Bouaké-Un atelier visant à faire l’état des lieux de l’organisation interprofessionnelle de la filière en vue de proposer un plan d’action pour le développement de ladite organisation, s’est ouvert, jeudi, à Bouaké, à l’intention des acteurs de la filière, de l’administration et des partenaires techniques.
Initié dans le cadre du programme d’appui au développement des filières agricoles (PADFA), l’atelier permettra notamment de faire l’état des lieux de la fonctionnalité de l’Interprofession, identifier les forces, les faiblesses, les opportunités et menaces, les différentes potentialités, les principaux goulots d’étranglement de la filière riz et proposer un plan d’action pour la redynamisation de l’interprofession.
Le président de l’interprofession de la filière riz, Pierre Zoro Bi, souligne que sa structure est une jeune organisation. Elle attend son décret de reconnaissance pour fonctionner pleinement et lance véritablement ses différents programmes d’activités. L’Interprofession, a-t-il signifié, est comme «un maître d’ouvrage délégué d’une partie des prérogatives de l’Etat». Elle va contribuer à l’atteinte de l’objectif de l’autosuffisance en Côte d’Ivoire.
Le coordonnateur du Programme d’appui au développement des filières agricoles, Baïmé Auguste, note que l’atteinte de l’autosuffisance en riz passe par une meilleure organisation pour «une collaboration efficace» entre les acteurs de la filière.
Le Programme d’appui au développement des filières agricoles vise à améliorer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus des exploitations agricoles des filières de la mangue, du riz et du maraîcher dans les régions de la Bagoué, du Poro, du Hambol, du Tchologo et de Gbêkê.
Dans la région de Gbêkê l’accent est mis sur les filières du riz et du maraîcher avec la prise en compte des activités poste-récolte, de production, de transformation et de commercialisation.
nbf/ask
Initié dans le cadre du programme d’appui au développement des filières agricoles (PADFA), l’atelier permettra notamment de faire l’état des lieux de la fonctionnalité de l’Interprofession, identifier les forces, les faiblesses, les opportunités et menaces, les différentes potentialités, les principaux goulots d’étranglement de la filière riz et proposer un plan d’action pour la redynamisation de l’interprofession.
Le président de l’interprofession de la filière riz, Pierre Zoro Bi, souligne que sa structure est une jeune organisation. Elle attend son décret de reconnaissance pour fonctionner pleinement et lance véritablement ses différents programmes d’activités. L’Interprofession, a-t-il signifié, est comme «un maître d’ouvrage délégué d’une partie des prérogatives de l’Etat». Elle va contribuer à l’atteinte de l’objectif de l’autosuffisance en Côte d’Ivoire.
Le coordonnateur du Programme d’appui au développement des filières agricoles, Baïmé Auguste, note que l’atteinte de l’autosuffisance en riz passe par une meilleure organisation pour «une collaboration efficace» entre les acteurs de la filière.
Le Programme d’appui au développement des filières agricoles vise à améliorer durablement la sécurité alimentaire et nutritionnelle et les revenus des exploitations agricoles des filières de la mangue, du riz et du maraîcher dans les régions de la Bagoué, du Poro, du Hambol, du Tchologo et de Gbêkê.
Dans la région de Gbêkê l’accent est mis sur les filières du riz et du maraîcher avec la prise en compte des activités poste-récolte, de production, de transformation et de commercialisation.
nbf/ask