Les potentialités de la zone Sikasso-Korhogo-Bobo Dioulasso intéressent de plus en plus les investisseurs et partenaires extérieurs. Cette zone de 165000 km2 et de 8 millions d’habitants est riche de ressources minières et agricoles comme le karité, la mangue et l’anacarde.
Bientôt, elle constituera un poumon économique régional car les autorités y travaillent. Dans cet élan, il s’est ouvert ce jeudi 29 Août un atelier de concertation nationale en vue de la création de la zone économique Sikasso-Korhogo- Bobo-Dioulasso (SKBO).
Cette rencontre qui se tient sur deux jours à la représentation de la CEDEAO à Abidjan, va permettre aux participants d’élaborer une stratégie de mise en place de cette zone économique et rédiger une feuille de route avec un échéancier indicatif.
« Les populations attendent avec anxiété une meilleure organisation de cette zone pour l’amélioration de leurs conditions de vie » a indiqué Siama Bamba, président de l’Union Transfrontalière des Collectivités de l’espace SKBO.
Les gouvernants, eux, comme l’a indiqué Philippe Goly, Directeur en charge de la l’industrie, du commerce et du libre-échange, sont à pieds d’œuvre pour réduire les disparités.
En Mai 2018, les premiers Ministres du Mali, de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, ont signé un engagement pour la création d’une zone économique spéciale dans cet espace.
Le Ministère de l’intégration Africaine et des Ivoiriens de l’extérieur à travers la Direction Générale de l’Intégration Africaine accompagne ce projet dans sa structuration et sa mise en œuvre.
Bientôt, elle constituera un poumon économique régional car les autorités y travaillent. Dans cet élan, il s’est ouvert ce jeudi 29 Août un atelier de concertation nationale en vue de la création de la zone économique Sikasso-Korhogo- Bobo-Dioulasso (SKBO).
Cette rencontre qui se tient sur deux jours à la représentation de la CEDEAO à Abidjan, va permettre aux participants d’élaborer une stratégie de mise en place de cette zone économique et rédiger une feuille de route avec un échéancier indicatif.
« Les populations attendent avec anxiété une meilleure organisation de cette zone pour l’amélioration de leurs conditions de vie » a indiqué Siama Bamba, président de l’Union Transfrontalière des Collectivités de l’espace SKBO.
Les gouvernants, eux, comme l’a indiqué Philippe Goly, Directeur en charge de la l’industrie, du commerce et du libre-échange, sont à pieds d’œuvre pour réduire les disparités.
En Mai 2018, les premiers Ministres du Mali, de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, ont signé un engagement pour la création d’une zone économique spéciale dans cet espace.
Le Ministère de l’intégration Africaine et des Ivoiriens de l’extérieur à travers la Direction Générale de l’Intégration Africaine accompagne ce projet dans sa structuration et sa mise en œuvre.