permettre aux entreprises et aux investisseurs ivoiriens de s’installer, en toute liberté, dans le pays de leur choix, sur le continent.
Pour terminer, le Président Alassane OUATTARA a réaffirmé sa foi dans le Commerce, notamment le commerce intra- africain, qui demeure la « clé du développement ». Pour lui, si les pays africains acceptent de développer le commerce entre eux, la croissance économique ne sera que plus forte. Toute chose qui contribuera significativement à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Notons que la cérémonie d’ouverture de ce 12ème Sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine a été marquée par plusieurs interventions dont celles du Président de la République arabe d’Egypte, Président en exercice de l’Union Africaine, S.E.M. Abdel Fattah AL SISSI, du Président de la République du Niger, pays hôte du Sommet, S.E.M. ISSOUFOU Mahamadou et du Président de la Commission de l’Organisation panafricaine, M. Moussa Faki MAHAMAT.
Tous ont salué l’entrée en vigueur de la ZLECaf et mis en exergue les retombées potentielles de ce vaste marché commun africain. Ils ont remercié et félicité tous les Chefs d’Etat qui ont oeuvré à rendre opérationnel cet instrument d’intégration économique et les ont encouragés à traduire leurs engagements en actions concrètes pour le bonheur des populations africaines.
Au terme des travaux, le Président de la République a quitté Niamey pour Paris (France).
La ZLECaf vise à créer un marché unique pour les marchandises et les services afin de renforcer l’intégration économique du continent et d’améliorer les conditions de vie des populations.
Au terme des travaux, le Chef de l’Etat, après avoir félicité les autorités nigériennes, en particulier le Président ISSOUFOU Mahamadou, pour la qualité de l’organisation, a indiqué que ce fût un « très bon Sommet, une belle réussite ».
Il a souligné qu’au cours de leurs travaux, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont passé en revue les différents textes qui fondent la ZLECAF afin de s’accorder sur ce qu’il reste à faire d’ici le 1er juillet 2020, date butoir pour la mise en oeuvre effective de ce Traité. Il a insisté sur la nécessité d’une véritable volonté politique et d’une détermination à respecter le plan de mise en oeuvre de la ZLECAF, notamment la levée définitive des entraves au développement des échanges intra-africains.
À cet égard, le Président de la République a indiqué, qu’au niveau du commerce intra-africain, la Côte d’Ivoire, à ce jour, a le taux de couverture de commerce avec les autres pays africains le plus élevé, avec 23 à 24%, contre une moyenne générale de 7%.
Sur cette question, le Chef de l’Etat a révélé avoir insisté, dans son intervention, sur le fait que la Côte d’Ivoire, qui a une économie libérale, a toujours été ouverte aux investisseurs et aux entrepreneurs étrangers et que le moment était venu pour tous les Etats membres de notre Union, de permettre aux entreprises et aux investisseurs ivoiriens de s’installer, en toute liberté, dans le pays de leur choix, sur le continent.
Pour terminer, le Président Alassane OUATTARA a réaffirmé sa foi dans le Commerce, notamment le commerce intra- africain, qui demeure la « clé du développement ». Pour lui, si les pays africains acceptent de développer le commerce entre eux, la croissance économique ne sera que plus forte. Toute chose qui contribuera significativement à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Notons que la cérémonie d’ouverture de ce 12ème Sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine a été marquée par plusieurs interventions dont celles du Président de la République arabe d’Egypte, Président en exercice de l’Union Africaine, S.E.M. Abdel Fattah AL SISSI, du Président de la République du Niger, pays hôte du Sommet, S.E.M. ISSOUFOU Mahamadou et du Président de la Commission de l’Organisation panafricaine, M. Moussa Faki MAHAMAT.
Tous ont salué l’entrée en vigueur de la ZLECaf et mis en exergue les retombées potentielles de ce vaste marché commun africain. Ils ont remercié et félicité tous les Chefs d’Etat qui ont oeuvré à rendre opérationnel cet instrument d’intégration économique et les ont encouragés à traduire leurs engagements en actions concrètes pour le bonheur des populations africaines.
Au terme des travaux, le Président de la République a quitté Niamey pour Paris (France).