Ivoiriens et Ghanéens ont réussi à imposer aux industriels de la filière cacao une taxe de 400 dollars la tonne. Elle servira à accroître le revenu des planteurs mais aussi, en cas de hausse, à remplir une caisse de stabilisation. Cette avancée a été rendue possible par la coopération des deux pays qui pèsent plus de 65% de la production mondiale de fèves, et qui ambitionnent de créer une Opep du cacao. François Ruf, économiste au CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) et spécialiste du cacao, répond aux questions d'Olivier Rogez.
RFI : Est-ce que le fait que le Conseil Café Cacao ivoirien et son homologue ghanéen, le Cocoa Board, travaillent désormais ensemble peut leur permettre de contrôler le marché... suite de l'article sur RFI
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