Le comité de coordination sur la mise en œuvre de l’axe 3 « défense des cultures » du programme national de recherche sur l’anacarde (PNRA) en collaboration avec le fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA) et le conseil du coton et de l’anacarde ont organisé le mardi 23 juillet au pôle scientifique et de l’innovation de Bingerville un atelier de lancement du projet intitulé « Défenses des cultures de PNRA ».
L’objectif principal de l’atelier: le lancement officiel du projet défense de cultures de PNRA pour l’amélioration de la noix de cajou par la maîtrise des nuisibles de l’anacardier.
« L’amélioration de la production de la noix de cajou par la maîtrise des nuisibles de l’anacardier » est le thème de cet atelier qui s’inscrit dans le cadre du projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (PPCA) en Côte d’Ivoire.
« Les besoins de la filière d’anacarde ont été traduit en idée de recherche, et ce sont ces idées qui ont été consolidé au sein de ce programme PNRA» précise Assouan Amon Brice. Le pays ambitionne accroître sa productivité au niveau des plantations d’anacardiers et améliorer la qualité des noix brutes de cajou. Les résultats attendus sont de 650 /Kg par hectare de rendement moyen de noix de cajou brutes dans les régions couvertes par le projet.
Soulignons que c’est avec le soutien de l’Etat de Côte d’Ivoire avec l’accompagnement des institutions de recherches et universités ivoirienne et l’appui financier de la banque mondiale que le programme national de recherche sur l’anacarde (PNRA) a vu le jour.
DA
L’objectif principal de l’atelier: le lancement officiel du projet défense de cultures de PNRA pour l’amélioration de la noix de cajou par la maîtrise des nuisibles de l’anacardier.
« L’amélioration de la production de la noix de cajou par la maîtrise des nuisibles de l’anacardier » est le thème de cet atelier qui s’inscrit dans le cadre du projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeur de l’anacarde (PPCA) en Côte d’Ivoire.
« Les besoins de la filière d’anacarde ont été traduit en idée de recherche, et ce sont ces idées qui ont été consolidé au sein de ce programme PNRA» précise Assouan Amon Brice. Le pays ambitionne accroître sa productivité au niveau des plantations d’anacardiers et améliorer la qualité des noix brutes de cajou. Les résultats attendus sont de 650 /Kg par hectare de rendement moyen de noix de cajou brutes dans les régions couvertes par le projet.
Soulignons que c’est avec le soutien de l’Etat de Côte d’Ivoire avec l’accompagnement des institutions de recherches et universités ivoirienne et l’appui financier de la banque mondiale que le programme national de recherche sur l’anacarde (PNRA) a vu le jour.
DA
