Le deuxième chantier-école des mines de la Côte d’Ivoire a été officiellement ouvert, le 26 juillet dernier dans le village Katiendé de la sous préfecture de Siempurgo, département de Boundiali dans le Nord, après celui de la localité de Bozi en janvier 2019 dans l’ouest du pays . C’était en présence des membres du gouvernement notamment des ministres Jean Claude Brou (Mines), Bruno Nabagné (Construction) et Mariétou Koné (Cohésion sociale).
« Soyez assurés que le Ministère des Mines et de la Géologie se tient à votre disposition pour vous accompagner sur le chemin de l’exploitation légale qui seule est capable de vous donner les moyens de vivre, décemment et en toute sécurité, de l’exploitation minière. Je vous invite donc à prendre, dès aujourd’hui, l’attache des directions régionales des Mines et de la Géologie pour rejoindre la caravane du projet chantier école », a déclaré le ministre Jean Claude Kouassi.
Ce dernier a également indiqué que sous la haute impulsion du Président Alassane OUATTARA, le gouvernement du Premier Ministre Amadou GON COULIBALY s’attèle à donner, au secteur des mines, les moyens de devenir "la deuxième locomotive du train pour le progrès et l’émergence de la Côte d’Ivoire".
Poursuivant, il a expliqué que « grâce aux réformes structurelles engagées depuis 2011, la part du secteur minier dans le PIB de notre pays, qui était de 2% en 2011 est, à fin 2018, de l’ordre de 3% ; ce qui signifie, pour les Ivoiriennes et les Ivoiriens, plus de richesses, plus d’emplois, plus de recettes fiscales et plus de prospérité l’objectif de 4% du PIB assigné au secteur minier par le Plan National de Développement, mérite d’être atteint. Il nous faut accroître nos efforts et réaliser, sans attendre, les réformes nécessaires attendues par le Gouvernement et les Ivoiriens pour dépasser la barre des 4% à l’horizon 2020 ».
Le député de Boundiali, Doulaye Coulibaly , porte parole des populations des 18 villages impactés par l’orpaillage illégal a par ailleurs déclaré que malgré les conséquences néfastes, ce phénomène a apporté "un mieux être par la réalisation de nombreuses infrastructures dans les localités où cette activité se pratique". Par conséquent, les populations souhaitent mener cette activité dans la légalité, a-t-il précisé.
Aly O. à Boundiali.
« Soyez assurés que le Ministère des Mines et de la Géologie se tient à votre disposition pour vous accompagner sur le chemin de l’exploitation légale qui seule est capable de vous donner les moyens de vivre, décemment et en toute sécurité, de l’exploitation minière. Je vous invite donc à prendre, dès aujourd’hui, l’attache des directions régionales des Mines et de la Géologie pour rejoindre la caravane du projet chantier école », a déclaré le ministre Jean Claude Kouassi.
Ce dernier a également indiqué que sous la haute impulsion du Président Alassane OUATTARA, le gouvernement du Premier Ministre Amadou GON COULIBALY s’attèle à donner, au secteur des mines, les moyens de devenir "la deuxième locomotive du train pour le progrès et l’émergence de la Côte d’Ivoire".
Poursuivant, il a expliqué que « grâce aux réformes structurelles engagées depuis 2011, la part du secteur minier dans le PIB de notre pays, qui était de 2% en 2011 est, à fin 2018, de l’ordre de 3% ; ce qui signifie, pour les Ivoiriennes et les Ivoiriens, plus de richesses, plus d’emplois, plus de recettes fiscales et plus de prospérité l’objectif de 4% du PIB assigné au secteur minier par le Plan National de Développement, mérite d’être atteint. Il nous faut accroître nos efforts et réaliser, sans attendre, les réformes nécessaires attendues par le Gouvernement et les Ivoiriens pour dépasser la barre des 4% à l’horizon 2020 ».
Le député de Boundiali, Doulaye Coulibaly , porte parole des populations des 18 villages impactés par l’orpaillage illégal a par ailleurs déclaré que malgré les conséquences néfastes, ce phénomène a apporté "un mieux être par la réalisation de nombreuses infrastructures dans les localités où cette activité se pratique". Par conséquent, les populations souhaitent mener cette activité dans la légalité, a-t-il précisé.
Aly O. à Boundiali.