Prévus pour s’achever dans 18 mois, les travaux d’aménagement de 127 hectares additionnels à la zone industrielle d’Akoupé-Zeudji PK24 ont été lancés ce jeudi 1er août 2019 par le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, en présence des ministres du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, Bruno Koné, et de l’ambassadeur de la République populaire de Chine en Côte d’Ivoire, SEM Wan Li.
Ces travaux confiés à l’entreprise chinoise China Harbour Engineering Company (CHEC) constituent l’une des phases dans le processus des aménagements engagés sur la zone industrielle d’Akoupé-Zeudji Abidjan PK24 autoroute du nord d’une superficie totale de 940 hectares. Ils interviennent après la réalisation des travaux d’aménagement de 62 hectares de ladite zone.
« Il s’agit de poursuivre la dynamique de développement des infrastructures industrielles en Côte d’Ivoire, afin de mettre à la disposition des opérateurs économiques, des plateformes pour l’exercice de leurs activités dans les meilleurs conditions », a fait savoir le ministre Adama Koné, représentant le Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly.
L’émissaire du chef du gouvernement a également rappelé que les discussions entamées, entre les parties ivoiriennes et chinoises, ont abouti à la signature d’une convention en décembre 2018 pour l’exécution des travaux d’aménagement de ces 127 hectares en maitrise d’ouvrage public (MOP).
« Les travaux d’aménagement de cette parcelle d’un montant de plus de 52 milliards de FCFA hors taxe, dans la zone industrielle d’Akoupé-Zeudji, concerneront la voirie, le drainage des eaux pluviales, l’électricité, l’eau et l’assainissement des eaux usées et seront financés par Bank of China », a-t-il précisé.
Par ailleurs, a poursuivi le ministre de l’Economie et des Finances, un Programme à deux volets, portant d’une part sur la mise à niveau des zones industrielles existantes et d’autre part sur le développement de nouvelles zones est en cours de mise en œuvre. Ledit programme, a-t-il indiqué, comprend la réhabilitation des trois zones industrielles de la ville d’Abidjan, dont celle de Yopougon avec 469 hectares est achevée, pour un coût total de 24 milliards de FCFA et celles de Koumassi et Vridi, avec chacune 120 hectares, pour lesquelles les études techniques sont terminées ; la création d’une nouvelle zone industrielle de 940 hectares dénommée “zone industrielle d’Akoupé-Zeudji PK24’’ dont l’aménagement s’effectue par phases ; et l’aménagement de nouvelles zones industrielles à l’intérieur du pays, notamment à Yamoussoukro, la capitale politique, et à Bonoua, pour désengorger les zones industrielles d’Abidjan.
Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a, pour sa part, assuré que d’autres initiatives sont en cours afin de transformer cet espace de 940 hectares en une zone d’activité économique moderne au cours des prochaines années, avec notamment le lancement des travaux d’aménagement de 124 hectares dont 59 hectares de la zone des cimentiers avant la fin de l’année 2019 ; et la finalisation des discussions avec Afreximbank pour l’aménagement de 112 hectares et avec d’autres investisseurs privés pour 300 hectares. Il a, ensuite, lancé un appel à l’ensemble des opérateurs économiques nationaux et internationaux à investir dans le secteur industriel et notamment dans la transformation des matières premières, car l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagée à mettre à leur disposition des espaces industriels modernes conformes aux standards internationaux.
L’ambassadeur de la République populaire de Chine en Côte d’Ivoire, SEM Wan Li, a, quant à lui, saisi l’occasion pour saluer les relations excellentes entre l’Etat ivoirien et son pays. Non sans promettre que la Chine s’assurera de l’exécution dans les délais des travaux confiés à l’entreprise CHEC.
Selon Yang Tao, Directeur régional de CHEC en Afrique de l’Ouest, la concentration d’entreprises sur le site renforcera surtout l’activité économique d’Abidjan auprès des investisseurs en Afrique de l’Ouest, avec de nombreuses opportunités d’emplois. « Ce projet de 127 hectares apportera d’énormes avantages socioéconomiques dans la région avec, par exemple, durant la phase de construction, la création d’au moins 300 emplois et la formation d’un groupe de techniciens », a-t-il souligné.
