Passé le premier semestre de l’année, la Direction Générale de l’intégration Africaine (DGIA) a convoqué ce mardi 20 Août, l’ensemble de ses directions centrales et services à Grand-Bassam pour un atelier bilan.
Ce conclave vise à évaluer les performances et les faiblesses de la structure, dans la mise en œuvre de ses chantiers en vue de mieux se projeter.
Les quelques grands chantiers de la DGIA sont, l’élaboration du plan stratégique de l’intégration Africaine (PSI 2018-2022, le suivi au quotidien relatif aux accords de partenariats économiques (APE) avec l’Union Européenne, le projet de construction du port sec de Ferkessédougou, la réalisation du projet de développement intégré du Wassoulou et le projet de construction de l’usine régionale de bio larvicides.
Wantabouna Ouattara, Directeur Général de l’intégration Africaine, a indiqué que les travaux se dérouleront en plénière sur deux jours et porteront notamment sur le sommaire des activités réalisées, les difficultés rencontrées et la programmation pluriannuelle des dépenses en tenant compte du budget-programme.
Avant de déclarer l’ouverture de l’atelier, Diamoutené Alassane Zié, Directeur de cabinet, représentant le ministre de l’intégration Africaine et des ivoiriens de l’extérieur, a salué cette initiative qui va permettre d’améliorer les résultats du ministère en fin d’année et les efforts de la DGIA qui en plus de l’intégration politique, monétaire et économique, travaille sur les chantiers de l’intégration sociale et culturelle.
Il a invité la DGIA à mettre un point d’honneur sur la déconcentration de ses différents services pour être plus proche des populations qui doivent s’approprier la notion d’intégration et de libre échange continentale.
Rappelons que la Direction Générale de l’intégration Africaine a pour mission d’assurer la coordination et la promotion des politiques sectorielles, définir et assurer le suivi de la politique d’intégration des communautés Africaines vivant en Côte d’Ivoire et participer à la définition de la mise en œuvre, au suivi et à l’évaluation des programmes communautaires de la CEDEAO, UEMOA, L’Union du fleuve Mano, du Comité permanent Inter-États de lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) et du conseil de l’Entente.
P. R.
Ce conclave vise à évaluer les performances et les faiblesses de la structure, dans la mise en œuvre de ses chantiers en vue de mieux se projeter.
Les quelques grands chantiers de la DGIA sont, l’élaboration du plan stratégique de l’intégration Africaine (PSI 2018-2022, le suivi au quotidien relatif aux accords de partenariats économiques (APE) avec l’Union Européenne, le projet de construction du port sec de Ferkessédougou, la réalisation du projet de développement intégré du Wassoulou et le projet de construction de l’usine régionale de bio larvicides.
Wantabouna Ouattara, Directeur Général de l’intégration Africaine, a indiqué que les travaux se dérouleront en plénière sur deux jours et porteront notamment sur le sommaire des activités réalisées, les difficultés rencontrées et la programmation pluriannuelle des dépenses en tenant compte du budget-programme.
Avant de déclarer l’ouverture de l’atelier, Diamoutené Alassane Zié, Directeur de cabinet, représentant le ministre de l’intégration Africaine et des ivoiriens de l’extérieur, a salué cette initiative qui va permettre d’améliorer les résultats du ministère en fin d’année et les efforts de la DGIA qui en plus de l’intégration politique, monétaire et économique, travaille sur les chantiers de l’intégration sociale et culturelle.
Il a invité la DGIA à mettre un point d’honneur sur la déconcentration de ses différents services pour être plus proche des populations qui doivent s’approprier la notion d’intégration et de libre échange continentale.
Rappelons que la Direction Générale de l’intégration Africaine a pour mission d’assurer la coordination et la promotion des politiques sectorielles, définir et assurer le suivi de la politique d’intégration des communautés Africaines vivant en Côte d’Ivoire et participer à la définition de la mise en œuvre, au suivi et à l’évaluation des programmes communautaires de la CEDEAO, UEMOA, L’Union du fleuve Mano, du Comité permanent Inter-États de lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) et du conseil de l’Entente.
P. R.