En octobre 2020, le peuple ivoirien sera appelé aux urnes en parfait accord avec le calendrier électoral prévu par la Constitution du pays. Le bilan des actions menées par le président de la République, SEM Alassane Ouattara, a montré que celles-ci ont globalement produit des résultats en phase avec ses promesses électorales de 2015. Et que les fonctionnements de l’émergence ont bel et bien été posés.
Le président Alassane Ouattara, nous allons toujours le mentionner, a hérité le 21 mai 2011 d’une situation catastrophique. Mais n’a pas croisé les bras à l’image de ceux qui prêchaient avant son avènement ‘’qu’on ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala’’, un aveu d’impuissance et d’incapacité qui démontre aujourd’hui à nos yeux, la méchanceté, le cynisme du pouvoir des ex-refondateurs. Ouattara n’a pas observé un temps de répit pour s’attaquer aux grands maux qui ‘’rongeaient’’ l’économie, plombaient la création des emplois et endiguaient l’amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
La priorité des priorités de Ouattara
La priorité des priorités de celui qui est sans conteste ‘’la deuxième chance’’ de la Côte d’Ivoire après le président Félix Houphouët-Boigny fut de ramener par une ‘’diplomatie gagnante’’, la paix pour mettre tout le pays au travail ; restaurer la sécurité de son peuple sur toute l’étendue du territoire national ; renforcer ensuite le dialogue et la cohésion nationale. Ouattara a poursuivi sa politique de reconstruction après la crise postélectorale en remettant à niveau les infrastructures ou en commençant à les développer à travers tout le pays dans l’impartialité totale, aucune région n’étant laissée à la gare du train de l’émergence promise à l’orée 2020 à ses concitoyens. L’élu du peuple de Côte d’Ivoire s’est aussi attaqué aux grands piliers de l’économie pour la relancer puisqu’elle était dans une déliquescence sans nom. Il a, en outre, créé à profusion des emplois, le Guichet emploi-jeunes fait partie des mesures-clés prises en faveur de cette jeunesse en proie hier au chômage, au désespoir, au désarroi et aux vices de toutes sortes. Ouattara a sorti cette jeunesse ‘’du trou’’ pour paraphraser son ‘’géniteur’’ en politique, Félix Houphouët-Boigny. Le numéro 1 ivoirien a considérablement amélioré les conditions de vie des populations. C’est ainsi, dit-il, que la Côte d’Ivoire a renoué avec ses valeurs de paix, d’union et de travail pour surmonter de nos jours les nombreux défis issus des années de crise et celle de la crise postélectorale. Aujourd’hui, les résultats sont là sous nos yeux : la Côte d’Ivoire a enregistré l’une des plus fortes croissances économiques au monde au cours de ces quatre dernières années.
Une meilleure distribution des fruits de la croissance à tout le peuple
Le président Alassane Ouattara, il faut encore le préciser, est un homme de parole. Quand il dit, il le fait ou le réalise. Malgré ces bons points à mettre à son actif, le chef de l’Etat ivoirien veut aller plus loin et plus vite en accélérant le développement de la Côte d’Ivoire et continuer à améliorer le quotidien des Ivoiriens. Cela s’appelle se soucier du bien-être et du bonheur de son peuple. Quelle chance inouïe pour les Ivoiriens ? Ouattara a décliné ses grandes ambitions pour son pays en ces termes : « Nous le ferons en main tenant notre cap d’une croissance économique forte et au profit de tous les Ivoiriens », écrit-il dans son programme de gouvernement du RHDP. Et de poursuivre : « Nous croyons que nous pouvons réussir ensemble l’ambition de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. L’enjeu pour le prochain quinquennat (nous étions en 2015) sera de consolider les nombreux acquis, d’accélérer les réformes et de faire face sans complaisance, aux défis majeurs qui persistent. »
Les engagements pris et exécutés à la lettre par Ouattara
