Gagnoa, La mécanisation de la riziculture est une solution pour parvenir à l’autosuffisance en riz, a traduit en substance la commissaire générale du festival du riz de Gagnoa ou "Gblo Gblo Saka festival" en langue locale, Mme Grékou Martine, souhaitant en cela un accompagnement de l'Etat à une partie de la jeunesse qui ambitionne de retourner à la terre pour pratiquer la culture du riz.
Mme Grékou s'est exprimée sur cet accompagnement, mardi, lors d’une conférence de presse bilan de la 15ème édition du festival du riz, soulignant que csans cette mécanisation, il serait difficile d’arriver à l’autosuffisance en riz dont le pays importe une bonne quantité pour les besoins nutritionnels de sa population.
"Là où l’Etat ne peut arriver, nous arrivons, nous découvrons, et nous mettons cela à la disposition de tous", a traduit la présidente de l'organisation non gouvernementale "Doubéhi", initiatrice du festival. Son ONG, a-t-elle dit en substance peut être un relais entre les jeunes désireux de pratiquer la riziculture et les gouvernants.
Au-delà du Gblo-Gblo festival, l’Ong accompagne le monde rural et "les mains vides, on ne peut rien faire", déplore la commissaire générale, dont le festival s’est tenu de vendredi à dimanche, à la place Laurent Gbagbo de Gagnoa.
La secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, avait profité de la clôture du festival, dimanche, pour faire ressortir les actions prioritaires du gouvernement à travers l’Agence pour le développement du riz, ainsi que de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), représentée dans toutes les régions productrices de riz.
(AIP)
dd/ask
Mme Grékou s'est exprimée sur cet accompagnement, mardi, lors d’une conférence de presse bilan de la 15ème édition du festival du riz, soulignant que csans cette mécanisation, il serait difficile d’arriver à l’autosuffisance en riz dont le pays importe une bonne quantité pour les besoins nutritionnels de sa population.
"Là où l’Etat ne peut arriver, nous arrivons, nous découvrons, et nous mettons cela à la disposition de tous", a traduit la présidente de l'organisation non gouvernementale "Doubéhi", initiatrice du festival. Son ONG, a-t-elle dit en substance peut être un relais entre les jeunes désireux de pratiquer la riziculture et les gouvernants.
Au-delà du Gblo-Gblo festival, l’Ong accompagne le monde rural et "les mains vides, on ne peut rien faire", déplore la commissaire générale, dont le festival s’est tenu de vendredi à dimanche, à la place Laurent Gbagbo de Gagnoa.
La secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, avait profité de la clôture du festival, dimanche, pour faire ressortir les actions prioritaires du gouvernement à travers l’Agence pour le développement du riz, ainsi que de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), représentée dans toutes les régions productrices de riz.
(AIP)
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