Le président Alassane Ouattara est sans contestation aucune la 2ème chance de la Côte d’Ivoire après l’ère du ‘’premier miracle ivoirien’’ sous l’imprimatur du père de l’indépendance, Félix Houphouët-Boigny. Voici comment ce ‘’génie’’ en sciences politiques, économiques ou financières a su en moins de deux mandats complets, transformer entièrement l’économie de son pays qui séduit et convainc aujourd’hui les bailleurs de fonds internationaux.
A peine élu par ces concitoyens à la magistrature suprême de son pays, Ouattara a pris cette décision qui a pu faire pouffer de rire quelques sceptiques. « Nous nous devons dans les années à venir d’accélérer la transformation de notre économie afin que cette dernière génère plus de valeur ajoutée sur le territoire national grâce à l’amélioration qualitative de nos produits, à l’amélioration de nos infrastructures et la création de zones industrielles décentralisées, à une plus grande transformation de nos produits agricoles, au développement d’industries manufacturées et de services, au développement des PME, à la transformation du secteur artisanal et au meilleur financement de notre économie ». Ce que ces ‘’tam-tams patentés’’ du négationnisme ont royalement oublié, c’est que le président Alassane Ouattara sait chercher l’argent où il se trouve pour réaliser tous les chantiers promis. C’est une question d’us et de coutumes chez les Ouattara, d’où son slogan : « Ce qu’un Ouattara dit, il le fait » ou encore la preuve par quatre au décompte final.
Ce que Ouattara a fait pour l’amélioration qualitative des produits agricoles ivoiriens
Grand visionnaire comme son ‘’géniteur’’ en politique, Félix Houphouët-Boigny, Alassane Ouattara a vu dès sa prise de fonction, un monde de plus en plus compétitif et décidé qu’il est plus indispensable à son pays de se différencier afin d’aspirer à être parmi les meilleurs. « Nos produits doivent être synonymes de qualité et nous allons développer les produits ‘’Made in Côte d’Ivoire’’ ». Quel courage politique à revendre ? Alassane Ouattara, après cette profession de foi, espoir d’un lendemain meilleur pour les paysans de son pays, énonce les mesures-clés qui vont accompagner cette amélioration qualitative de leurs produits : la collaboration avec le secteur privé ivoirien dans le domaine agricole afin d’améliorer les variétés et semences ; l’accélération de la formation des planteurs aux meilleurs techniques agricoles. Ce ne sont pas les producteurs du binôme café et cacao qui diront le contraire. Eux dont la qualité et la variété des produits ont été améliorées, tout comme les prix bord champ. Ils jurent la main sur le cœur qu’ils ne pourront jamais rejoindre le camp des médisants sur ce régime avec tous leurs revenus de nos jours améliorés, multipliés par deux. Cette grande vision de développement de son pays pour l’émergence promise à l’horizon 2020 a amené le président Alassane Ouattara à s’attaquer ensuite de front au chantier de l’expansion tous azimuts des infrastructures et également des zones industrielles. Là où des laxistes déclarent que ‘’qui trop embrasse, mal étreint’’, Ouattara n’est pas concerné par cette divination, ni cette incantation, prouvant à tous les niveaux à ces ‘’défaitistes’’ qu’il est né pour gagner, il est un vainqueur.
