Les ministres en charge de la défense et de la sécurité de l’Initiative d’Accra se sont retrouvés vendredi à Abidjan dans le cadre de leur 5ème réunion, pour faire le bilan de leurs actions communes pour la sécurisation de leur pays.
Selon le ministre d’Etat ivoirien, ministre de la Défense, Ahmed Bakayoko, cette plateforme, en moins de deux ans, a renforcé la collaboration entre les services de sécurité et permis aux Etats membres de faire avorter plusieurs tentatives de déstabilisation. « La mutualisation des moyens opérationnels et le partage du renseignement apparaissent comme la clé de succès de cette lutte contre le terrorisme et toutes les autres formes de menace », a-t-il indiqué.
En présence de son collègue de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité ainsi que du grand commandement de l’armée, M. Bakayoko a salué l’adhésion récente du Bénin, du Mali et du Niger portant ce groupe à sept membres en plus de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Ghana et du Burkina-Faso.
Au regard des risques de déstabilisation des Etats par des actes terroristes, les chefs d’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et ghanéen, Nana Akufo-Ado ont instruit les ministres chargés de la sécurité d’établir entre eux et entre les différents services de renseignements un cadre de coopération directe et opérationnelle afin de prévenir la menace du terrorisme dans la sous-région, explique-t-on.
La rencontre au sommet en février 2019 à Accra a été sanctionnée par une déclaration commune en 10 points correspondant à des actions prioritaires à mener pour améliorer la situation sécuritaire dans les pays de la sous-région, notamment le déploiement simultané des forces tout au long des frontières de chaque pays, la mise en place d’un état-major conjoint des forces, le recours aux autorité locales, chefs traditionnels et religieux (…).
(AIP)
gak/ask
Selon le ministre d’Etat ivoirien, ministre de la Défense, Ahmed Bakayoko, cette plateforme, en moins de deux ans, a renforcé la collaboration entre les services de sécurité et permis aux Etats membres de faire avorter plusieurs tentatives de déstabilisation. « La mutualisation des moyens opérationnels et le partage du renseignement apparaissent comme la clé de succès de cette lutte contre le terrorisme et toutes les autres formes de menace », a-t-il indiqué.
En présence de son collègue de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité ainsi que du grand commandement de l’armée, M. Bakayoko a salué l’adhésion récente du Bénin, du Mali et du Niger portant ce groupe à sept membres en plus de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Ghana et du Burkina-Faso.
Au regard des risques de déstabilisation des Etats par des actes terroristes, les chefs d’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et ghanéen, Nana Akufo-Ado ont instruit les ministres chargés de la sécurité d’établir entre eux et entre les différents services de renseignements un cadre de coopération directe et opérationnelle afin de prévenir la menace du terrorisme dans la sous-région, explique-t-on.
La rencontre au sommet en février 2019 à Accra a été sanctionnée par une déclaration commune en 10 points correspondant à des actions prioritaires à mener pour améliorer la situation sécuritaire dans les pays de la sous-région, notamment le déploiement simultané des forces tout au long des frontières de chaque pays, la mise en place d’un état-major conjoint des forces, le recours aux autorité locales, chefs traditionnels et religieux (…).
(AIP)
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