Daloa, Le ministre de l’Hydraulique Laurent Tchagba, a procédé, mardi, à la mise en service d’un château d’eau d’une valeur de 500 millions de francs CFA pour servir les besoins de 28 000 personnes en eau potable dans le chef-lieu de sous-préfecture de Bonoufla.
Selon M. Tchagba, la réalisation des châteaux dans plusieurs villages de la Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre du programme social du gouvernement qui veut apporter de l’eau potable à toutes les populations sur l’ensemble du territoire national.
Le château d’eau en béton armé de 200 m3 sur une hauteur de 15 m est équipé d’un captage de l’eau brute, un anti-bélier, un local de traitement de l’eau et un réseau de canalisation. Il est évalué à 415 millions de francs CFA financé par le Fonds national de l’eau à travers une levée de fonds d’une banque nationale.
La région du Haut Sassandra bénéficie de la réhabilitation de 965 pompes dont le lancement éclaté des travaux a été fait en fin mai dans la plupart des chefs-lieux de région. Bédiala, Luenoufla et Bonoufla viennent de bénéficier de châteaux d’eau, une promesse du président de la République aux populations du haut Sassandra en 2015, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/fmo
Selon M. Tchagba, la réalisation des châteaux dans plusieurs villages de la Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre du programme social du gouvernement qui veut apporter de l’eau potable à toutes les populations sur l’ensemble du territoire national.
Le château d’eau en béton armé de 200 m3 sur une hauteur de 15 m est équipé d’un captage de l’eau brute, un anti-bélier, un local de traitement de l’eau et un réseau de canalisation. Il est évalué à 415 millions de francs CFA financé par le Fonds national de l’eau à travers une levée de fonds d’une banque nationale.
La région du Haut Sassandra bénéficie de la réhabilitation de 965 pompes dont le lancement éclaté des travaux a été fait en fin mai dans la plupart des chefs-lieux de région. Bédiala, Luenoufla et Bonoufla viennent de bénéficier de châteaux d’eau, une promesse du président de la République aux populations du haut Sassandra en 2015, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/fmo