Le grand chantier des infrastructures et zones industrielles
Les pays industrialisés nous enseignent chaque fois que la route précède le développement. Une assertion qui cloue au pilori les tenants d’une thèse simpliste, dénuée de tout désir de développement qui ‘’claironnent’’ ici ‘’qu’one ne mange pas la route’’. Ouattara leur a prouvé que c’est par le biais de ces voies de liaison que les produits vivriers arrivent dans leurs assiettes et que la famine n’est jamais déclarée en Côte d’Ivoire. Ouattara n’a donc pas voulu que les infrastructures routières et les zones industrielles constituent pour son pays des facteurs bloquants. Il a donc pris la résolution d’offrir aux opérateurs économiques désireux d’investir dans son pays, des terrains juridiquement et techniquement aptes à recevoir leurs installations, mais aussi un vaste et dense réseau d’infrastructures permettant d’apporter à leurs activités l’eau, l’énergie et les routes permettant l’acheminement de leurs matières premières et la distribution de leur production. Deux bases donc de développement endogène de la Côte d’Ivoire : les infrastructures et les zones industrielles. Aujourd’hui, il est bien aisé de le vérifier dans chaque commune (13) du District autonome d’Abidjan. ‘’Les Saint Thomas’’ en ont aujourd’hui pour leurs comptes. Car le président Alassane Ouattara a, avec célérité, mis en place un schéma directeur des routes permettant de poursuivre le développement du réseau tout en sauvegardant l’existant ; la sécurisation budgétaire du schéma des routes pour son exécution ; la finalisation de l’aménagement de 200 hectares de zone industrielle au PK 24 de l’Autoroute du Nord en partenariat avec le secteur privé. Ce n’est pas tout. Il faut ajouter à cette liste, l’accroissement de la capacité et l’amélioration de la compétitivité des ports d’Abidjan et de San Pedro, devenus depuis des hubs portuaires de la sous-région Ouest africaine ; la réhabilitation des zones industrielles d’Abidjan (Yopougon, Koumassi, Vridi) et de San Pedro ; la mise en place du cadre règlementaire sur les zones économiques spéciales ou franches ; la mise en place de zones économiques spéciales, notamment San Pedro, Bouaké et Korhogo ; la réhabilitation du réseau ferroviaire pour le transport de marchandises. Le soutien au développement des activités d’Air Côte d’Ivoire afin de positionner Abidjan comme le hub économique de la sous-région et l’amélioration de la mobilité intérieure porte la signature du grand bâtisseur inégalé en Afrique noire indépendante : le président Alassane Ouattara. Ceux qui médisent aujourd’hui sur son compte sont de mauvais opposants, de mauvais perdants qui ne digèrent pas qu’il ait réussi, là où ils ont hier lamentablement échoué. Aujourd’hui, il faut le dire sans fioritures, son bilan à mi-parcours a fini de leur barrer définitivement la route, pour plusieurs années encore, le chemin qui mène au Palais présidentiel au Plateau. Ouattara est un infatigable bosseur, un travailleur acharné qui ne néglige aucun secteur capable de favoriser cette transformation à fond de l’économie ivoirienne afin de parvenir à l’émergence promise à l’horizon 2020 à son peuple. Quelqu’un a dit pour ne pas apporter un soupçon de développement à la Côte d’Ivoire et pendant plus de 10 ans ceci : « On ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala ». Un aveu d’impuissance et d’incapacité bien insultant pour les oreilles bien exercées au développement. Ouattara a balayé du revers de la main cette prime au laxisme, à la paresse et à l’abandon du peuple à son triste sort. Aujourd’hui, il a prouvé que cet hymne à la déchéance de la Côte d’Ivoire du Concert des Nations ne prévaudra pas toujours. Il a remis en place tous ressorts défectueux des secteurs traditionnels qu’il a depuis son accession à la magistrature de son pays, modernisés en un laps de temps.
Un souffle nouveau, une dynamique nouvelle insufflés aux secteurs traditionnels
‘’Cerveau politique de premier ordre’’, le président Alassane Ouattara a aussi pris le ferme engagement de faire passer tous les secteurs traditionnels laissé à l’abandon par ses prédécesseurs (l’agriculture, l’artisanat) dans le secteur formel afin de leur faciliter l’accès au financement, aux techniques et technologies modernes, pour un meilleur rendement. L’enjeu pour le chef de l’Etat ivoirien, c’est d’accroître leur productivité, augmenter leur valeur ajoutée et mettre aux standards mondiaux leurs produits afin d’accroître la production ivoirienne en améliorant les rendements et accroître parallèlement la transformation des produits encore trop souvent aujourd’hui exportés à l’état brut. Ouattara est ‘’magique’’ ! Il a réussi à mettre de nos jours, aux standards mondiaux, leurs produits dans l’optique d’accroître les revenus des agriculteurs et artisans. Ouattara l’a pensé, réalisé et réussi à force de mesures-clés ou énergiques au niveau de l’agriculture et de l’élevage.
