Le ministre de l’Economie et des finances, Adama Koné, a annoncé devant les députés, de bonnes nouvelles en ce qui concerne le secteur des microfinances agricoles. « Au niveau du ministère de l’Economie et des finances, nous partageons l’idée de la mise en place d’une banque agricole. Au début des indépendances, nous avions une banque agricole, la BNDA. Et ensuite il y a eu la Banque de financement de l’agriculture, BFA. Toutes ces banques ont disparu par faute de gouvernance et non de la matière.
Le besoin est toujours là. Au niveau du ministère de l’Economie et des finances, nous avons souvent été approchés par les différents opérateurs du secteur pour attirer notre attention sur ce besoin. Nous avons donc décidé de mettre en place une équipe pour aller encore à la création d’une banque qui va financer le secteur agricole. Cette fois-ci, nous allons tenir compte des erreurs du passé. La prochaine banque du secteur agricole qui sera créée va être vraiment la banque du secteur privé.
Au niveau des microfinances, nous avons également, dans notre stratégie, décidé de faire en sorte que la digitalisation aille jusqu’au niveau agricole. Nous avons signé, à cet égard, un contrat avec la société Visa pour nous permettre de faire en sorte que dans le secteur agricole, les acteurs aillent jusqu’à l’obtention de la carte bancaire pour leurs opérations. Nous y pensons et nous avons donc des raisons de croire que d’ici l’année prochaine, nous allons produire une carte de crédit adaptée au secteur. Donc la Banque agricole est un projet qui est très mûri et avancé » a fait savoir le ministre des Finances avant de poursuivre en ces termes. « Les thèmes de références ont déjà été rédigés. Nous avons même déjà lancé un appel d’offres pour sélectionner un cabinet qui puisse nous faire des propositions d’une étude de viabilité et rentabilité de cette structure que nous allons créer. Ça va être l’actionnariat des agriculteurs.
Depuis quelques jours, j’ai commencé à recevoir, à mon cabinet, les différents responsables des différentes filières pour partager, avec eux, ce qui va se passer. Je leur demande de s’organiser pour venir dans l’actionnariat. Tous ceux que j’ai reçus ont déjà donné leur accord. Ils sont même prêts à donner leur contribution à l’étude de faisabilité que nous voulons lancer (…) L’Etat veut donc pousser le secteur privé à créer une Banque agricole ».
F.B
Le besoin est toujours là. Au niveau du ministère de l’Economie et des finances, nous avons souvent été approchés par les différents opérateurs du secteur pour attirer notre attention sur ce besoin. Nous avons donc décidé de mettre en place une équipe pour aller encore à la création d’une banque qui va financer le secteur agricole. Cette fois-ci, nous allons tenir compte des erreurs du passé. La prochaine banque du secteur agricole qui sera créée va être vraiment la banque du secteur privé.
Au niveau des microfinances, nous avons également, dans notre stratégie, décidé de faire en sorte que la digitalisation aille jusqu’au niveau agricole. Nous avons signé, à cet égard, un contrat avec la société Visa pour nous permettre de faire en sorte que dans le secteur agricole, les acteurs aillent jusqu’à l’obtention de la carte bancaire pour leurs opérations. Nous y pensons et nous avons donc des raisons de croire que d’ici l’année prochaine, nous allons produire une carte de crédit adaptée au secteur. Donc la Banque agricole est un projet qui est très mûri et avancé » a fait savoir le ministre des Finances avant de poursuivre en ces termes. « Les thèmes de références ont déjà été rédigés. Nous avons même déjà lancé un appel d’offres pour sélectionner un cabinet qui puisse nous faire des propositions d’une étude de viabilité et rentabilité de cette structure que nous allons créer. Ça va être l’actionnariat des agriculteurs.
Depuis quelques jours, j’ai commencé à recevoir, à mon cabinet, les différents responsables des différentes filières pour partager, avec eux, ce qui va se passer. Je leur demande de s’organiser pour venir dans l’actionnariat. Tous ceux que j’ai reçus ont déjà donné leur accord. Ils sont même prêts à donner leur contribution à l’étude de faisabilité que nous voulons lancer (…) L’Etat veut donc pousser le secteur privé à créer une Banque agricole ».
F.B