Depuis le 22 juillet 2019 un renforcement de capacités a été organisé à l’intention de 300 conducteurs professionnels. La mise à niveau qui est à sa 5ème édition, a pour objectif d’éviter au mieux de nombreux accidents de la circulation routière et de faire avoir aux auditeurs, les aptitudes du conducteur ivoirien nouveau. C’est cette configuration qu’a signifiée Narcisse Ekissi. le directeur de Cabinet du ministre de l’Artisanat et de la Promotion des Pme, Sidiki Konaté, « Cette formation est organisée pour permettre aux chauffeurs d’être à la hauteur, respectueux de la route et de l’attente des clients. Vous conducteurs, êtes la vitrine de la Côte d’Ivoire. Car tout étranger qui rentre ici, a besoin de vos services.
L’intention est de vous faire revoir vos comportements en vue d’être des artisans qui puissent participer à l’émergence de la Côte d’Ivoire ». La nouvelle donne est basée sur le changement de mentalités et de comportement, qui sont les éléments clés de la phase théorique de la formation. Elle se fait sur trois (03) mois environ et réunit les chauffeurs de taxis compteurs, de mini-cars (gbakas) et de tricycles.du District d’Abidjan, regroupés en 9 associations venues d’Abobo, Adjamé, de Port bouët et de Yopougon. La formation comprend six (06) modules. Qui sont : Le code de la route, la sensibilisation sur la sécurité routière, les connaissances du véhicule, la cartographie du territoire d’exercice, la psychologie axée sur la conduite et le passage au simulateur de conduite. La deuxième phase de la formation, celle dite pratique se déroulera deux semaines après la théorique ; et tiendra compte de certains facteurs existants déjà. « La singularité de la phase pratique, est que nous formons en tenant compte de leur propre itinéraire et des véhicules qu’ils utilisent quotidiennement. Ils sont évalués par des stratégies, telle que la méthode de l’examinateur qui est dans le véhicule sans que le conducteur ne le sache », a relaté Oumar Sylla, responsable de Syform, la structure chargée de cette formation.
A travers ce renforcement de capacités, ce sont des stratégies nouvelles, qui devront permettre de rompre avec la pléthore d’accidents et pouvoir mettre en exergue un comportement idéal, nécessaire à la demande actuelle du comportement émergent. Ceci étant, les chauffeurs sont les premiers acteurs face aux touristes étrangers. A l’avenir, la phase de la vulgarisation ne sera plus faite à Abidjan, mais à l’intérieur du pays.
DA
L’intention est de vous faire revoir vos comportements en vue d’être des artisans qui puissent participer à l’émergence de la Côte d’Ivoire ». La nouvelle donne est basée sur le changement de mentalités et de comportement, qui sont les éléments clés de la phase théorique de la formation. Elle se fait sur trois (03) mois environ et réunit les chauffeurs de taxis compteurs, de mini-cars (gbakas) et de tricycles.du District d’Abidjan, regroupés en 9 associations venues d’Abobo, Adjamé, de Port bouët et de Yopougon. La formation comprend six (06) modules. Qui sont : Le code de la route, la sensibilisation sur la sécurité routière, les connaissances du véhicule, la cartographie du territoire d’exercice, la psychologie axée sur la conduite et le passage au simulateur de conduite. La deuxième phase de la formation, celle dite pratique se déroulera deux semaines après la théorique ; et tiendra compte de certains facteurs existants déjà. « La singularité de la phase pratique, est que nous formons en tenant compte de leur propre itinéraire et des véhicules qu’ils utilisent quotidiennement. Ils sont évalués par des stratégies, telle que la méthode de l’examinateur qui est dans le véhicule sans que le conducteur ne le sache », a relaté Oumar Sylla, responsable de Syform, la structure chargée de cette formation.
A travers ce renforcement de capacités, ce sont des stratégies nouvelles, qui devront permettre de rompre avec la pléthore d’accidents et pouvoir mettre en exergue un comportement idéal, nécessaire à la demande actuelle du comportement émergent. Ceci étant, les chauffeurs sont les premiers acteurs face aux touristes étrangers. A l’avenir, la phase de la vulgarisation ne sera plus faite à Abidjan, mais à l’intérieur du pays.
DA