Le remède-miracle de ‘’Docteur Alassane Ouattara’’
La ‘’potion magique’’ utilisée par le président ivoirien est composée d’ingrédients ou matières suivantes : l’accélération de la mise en œuvre de la loi foncière (délimitation des terroirs et délivrance des certificats fonciers) ; le renforcement du professionnalisme dans le secteur agricole pour la formation et la qualification des acteurs ; l’apport d’assistance technique aux paysans afin de les regrouper en coopératives ; d’améliorer leurs techniques de production (optimisation de l’utilisation des intrants, maîtrise du stockage,…). Il a en outre développé la transformation des produits vivriers en vue d’accroître leur valeur ajoutée et de mieux intégrer cette agriculture au secteur de la grande distribution dans le pays. Il a accéléré la construction des marchés de gros et de détail ; développé la transformation locale des produits agricoles primaires (cacao, anacarde, etc.) ; il a par ailleurs aussi développé l’activité d’élevage (bovins…) et facilité son intégration dans la chaîne de la grande distribution. ‘’L’élixir’’ au niveau de l’artisanat se base pour la transformation de ce secteur sur la construction de zones artisanales dans certains quartiers afin d’y installer les artisans et les y inciter à entrer dans le secteur formel ; le soutien à l’accès au financement des artisans en partenariat avec les institutions de microcrédit. Ouattara a aussi reformé le système financier, développé le secteur privé national, fait éclore des nouveaux secteurs porteurs de croissance, à suivre prochainement dans la suite et fin de notre dossier exclusif sur la transformation de l’économie ivoirienne. Ouattara est la deuxième chance de la Côte d’Ivoire. Un tel don de ciel, on ne le laisse pas de sitôt prendre sa retraite politique pour une banale question d’alternance ou du disque rayé du respect de la Constitution. Si tel est le vœu demain du peuple souverain de Côte d’Ivoire, qui a mis son cachet spécial sur cette loi fondamentale, que peut faire cette opposition radicale ? Qui dit : ‘’Vox populi, Vox dei’’ à l’unisson pour un ‘’bis repetita’’ qui sonne dans le cœur de ce peuple souverain pour ce ‘’messie’’ ? Avant le dépôt des différentes candidatures à la Commission Electorale Indépendante (CEI), ce peuple debout et comme un seul homme, dictera sa volonté. Qui vivra, verra ! A suivre !
Igor Wawayou
A peine élu par ces concitoyens à la magistrature suprême de son pays, Ouattara a pris cette décision qui a pu faire pouffer de rire quelques sceptiques. « Nous nous devons dans les années à venir d’accélérer la transformation de notre économie afin que cette dernière génère plus de valeur ajoutée sur le territoire national grâce à l’amélioration qualitative de nos produits, à l’amélioration de nos infrastructures et la création de zones industrielles décentralisées, à une plus grande transformation de nos produits agricoles, au développement d’industries manufacturées et de services, au développement des PME, à la transformation du secteur artisanal et au meilleur financement de notre économie ». Ce que ces ‘’tam-tams patentés’’ du négationnisme ont royalement oublié, c’est que le président Alassane Ouattara sait chercher l’argent où il se trouve pour réaliser tous les chantiers promis. C’est une question d’us et de coutumes chez les Ouattara, d’où son slogan : « Ce qu’un Ouattara dit, il le fait » ou encore la preuve par quatre au décompte final.
