Le Tribunal de première instance d'Abidjan a, à nouveau mis en délibéré au 22 août prochain, le procès opposant la Chambre des afficheurs de Côte d'Ivoire (CAFCI) au ministère ivoirien de la communication et des médias, a-t-on appris vendredi de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.
«Le dossier a été mis en délibéré au 22 août prochain. Il est en l'état et la décision sera rendue le 22 août prochain», a dit à APA, Me Oupoh Carine, l'avocate de la Chambre des afficheurs de Côte d'Ivoire.
Le 26 juillet dernier, cette affaire avait été mise en délibéré au 31 juillet dernier avant d'être renvoyée au 09 août dernier, puis au 16 août (ce vendredi).
Le ministère ivoirien de la communication et des médias a été assigné en justice par les afficheurs professionnels de Côte d'Ivoire qui dénoncent la « destruction illégale » de leurs dispositifs publicitaires dans le district autonome d'Abidjan.
Selon Sidi Touré, le ministre ivoirien de la communication et des médias, cette opération qui s'inscrit dans « son rôle institutionnel d'assurer la sécurité des ivoiriens », vise à débarrasser le district autonome d'Abidjan des «dispositifs publicitaires irréguliers ».
Selon lui, 1629 dispositifs publicitaires «non autorisés» ont été dénombrés dans la capitale économique ivoirienne.
De son côté, la CAFCI estime à ce jour, à plus d'un milliard FCFA, le préjudice financier qu'elle enregistre du fait de la destruction des panneaux publicitaires de ses membres dans le district autonome d'Abidjan.
LB/ls/APA
«Le dossier a été mis en délibéré au 22 août prochain. Il est en l'état et la décision sera rendue le 22 août prochain», a dit à APA, Me Oupoh Carine, l'avocate de la Chambre des afficheurs de Côte d'Ivoire.
Le 26 juillet dernier, cette affaire avait été mise en délibéré au 31 juillet dernier avant d'être renvoyée au 09 août dernier, puis au 16 août (ce vendredi).
Le ministère ivoirien de la communication et des médias a été assigné en justice par les afficheurs professionnels de Côte d'Ivoire qui dénoncent la « destruction illégale » de leurs dispositifs publicitaires dans le district autonome d'Abidjan.
Selon Sidi Touré, le ministre ivoirien de la communication et des médias, cette opération qui s'inscrit dans « son rôle institutionnel d'assurer la sécurité des ivoiriens », vise à débarrasser le district autonome d'Abidjan des «dispositifs publicitaires irréguliers ».
Selon lui, 1629 dispositifs publicitaires «non autorisés» ont été dénombrés dans la capitale économique ivoirienne.
De son côté, la CAFCI estime à ce jour, à plus d'un milliard FCFA, le préjudice financier qu'elle enregistre du fait de la destruction des panneaux publicitaires de ses membres dans le district autonome d'Abidjan.
LB/ls/APA