Ces travaux confiés à l’entreprise chinoise China Harbour Engineering Company (CHEC) constituent l’une des phases dans le processus des aménagements engagés sur la zone industrielle d’Akoupé-Zeudji Abidjan PK24 autoroute du nord d’une superficie totale de 940 hectares. Ils interviennent après la réalisation des travaux d’aménagement de 62 hectares de ladite zone.
« Il s’agit de poursuivre la dynamique de développement des infrastructures industrielles en Côte d’Ivoire, afin de mettre à la disposition des opérateurs économiques, des plateformes pour l’exercice de leurs activités dans les meilleurs conditions », a fait savoir le ministre Adama Koné, représentant le Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly.
L’émissaire du chef du gouvernement a également rappelé que les discussions entamées, entre les parties ivoiriennes et chinoises, ont abouti à la signature d’une convention en décembre 2018 pour l’exécution des travaux d’aménagement de ces 127 hectares en maitrise d’ouvrage public (MOP).
« Les travaux d’aménagement de cette parcelle d’un montant de plus de 52 milliards de FCFA hors taxe, dans la zone industrielle d’Akoupé-Zeudji, concerneront la voirie, le drainage des eaux pluviales, l’électricité, l’eau et l’assainissement des eaux usées et seront financés par Bank of China », a-t-il précisé.
Par ailleurs, a poursuivi le ministre de l’Economie et des Finances, un Programme à deux volets, portant d’une part sur la mise à niveau des zones industrielles existantes et d’autre part sur le développement de nouvelles zones est en cours de mise en œuvre. Ledit programme, a-t-il indiqué, comprend la réhabilitation des trois zones industrielles de la ville d’Abidjan, dont celle de Yopougon avec 469 hectares est achevée, pour un coût total de 24 milliards de FCFA et celles de Koumassi et Vridi, avec chacune 120 hectares, pour lesquelles les études techniques sont terminées ; la création d’une nouvelle zone industrielle de 940 hectares dénommée “zone industrielle d’Akoupé-Zeudji PK24’’ dont l’aménagement s’effectue par phases ; et l’aménagement de nouvelles zones industrielles à l’intérieur du pays, notamment à Yamoussoukro, la capitale politique, et à Bonoua, pour désengorger les zones industrielles d’Abidjan.
Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a, pour sa part, assuré que d’autres initiatives sont en cours afin de transformer cet espace de 940 hectares en une zone d’activité économique moderne au cours des prochaines années, avec notamment le lancement des travaux d’aménagement de 124 hectares dont 59 hectares de la zone des cimentiers avant la fin de l’année 2019 ; et la finalisation des discussions avec Afreximbank pour l’aménagement de 112 hectares et avec d’autres investisseurs privés pour 300 hectares. Il a, ensuite, lancé un appel à l’ensemble des opérateurs économiques nationaux et internationaux à investir dans le secteur industriel et notamment dans la transformation des matières premières, car l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagée à mettre à leur disposition des espaces industriels modernes conformes aux standards internationaux.
L’ambassadeur de la République populaire de Chine en Côte d’Ivoire, SEM Wan Li, a, quant à lui, saisi l’occasion pour saluer les relations excellentes entre l’Etat ivoirien et son pays. Non sans promettre que la Chine s’assurera de l’exécution dans les délais des travaux confiés à l’entreprise CHEC.
Selon Yang Tao, Directeur régional de CHEC en Afrique de l’Ouest, la concentration d’entreprises sur le site renforcera surtout l’activité économique d’Abidjan auprès des investisseurs en Afrique de l’Ouest, avec de nombreuses opportunités d’emplois. « Ce projet de 127 hectares apportera d’énormes avantages socioéconomiques dans la région avec, par exemple, durant la phase de construction, la création d’au moins 300 emplois et la formation d’un groupe de techniciens », a-t-il souligné.