Abidjan- Le président rwandais Paul Kagamé et son homologue ougandais Yoweri Museveni ont signé, mercredi, un accord pour mettre un terme aux tensions entre les deux pays.
La signature de cet accord a eu lieu lors de la deuxième réunion quadripartite entre le Rwanda, l’Angola, l’Ouganda, et la RDC sur la coopération et la sécurité dans la sous-région, afin d’arrêter les tensions entre les deux pays voisins.
Le dirigeant angolais, le président Lourenço, a salué cet accord qui, a-t-il dit, illustre "la volonté de ces chefs d’Etat de surmonter le conflit".
Les tensions entre le Rwanda et l'Ouganda ont provoqué en février la fermeture de la frontière entre les deux pays. En mars, le Rwanda avait publiquement accusé l'Ouganda d'avoir enlevé des Rwandais et de soutenir des rebelles voulant renverser son gouvernement. En mai, la police ougandaise avait aussi accusé des soldats rwandais d'avoir pénétré sur son territoire et d'y avoir tué deux hommes, ce que Kigali avait démenti.
Les relations diplomatiques entre les deux Etats voisins s’étaient extériorisées du fait des accusations mutuelles d’espionnage, d’assassinat politique, d’ingérence dans les affaires intérieures, d’arrestations et d’expulsions arbitraires.
La mise en application de cet accord devrait mettre fin à six mois de tensions entre ces deux pays et éviter à la région de sombrer dans l’instabilité socio-économique.
eaa/ask
La signature de cet accord a eu lieu lors de la deuxième réunion quadripartite entre le Rwanda, l’Angola, l’Ouganda, et la RDC sur la coopération et la sécurité dans la sous-région, afin d’arrêter les tensions entre les deux pays voisins.
Le dirigeant angolais, le président Lourenço, a salué cet accord qui, a-t-il dit, illustre "la volonté de ces chefs d’Etat de surmonter le conflit".
Les tensions entre le Rwanda et l'Ouganda ont provoqué en février la fermeture de la frontière entre les deux pays. En mars, le Rwanda avait publiquement accusé l'Ouganda d'avoir enlevé des Rwandais et de soutenir des rebelles voulant renverser son gouvernement. En mai, la police ougandaise avait aussi accusé des soldats rwandais d'avoir pénétré sur son territoire et d'y avoir tué deux hommes, ce que Kigali avait démenti.
Les relations diplomatiques entre les deux Etats voisins s’étaient extériorisées du fait des accusations mutuelles d’espionnage, d’assassinat politique, d’ingérence dans les affaires intérieures, d’arrestations et d’expulsions arbitraires.
La mise en application de cet accord devrait mettre fin à six mois de tensions entre ces deux pays et éviter à la région de sombrer dans l’instabilité socio-économique.
eaa/ask