Niamey (Niger)- Le président nigérien, Mahamadou Issoufou, hôte de la 12è réunion extraordinaire du sommet de l’Union africaine au palais des congrès à Niamey, a plaidé, lors de l’ouverture des travaux, pour une Afrique "intégrée, prospère et pacifique".
Champion de la zone de libre-échange commerciale continentale africaine (ZLECAf) qui entre dans sa phase opérationnelle, le président nigérien a rappelé que la mise en oeuvre de l’Agenda 2063, tel qu’adopté en 2013 à la célébration du jubilé d’or de l’OUA et soutenu par les aspirations des peuples africains, permettra de définir une Afrique que "nous voulons en 2063".
Pour y arriver, des plans décennaux ont été conçus pour prendre en compte les 11 projets phares contenu dans l’Agenda. Au nombre de ces projets, les infrastructures occupent une place de choix pour favoriser l’opérationnalisation de la zone de libre-échange.
"La ZLECAf n’est donc pas un programme isolé", mais, avec les autres plans et programmes de l’Union africaine, elle forme un tout cohérent dans la perspective de renforcer l’intégration régionale et continentale et atteindre les objectifs de l’agenda 2063.
Pour le chef de l’Etat nigérien, la réalisation de tous ces plans et programmes permettra d’élever le niveau des exportations intra-africaines, estimées à 15% de toutes les exportations du continent en deçà de celles de l’Europe évaluées à 70%, intra-asiatiques qui sont de l’ordre de 50%.
C’est pourquoi, imitant une métaphore béninoise, il a appelé tous les africains, à travers la ZLECAf qui vient d’entrer en vigueur, de s’accaparer la vision, les aspirations et les objectifs de l’agenda 2063 pour "boucher tous les trous de la jarre percée".
La ZLECAf c’est un marché de 1,27 milliard de consommateurs potentiels et plus 2500 milliards de dollars de PIB dans un espace de 84 000 km de frontières avec des potentialités commerciales immenses.
kp
Champion de la zone de libre-échange commerciale continentale africaine (ZLECAf) qui entre dans sa phase opérationnelle, le président nigérien a rappelé que la mise en oeuvre de l’Agenda 2063, tel qu’adopté en 2013 à la célébration du jubilé d’or de l’OUA et soutenu par les aspirations des peuples africains, permettra de définir une Afrique que "nous voulons en 2063".
Pour y arriver, des plans décennaux ont été conçus pour prendre en compte les 11 projets phares contenu dans l’Agenda. Au nombre de ces projets, les infrastructures occupent une place de choix pour favoriser l’opérationnalisation de la zone de libre-échange.
"La ZLECAf n’est donc pas un programme isolé", mais, avec les autres plans et programmes de l’Union africaine, elle forme un tout cohérent dans la perspective de renforcer l’intégration régionale et continentale et atteindre les objectifs de l’agenda 2063.
Pour le chef de l’Etat nigérien, la réalisation de tous ces plans et programmes permettra d’élever le niveau des exportations intra-africaines, estimées à 15% de toutes les exportations du continent en deçà de celles de l’Europe évaluées à 70%, intra-asiatiques qui sont de l’ordre de 50%.
C’est pourquoi, imitant une métaphore béninoise, il a appelé tous les africains, à travers la ZLECAf qui vient d’entrer en vigueur, de s’accaparer la vision, les aspirations et les objectifs de l’agenda 2063 pour "boucher tous les trous de la jarre percée".
La ZLECAf c’est un marché de 1,27 milliard de consommateurs potentiels et plus 2500 milliards de dollars de PIB dans un espace de 84 000 km de frontières avec des potentialités commerciales immenses.
kp
