Oumé- La culture de l’hévéa se développe de plus en plus dans le département d’Oumé, avec plus de 2853 producteurs installés sur 16 721 hectares de plantations d’hévéas dans le département à ce jour, comparativement aux 76 exploitants pour 82 hectares il y a quelques années.
Le développement de cette culture s’est fait au détriment du binôme café-cacao. Certaines plantations d’hévéa visitées, samedi, par les techniciens de l'Agence nationale d'appui au développement rural (ANADER), et ceux de la Société africaine de plantations d'hévéas (SAPH) dans les villages de Loua, Brozan, Zaadi, Kouaméfla et Bronda sont révélatrices de ce que la culture d’hévéa est plus importante que celle du café et le cacao.
Malgré la baisse du prix de vente de l’hévéa, les paysans demeurent optimistes et espère une hausse prochaines des prix.
Selon Koffi Membé Firmin, ingénieur agronome à la SAPH, cette spéculation tend à devenir la première dans le département dans les années avenir. « Il est nécessaire dès à présent d’initier des ateliers de formation pour permettre aux producteurs de maîtriser les techniques de production de l’hévéa », a-t-il suggéré. De plus, certains conseillers agricoles de l’ANADER apportent déjà un encadrement technique aux producteurs.
Toutefois, les paysans restent confrontés à des difficultés notamment le manque d’organisation dans l’écoulement de leurs productions, et le non respect des prix fixés les autorités compétentes.
dl/tad/fmo
Le développement de cette culture s’est fait au détriment du binôme café-cacao. Certaines plantations d’hévéa visitées, samedi, par les techniciens de l'Agence nationale d'appui au développement rural (ANADER), et ceux de la Société africaine de plantations d'hévéas (SAPH) dans les villages de Loua, Brozan, Zaadi, Kouaméfla et Bronda sont révélatrices de ce que la culture d’hévéa est plus importante que celle du café et le cacao.
Malgré la baisse du prix de vente de l’hévéa, les paysans demeurent optimistes et espère une hausse prochaines des prix.
Selon Koffi Membé Firmin, ingénieur agronome à la SAPH, cette spéculation tend à devenir la première dans le département dans les années avenir. « Il est nécessaire dès à présent d’initier des ateliers de formation pour permettre aux producteurs de maîtriser les techniques de production de l’hévéa », a-t-il suggéré. De plus, certains conseillers agricoles de l’ANADER apportent déjà un encadrement technique aux producteurs.
Toutefois, les paysans restent confrontés à des difficultés notamment le manque d’organisation dans l’écoulement de leurs productions, et le non respect des prix fixés les autorités compétentes.
dl/tad/fmo
