Abidjan– La société Ivoire Hydro Energy (IHE) a conclu avec le ministère de la Culture et de la Francophonie(MCF), une convention de collaboration en vue de préserver et promouvoir le patrimoine culturel et archéologique dans la zone du Projet d’aménagement hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty (PAHSA).
L’accord a été paraphé lundi à la salle de conférence du ministère sis au 22ème étage de la Tour E, à Abidjan Plateau, par le directeur de cabinet du MCF, Yves Konan et le directeur des affaires environnementales et sociales d’IHE, Brou Delamarre, en présence de son président directeur général, Alain Ekolan Etty.
Après avoir donné lecture de dispositifs législatifs et réglementaires portant attribution au MCF pour la protection du patrimoine culturel et promotion de la politique culturelle nationale, le représentant du ministre Maurice Kouakou Bandaman a salué IHE pour cette action citoyenne. Ce, d’autant plus que c’est la première fois qu’une collaboration du genre est établie entre une entreprise et le ministère de la Culture et de la Francophonie.
En plus d’offrir un millier d’emplois à des Ivoiriens, de faciliter le déplacement des populations, de renforcer la capacité énergétique de la Côte d’Ivoire, le Projet d’aménagement hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty va restituer au pays une partie de son histoire, s’est réjoui Yves Konan.
En effet, à travers cette convention, IHE va mettre à la disposition du ministère de la Culture et de la Francophonie, des ressources budgétaires pour réaliser les fouilles archéologiques mais surtout procédera à la construction d’un musée devant abriter les vestiges qui seront trouvés sur le site, a situé le PDG d’Ivoire Hydro Energy.
D’une capacité de 44 mégawatts, le barrage de Singrobo-Ahouaty sera réalisé par IHE suivant un schéma de concession de type BOOT (build, own, operate and transfer). Localisé dans le département de Taabo (Sud, région de l’Agnéby-Tiassa), il est situé à environ 23 km en aval du barrage de Taabo sur le fleuve Bandama, en amont de la confluence des fleuves Bandama et N’Zi (3,5 km du village de Singrobo et 2km du village d’Ahouaty). Le PAHSA est constitué d’une phase de construction des ouvrages d’une durée de trois ans et d’une phase d’exploitation de 35 ans.
cmas
L’accord a été paraphé lundi à la salle de conférence du ministère sis au 22ème étage de la Tour E, à Abidjan Plateau, par le directeur de cabinet du MCF, Yves Konan et le directeur des affaires environnementales et sociales d’IHE, Brou Delamarre, en présence de son président directeur général, Alain Ekolan Etty.
Après avoir donné lecture de dispositifs législatifs et réglementaires portant attribution au MCF pour la protection du patrimoine culturel et promotion de la politique culturelle nationale, le représentant du ministre Maurice Kouakou Bandaman a salué IHE pour cette action citoyenne. Ce, d’autant plus que c’est la première fois qu’une collaboration du genre est établie entre une entreprise et le ministère de la Culture et de la Francophonie.
En plus d’offrir un millier d’emplois à des Ivoiriens, de faciliter le déplacement des populations, de renforcer la capacité énergétique de la Côte d’Ivoire, le Projet d’aménagement hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty va restituer au pays une partie de son histoire, s’est réjoui Yves Konan.
En effet, à travers cette convention, IHE va mettre à la disposition du ministère de la Culture et de la Francophonie, des ressources budgétaires pour réaliser les fouilles archéologiques mais surtout procédera à la construction d’un musée devant abriter les vestiges qui seront trouvés sur le site, a situé le PDG d’Ivoire Hydro Energy.
D’une capacité de 44 mégawatts, le barrage de Singrobo-Ahouaty sera réalisé par IHE suivant un schéma de concession de type BOOT (build, own, operate and transfer). Localisé dans le département de Taabo (Sud, région de l’Agnéby-Tiassa), il est situé à environ 23 km en aval du barrage de Taabo sur le fleuve Bandama, en amont de la confluence des fleuves Bandama et N’Zi (3,5 km du village de Singrobo et 2km du village d’Ahouaty). Le PAHSA est constitué d’une phase de construction des ouvrages d’une durée de trois ans et d’une phase d’exploitation de 35 ans.
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