Ayant contribué à la réhabilitation de 57 KM de routes agricoles dans la région de Sikensi (Agnéby Tiassa), livrées le 18 juillet à Sahuyé au cours des JAAD 2019 (Journées de l’administration agricole délocalisées) du 17 au 20 juillet à Adzopé, l’APROMAC (Association des producteurs de caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire) a apporté un énorme soulagement aux planteurs pour le convoi de leurs productions agricoles.
Depuis 2009, l’APROMAC a mis sur pieds le Fonds de développement Hévéa (FDH) pour fédérer les planteurs villageois, industriels et usiniers. Ces acteurs sont très souvent, en saison de pluies, confrontés aux difficultés de convoi de leurs productions face au mauvais état des routes. C’est pourquoi, ensemble les producteurs s’engagent à payer leurs cotisations dans le cadre du FDH pour réhabiliter les routes et permettre aux planteurs de sortir leurs productions.
Selon le président de l’APROMAC, le tout n’est pas de produire mais de pouvoir commercialiser sa production, c’est l’objectif du fonds.
Un autre problème majeur qui mine le développement de l’hévéaculture, c’est la transformation de cette matière. L’année 2018 a été marquée par une production nationale supérieure à la capacité de transformation installée dans les usines en Côte d’Ivoire. Les usiniers et l’APROMAC n’entendent pas rester bras croisés. Le président des usiniers de la filière caoutchouc naturel, Yacé Charles Emmanuel, a affirmé qu’après avoir inventorié les projets en cours, en 2021 ce problème sera résolu.
<< La capacité qui sera installée à partir de 2021 permettra d’absorber toute la production nationale. L’APROMAC ET l’association des usiniers travaillent sur ce sujet. Il y aura de nouvelles usines qui vont s’implanter, les usines déjà existantes vont agrandir leur capacité de production et ça va régler le problème national >>, a-t-il annoncé.
Il a confié à juste titre que c’est à peu près 35 mille tonnes par mois qui ne sont pas transformés. Cette production est exportée sous forme de matière première.
<< Notre objectif n’est pas d’exporter la matière première. C’est pour cela que nous travaillons pour installer de nouvelles usines pour transformer tous ces fonds de tasse >>, a-t-il fait savoir.
JOB
Depuis 2009, l’APROMAC a mis sur pieds le Fonds de développement Hévéa (FDH) pour fédérer les planteurs villageois, industriels et usiniers. Ces acteurs sont très souvent, en saison de pluies, confrontés aux difficultés de convoi de leurs productions face au mauvais état des routes. C’est pourquoi, ensemble les producteurs s’engagent à payer leurs cotisations dans le cadre du FDH pour réhabiliter les routes et permettre aux planteurs de sortir leurs productions.
Selon le président de l’APROMAC, le tout n’est pas de produire mais de pouvoir commercialiser sa production, c’est l’objectif du fonds.
Un autre problème majeur qui mine le développement de l’hévéaculture, c’est la transformation de cette matière. L’année 2018 a été marquée par une production nationale supérieure à la capacité de transformation installée dans les usines en Côte d’Ivoire. Les usiniers et l’APROMAC n’entendent pas rester bras croisés. Le président des usiniers de la filière caoutchouc naturel, Yacé Charles Emmanuel, a affirmé qu’après avoir inventorié les projets en cours, en 2021 ce problème sera résolu.
<< La capacité qui sera installée à partir de 2021 permettra d’absorber toute la production nationale. L’APROMAC ET l’association des usiniers travaillent sur ce sujet. Il y aura de nouvelles usines qui vont s’implanter, les usines déjà existantes vont agrandir leur capacité de production et ça va régler le problème national >>, a-t-il annoncé.
Il a confié à juste titre que c’est à peu près 35 mille tonnes par mois qui ne sont pas transformés. Cette production est exportée sous forme de matière première.
<< Notre objectif n’est pas d’exporter la matière première. C’est pour cela que nous travaillons pour installer de nouvelles usines pour transformer tous ces fonds de tasse >>, a-t-il fait savoir.
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