Afin de faciliter le passage de la CEDEAO des États à la CEDEAO des peuples d’ici 2020, la commission de la CEDEAO, en collaboration avec l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) en charge du projet « appui à la libre circulation et aux migrations en Afrique de l’Ouest », a initié, ce lundi 05 août 2019 un atelier de vulgarisation du protocole de libre échange au sein de la CEDEAO.
Cet atelier vise, selon Téi Konzi, Commissaire chargé du département du commerce, des douanes et libre circulation, à sensibiliser les commerçants, les agences de maintien de l’ordre, les agents frontaliers, les autorités locales, les leaders communautaires, les communautés frontalières, les transporteurs et les institutions gouvernementales sur l’importance de la libre circulation et de la migration dans la sous-région de la CEDEAO.
De nombreuses violations des droits des citoyens sont, en effet, observées le long des routes communes de la CEDEAO et dans les États membres en raison d’une connaissance limitée et d’une mise en œuvre sélective du protocole de libre circulation.
Les participants seront donc sensibilisés sur les dispositifs de la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux.
Représentant le ministre de l’intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Louis-Philippe Goli, Directeur du Commerce et de la libre circulation a relevé l’importance de la sensibilisation sur la connaissance des textes fondateurs de la CEDEAO.
P. R.
Cet atelier vise, selon Téi Konzi, Commissaire chargé du département du commerce, des douanes et libre circulation, à sensibiliser les commerçants, les agences de maintien de l’ordre, les agents frontaliers, les autorités locales, les leaders communautaires, les communautés frontalières, les transporteurs et les institutions gouvernementales sur l’importance de la libre circulation et de la migration dans la sous-région de la CEDEAO.
De nombreuses violations des droits des citoyens sont, en effet, observées le long des routes communes de la CEDEAO et dans les États membres en raison d’une connaissance limitée et d’une mise en œuvre sélective du protocole de libre circulation.
Les participants seront donc sensibilisés sur les dispositifs de la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux.
Représentant le ministre de l’intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Louis-Philippe Goli, Directeur du Commerce et de la libre circulation a relevé l’importance de la sensibilisation sur la connaissance des textes fondateurs de la CEDEAO.
P. R.