Ce que Ouattara a fait pour l’amélioration qualitative des produits agricoles ivoiriens
Grand visionnaire comme son ‘’géniteur’’ en politique, Félix Houphouët-Boigny, Alassane Ouattara a vu dès sa prise de fonction, un monde de plus en plus compétitif et décidé qu’il est plus indispensable à son pays de se différencier afin d’aspirer à être parmi les meilleurs. « Nos produits doivent être synonymes de qualité et nous allons développer les produits ‘’Made in Côte d’Ivoire’’ ». Quel courage politique à revendre ? Alassane Ouattara, après cette profession de foi, espoir d’un lendemain meilleur pour les paysans de son pays, énonce les mesures-clés qui vont accompagner cette amélioration qualitative de leurs produits : la collaboration avec le secteur privé ivoirien dans le domaine agricole afin d’améliorer les variétés et semences ; l’accélération de la formation des planteurs aux meilleurs techniques agricoles. Ce ne sont pas les producteurs du binôme café et cacao qui diront le contraire. Eux dont la qualité et la variété des produits ont été améliorées, tout comme les prix bord champ. Ils jurent la main sur le cœur qu’ils ne pourront jamais rejoindre le camp des médisants sur ce régime avec tous leurs revenus de nos jours améliorés, multipliés par deux. Cette grande vision de développement de son pays pour l’émergence promise à l’horizon 2020 a amené le président Alassane Ouattara à s’attaquer ensuite de front au chantier de l’expansion tous azimuts des infrastructures et également des zones industrielles. Là où des laxistes déclarent que ‘’qui trop embrasse, mal étreint’’, Ouattara n’est pas concerné par cette divination, ni cette incantation, prouvant à tous les niveaux à ces ‘’défaitistes’’ qu’il est né pour gagner, il est un vainqueur.
Le grand chantier des infrastructures et zones industrielles
Les pays industrialisés nous enseignent chaque fois que la route précède le développement. Une assertion qui cloue au pilori les tenants d’une thèse simpliste, dénuée de tout désir de développement qui ‘’claironnent’’ ici ‘’qu’one ne mange pas la route’’. Ouattara leur a prouvé que c’est par le biais de ces voies de liaison que les produits vivriers arrivent dans leurs assiettes et que la famine n’est jamais déclarée en Côte d’Ivoire. Ouattara n’a donc pas voulu que les infrastructures routières et les zones industrielles constituent pour son pays des facteurs bloquants. Il a donc pris la résolution d’offrir aux opérateurs économiques désireux d’investir dans son pays, des terrains juridiquement et techniquement aptes à recevoir leurs installations, mais aussi un vaste et dense réseau d’infrastructures permettant d’apporter à leurs activités l’eau, l’énergie et les routes permettant l’acheminement de leurs matières premières et la distribution de leur production. Deux bases donc de développement endogène de la Côte d’Ivoire : les infrastructures et les zones industrielles. Aujourd’hui, il est bien aisé de le vérifier dans chaque commune (13) du District autonome d’Abidjan. ‘’Les Saint Thomas’’ en ont aujourd’hui pour leurs comptes. Car le président Alassane Ouattara a, avec célérité, mis en place un schéma directeur des routes permettant de poursuivre le développement du réseau tout en sauvegardant l’existant ; la sécurisation budgétaire du schéma des routes pour son exécution ; la finalisation de l’aménagement de 200 hectares de zone industrielle au PK 24 de l’Autoroute du Nord en partenariat avec le secteur privé. Ce n’est pas tout. Il faut ajouter à cette liste, l’accroissement de la capacité et l’amélioration de la compétitivité des ports d’Abidjan et de San Pedro, devenus depuis des hubs portuaires de la sous-région Ouest africaine ; la réhabilitation des zones industrielles d’Abidjan (Yopougon, Koumassi, Vridi) et de San Pedro ; la mise en place du cadre règlementaire sur les zones économiques spéciales ou franches ; la mise en place de zones économiques spéciales, notamment San Pedro, Bouaké et Korhogo ; la réhabilitation du réseau ferroviaire pour le transport de marchandises. Le soutien au développement des activités d’Air Côte d’Ivoire afin de positionner Abidjan comme le hub économique de la sous-région et l’amélioration de la mobilité intérieure porte la signature du grand bâtisseur inégalé en Afrique noire indépendante : le président Alassane Ouattara. Ceux qui médisent aujourd’hui sur son compte sont de mauvais opposants, de mauvais perdants qui ne digèrent pas qu’il ait réussi, là où ils ont hier lamentablement échoué. Aujourd’hui, il faut le dire sans fioritures, son bilan à mi-parcours a fini de leur barrer définitivement la route, pour plusieurs années encore, le chemin qui mène au Palais présidentiel au Plateau. Ouattara est un infatigable bosseur, un travailleur acharné qui ne néglige aucun secteur capable de favoriser cette transformation à fond de l’économie ivoirienne afin de parvenir à l’émergence promise à l’horizon 2020 à son peuple. Quelqu’un a dit pour ne pas apporter un soupçon de développement à la Côte d’Ivoire et pendant plus de 10 ans ceci : « On ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala ». Un aveu d’impuissance et d’incapacité bien insultant pour les oreilles bien exercées au développement. Ouattara a balayé du revers de la main cette prime au laxisme, à la paresse et à l’abandon du peuple à son triste sort. Aujourd’hui, il a prouvé que cet hymne à la déchéance de la Côte d’Ivoire du Concert des Nations ne prévaudra pas toujours. Il a remis en place tous ressorts défectueux des secteurs traditionnels qu’il a depuis son accession à la magistrature de son pays, modernisés en un laps de temps.
