La Côte d’Ivoire est toujours sous le choc après la profanation de la tombe de DJ Arafat. L’icône du coupé-décalé a été enterrée samedi dernier après des obsèques grandioses au stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Les fans les plus dévots, qui ne croyaient toujours pas au décès de leur idole, ont ouvert son cercueil pour s’assurer qu’il s’agissait bien de sa dépouille. Après le scandale national et les réactions indignées, l’affaire prend un tournant politique.
Si la classe politique s’est montrée unie pour condamner la profanation de la tombe de DJ Arafat, elle se divise à nouveau pour situer les responsabilités de ce drame. Pour le député d’opposition Alain Lobognon, la faute ne revient pas aux fans déchaînés du Daïshikan. « Nous... suite de l'article sur RFI
Si la classe politique s’est montrée unie pour condamner la profanation de la tombe de DJ Arafat, elle se divise à nouveau pour situer les responsabilités de ce drame. Pour le député d’opposition Alain Lobognon, la faute ne revient pas aux fans déchaînés du Daïshikan. « Nous... suite de l'article sur RFI