Un autre chantier exploré et réussi par le président Alassane Ouattara au niveau des engagements pris devant ses concitoyens en 2015, est l’accélération et le renforcement des institutions, de la démocratie et du dialogue à l’ivoirienne. Aujourd’hui, sauf l’opposition qui est de mauvaise foi, le taux de pauvreté en Côte d’Ivoire a été réduit de moitié. Il a été ramené de 48% en 2015 à 25% pour 2020. Ouattara a élevé le niveau de la lutte contre le terrorisme avec une grande puissance de réaction et de frappe de l’armée ivoirienne qu’il a pacifiée et modernisée en un tour de main, le trafic d’êtres humains et le trafic de marchandises illicites. Avec un partenariat gagnant-gagnant avec le secteur privé, le premier citoyen ivoirien a mis en place des réformes hardies visant à améliorer le climat des affaires, la transparence, la bonne gouvernance et la compétitivité, choses qui n’existaient pas avant le 21 mais 2011. Que mettre d’autre comme bons points glanés par le président Alassane Ouattara ? A cette longue liste de réalisations qui portent son empreinte, il faut inscrire en bonne place, l’industrialisation et la transformation des matières premières de son pays pour consolider et pérenniser une croissance forte et durable pour les années futures en vue d’atteindre en 2020, l’objectif de transformation de 50% au moins des produits primaires de la Côte d’Ivoire. Le chef de l’Etat, en grand visionnaire et guide éclairé a développé les actions de l’Etat en vue de la création d’emplois pour toutes les couches sociales, prioritairement les jeunes et les femmes. Il a également mis en place des réformes structurelles afin d’accroître la part des investissements publics dans les secteurs sociaux et attirer par la même occasion, le secteur privé à investir dans les grands projets structurants. Ouattara a incontestablement mis son pays sur la trajectoire de développement durable au profit de tous les habitants de la Côte d’Ivoire. Le chef de l’Etat ivoirien qui sait bien faire les choses, a axé son programme pour l’émergence à l’horizon 2020 qui prend solidement appui sur quatre (04) piliers : le renforcement des institutions pour la paix et la bonne gouvernance ; la transformation de l’économie par une grande industrialisation et diversité de ses sources de financement, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens grâce à la réalisation de filets sociaux garantissant un accès équitable aux services publics de base (santé, éducation, logement) et quatre la promotion de la jeunesse et de la femme. N’est-ce pas magique, merveilleux ? Ouattara l’a pensé, il l’a réalisé pour son peuple ! Qui dit mieux sous nos cieux ?
Igor Wawayou
Le président Alassane Ouattara, nous allons toujours le mentionner, a hérité le 21 mai 2011 d’une situation catastrophique. Mais n’a pas croisé les bras à l’image de ceux qui prêchaient avant son avènement ‘’qu’on ne sort pas d’une guerre comme d’un dîner-gala’’, un aveu d’impuissance et d’incapacité qui démontre aujourd’hui à nos yeux, la méchanceté, le cynisme du pouvoir des ex-refondateurs. Ouattara n’a pas observé un temps de répit pour s’attaquer aux grands maux qui ‘’rongeaient’’ l’économie, plombaient la création des emplois et endiguaient l’amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
La priorité des priorités de Ouattara
La priorité des priorités de celui qui est sans conteste ‘’la deuxième chance’’ de la Côte d’Ivoire après le président Félix Houphouët-Boigny fut de ramener par une ‘’diplomatie gagnante’’, la paix pour mettre tout le pays au travail ; restaurer la sécurité de son peuple sur toute l’étendue du territoire national ; renforcer ensuite le dialogue et la cohésion nationale. Ouattara a poursuivi sa politique de reconstruction après la crise postélectorale en remettant à niveau les infrastructures ou en commençant à les développer à travers tout le pays dans l’impartialité totale, aucune région n’étant laissée à la gare du train de l’émergence promise à l’orée 2020 à ses concitoyens. L’élu du peuple de Côte d’Ivoire s’est aussi attaqué aux grands piliers de l’économie pour la relancer puisqu’elle était dans une déliquescence sans nom. Il a, en outre, créé à profusion des emplois, le Guichet emploi-jeunes fait partie des mesures-clés prises en faveur de cette jeunesse en proie hier au chômage, au désespoir, au désarroi et aux vices de toutes sortes. Ouattara a sorti cette jeunesse ‘’du trou’’ pour paraphraser son ‘’géniteur’’ en politique, Félix Houphouët-Boigny. Le numéro 1 ivoirien a considérablement amélioré les conditions de vie des populations. C’est ainsi, dit-il, que la Côte d’Ivoire a renoué avec ses valeurs de paix, d’union et de travail pour surmonter de nos jours les nombreux défis issus des années de crise et celle de la crise postélectorale. Aujourd’hui, les résultats sont là sous nos yeux : la Côte d’Ivoire a enregistré l’une des plus fortes croissances économiques au monde au cours de ces quatre dernières années.