Un souffle nouveau, une dynamique nouvelle insufflés aux secteurs traditionnels
‘’Cerveau politique de premier ordre’’, le président Alassane Ouattara a aussi pris le ferme engagement de faire passer tous les secteurs traditionnels laissé à l’abandon par ses prédécesseurs (l’agriculture, l’artisanat) dans le secteur formel afin de leur faciliter l’accès au financement, aux techniques et technologies modernes, pour un meilleur rendement. L’enjeu pour le chef de l’Etat ivoirien, c’est d’accroître leur productivité, augmenter leur valeur ajoutée et mettre aux standards mondiaux leurs produits afin d’accroître la production ivoirienne en améliorant les rendements et accroître parallèlement la transformation des produits encore trop souvent aujourd’hui exportés à l’état brut. Ouattara est ‘’magique’’ ! Il a réussi à mettre de nos jours, aux standards mondiaux, leurs produits dans l’optique d’accroître les revenus des agriculteurs et artisans. Ouattara l’a pensé, réalisé et réussi à force de mesures-clés ou énergiques au niveau de l’agriculture et de l’élevage.
Le remède-miracle de ‘’Docteur Alassane Ouattara’’
La ‘’potion magique’’ utilisée par le président ivoirien est composée d’ingrédients ou matières suivantes : l’accélération de la mise en œuvre de la loi foncière (délimitation des terroirs et délivrance des certificats fonciers) ; le renforcement du professionnalisme dans le secteur agricole pour la formation et la qualification des acteurs ; l’apport d’assistance technique aux paysans afin de les regrouper en coopératives ; d’améliorer leurs techniques de production (optimisation de l’utilisation des intrants, maîtrise du stockage,…). Il a en outre développé la transformation des produits vivriers en vue d’accroître leur valeur ajoutée et de mieux intégrer cette agriculture au secteur de la grande distribution dans le pays. Il a accéléré la construction des marchés de gros et de détail ; développé la transformation locale des produits agricoles primaires (cacao, anacarde, etc.) ; il a par ailleurs aussi développé l’activité d’élevage (bovins…) et facilité son intégration dans la chaîne de la grande distribution. ‘’L’élixir’’ au niveau de l’artisanat se base pour la transformation de ce secteur sur la construction de zones artisanales dans certains quartiers afin d’y installer les artisans et les y inciter à entrer dans le secteur formel ; le soutien à l’accès au financement des artisans en partenariat avec les institutions de microcrédit. Ouattara a aussi reformé le système financier, développé le secteur privé national, fait éclore des nouveaux secteurs porteurs de croissance, à suivre prochainement dans la suite et fin de notre dossier exclusif sur la transformation de l’économie ivoirienne. Ouattara est la deuxième chance de la Côte d’Ivoire. Un tel don de ciel, on ne le laisse pas de sitôt prendre sa retraite politique pour une banale question d’alternance ou du disque rayé du respect de la Constitution. Si tel est le vœu demain du peuple souverain de Côte d’Ivoire, qui a mis son cachet spécial sur cette loi fondamentale, que peut faire cette opposition radicale ? Qui dit : ‘’Vox populi, Vox dei’’ à l’unisson pour un ‘’bis repetita’’ qui sonne dans le cœur de ce peuple souverain pour ce ‘’messie’’ ? Avant le dépôt des différentes candidatures à la Commission Electorale Indépendante (CEI), ce peuple debout et comme un seul homme, dictera sa volonté. Qui vivra, verra ! A suivre !
Igor Wawayou