Une meilleure distribution des fruits de la croissance à tout le peuple
Le président Alassane Ouattara, il faut encore le préciser, est un homme de parole. Quand il dit, il le fait ou le réalise. Malgré ces bons points à mettre à son actif, le chef de l’Etat ivoirien veut aller plus loin et plus vite en accélérant le développement de la Côte d’Ivoire et continuer à améliorer le quotidien des Ivoiriens. Cela s’appelle se soucier du bien-être et du bonheur de son peuple. Quelle chance inouïe pour les Ivoiriens ? Ouattara a décliné ses grandes ambitions pour son pays en ces termes : « Nous le ferons en main tenant notre cap d’une croissance économique forte et au profit de tous les Ivoiriens », écrit-il dans son programme de gouvernement du RHDP. Et de poursuivre : « Nous croyons que nous pouvons réussir ensemble l’ambition de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. L’enjeu pour le prochain quinquennat (nous étions en 2015) sera de consolider les nombreux acquis, d’accélérer les réformes et de faire face sans complaisance, aux défis majeurs qui persistent. »
Les engagements pris et exécutés à la lettre par Ouattara
Un autre chantier exploré et réussi par le président Alassane Ouattara au niveau des engagements pris devant ses concitoyens en 2015, est l’accélération et le renforcement des institutions, de la démocratie et du dialogue à l’ivoirienne. Aujourd’hui, sauf l’opposition qui est de mauvaise foi, le taux de pauvreté en Côte d’Ivoire a été réduit de moitié. Il a été ramené de 48% en 2015 à 25% pour 2020. Ouattara a élevé le niveau de la lutte contre le terrorisme avec une grande puissance de réaction et de frappe de l’armée ivoirienne qu’il a pacifiée et modernisée en un tour de main, le trafic d’êtres humains et le trafic de marchandises illicites. Avec un partenariat gagnant-gagnant avec le secteur privé, le premier citoyen ivoirien a mis en place des réformes hardies visant à améliorer le climat des affaires, la transparence, la bonne gouvernance et la compétitivité, choses qui n’existaient pas avant le 21 mais 2011. Que mettre d’autre comme bons points glanés par le président Alassane Ouattara ? A cette longue liste de réalisations qui portent son empreinte, il faut inscrire en bonne place, l’industrialisation et la transformation des matières premières de son pays pour consolider et pérenniser une croissance forte et durable pour les années futures en vue d’atteindre en 2020, l’objectif de transformation de 50% au moins des produits primaires de la Côte d’Ivoire. Le chef de l’Etat, en grand visionnaire et guide éclairé a développé les actions de l’Etat en vue de la création d’emplois pour toutes les couches sociales, prioritairement les jeunes et les femmes. Il a également mis en place des réformes structurelles afin d’accroître la part des investissements publics dans les secteurs sociaux et attirer par la même occasion, le secteur privé à investir dans les grands projets structurants. Ouattara a incontestablement mis son pays sur la trajectoire de développement durable au profit de tous les habitants de la Côte d’Ivoire. Le chef de l’Etat ivoirien qui sait bien faire les choses, a axé son programme pour l’émergence à l’horizon 2020 qui prend solidement appui sur quatre (04) piliers : le renforcement des institutions pour la paix et la bonne gouvernance ; la transformation de l’économie par une grande industrialisation et diversité de ses sources de financement, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens grâce à la réalisation de filets sociaux garantissant un accès équitable aux services publics de base (santé, éducation, logement) et quatre la promotion de la jeunesse et de la femme. N’est-ce pas magique, merveilleux ? Ouattara l’a pensé, il l’a réalisé pour son peuple ! Qui dit mieux sous nos cieux ?
Igor Wawayou