Du 02 au 8 juillet 2013, le président Alassane Ouattara était en visite d’Etat dans le District des Savanes. A l’étape de Kong, sur la terre de ses ancêtres, il a appelé à la réconciliation en Côte d’Ivoire en ces termes : ‘’ pardonner, pardonner, pardonner’’. Ceux qui parlent aujourd’hui de réconciliation, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara a appelé cette réconciliation depuis presque huit ans maintenant !
Il faut être au moins deux pour se réconcilier, dit-on. Mais depuis le 21 mai 2011, date de sa prestation de serment à Yamoussoukro, le président Alassane Ouattara a toujours appelé à la réconciliation et la paix, à tourner la page de la crise postélectorale. Mais son opposition est toujours restée sourde. S’enlisant chaque jour davantage dans la guéguerre contre le pouvoir d’Abidjan, certainement rongée par une soif de revanche et de vengeance qu’elle veut assouvir. Pourtant, le numéro 1 ivoirien est resté constant depuis 2011, en appelant au pardon. Sur ce point du pardon, de la réconciliation et la paix, Ouattara n’a pas de leçons à recevoir de ceux qui dénoncent de nos jours une réconciliation de façade, car il a toujours prôné partout où il est passé, le pardon.
Et c’est son opposition qui manque toujours à l’appel pour une vraie réconciliation que tous souhaitent. Mais avec qui doit-il se réconcilier ? Les opposants à son régime brillent par un refus de tourner la page, de pardonner pour que tous les fils et filles de ce pays, unis, soudés, regardent tous dans la même direction ? Morceaux choisis de son speech à Kong qui prouvent sa bonne volonté de réconciliation nationale. ‘’Je viens vous dire que notre pays a besoin de paix. Le pardon contribue à la paix. La justice contribue à la paix. C’est important que nous soyons réconciliés et que nous puissions nous donner la main pour que le pays puisse aller de l’avant. Je suis confiant, car je vois, au niveau de toutes les régions de Côte d’Ivoire, la volonté d’aller de l’avant à la paix’’.
Il y avait ce jour-là à Kong, sa Majesté le roi de Bouna, les chefs centraux de Gagnoa, de Guibéroua, de Ouragahio, de Nialépa, la délégation venue du Ghana conduite par le frère du président Mahama. Et le président d’achever son intervention en appelant au rassemblement de tous les Ivoiriens, à la paix et au pardon des autres. Alors, qui a dit que le président Ouattara ne veut pas de réconciliation nationale et de paix en Côte d’Ivoire ? C’est encore là de l’intox, de la manipulation, une mauvaise querelle et un mauvais procès. Car c’est plutôt du côté de son opposition qu’il faut rechercher les blocages, les freins à la réconciliation nationale. Le pouvoir Ouattara n’est pas concerné par ces allégations mensongères de son opposition en quête permanente d’ingrédients pour saper les fondements de cette paix.
Igor Wawayou.
Il faut être au moins deux pour se réconcilier, dit-on. Mais depuis le 21 mai 2011, date de sa prestation de serment à Yamoussoukro, le président Alassane Ouattara a toujours appelé à la réconciliation et la paix, à tourner la page de la crise postélectorale. Mais son opposition est toujours restée sourde. S’enlisant chaque jour davantage dans la guéguerre contre le pouvoir d’Abidjan, certainement rongée par une soif de revanche et de vengeance qu’elle veut assouvir. Pourtant, le numéro 1 ivoirien est resté constant depuis 2011, en appelant au pardon. Sur ce point du pardon, de la réconciliation et la paix, Ouattara n’a pas de leçons à recevoir de ceux qui dénoncent de nos jours une réconciliation de façade, car il a toujours prôné partout où il est passé, le pardon.
Et c’est son opposition qui manque toujours à l’appel pour une vraie réconciliation que tous souhaitent. Mais avec qui doit-il se réconcilier ? Les opposants à son régime brillent par un refus de tourner la page, de pardonner pour que tous les fils et filles de ce pays, unis, soudés, regardent tous dans la même direction ? Morceaux choisis de son speech à Kong qui prouvent sa bonne volonté de réconciliation nationale. ‘’Je viens vous dire que notre pays a besoin de paix. Le pardon contribue à la paix. La justice contribue à la paix. C’est important que nous soyons réconciliés et que nous puissions nous donner la main pour que le pays puisse aller de l’avant. Je suis confiant, car je vois, au niveau de toutes les régions de Côte d’Ivoire, la volonté d’aller de l’avant à la paix’’.
Il y avait ce jour-là à Kong, sa Majesté le roi de Bouna, les chefs centraux de Gagnoa, de Guibéroua, de Ouragahio, de Nialépa, la délégation venue du Ghana conduite par le frère du président Mahama. Et le président d’achever son intervention en appelant au rassemblement de tous les Ivoiriens, à la paix et au pardon des autres. Alors, qui a dit que le président Ouattara ne veut pas de réconciliation nationale et de paix en Côte d’Ivoire ? C’est encore là de l’intox, de la manipulation, une mauvaise querelle et un mauvais procès. Car c’est plutôt du côté de son opposition qu’il faut rechercher les blocages, les freins à la réconciliation nationale. Le pouvoir Ouattara n’est pas concerné par ces allégations mensongères de son opposition en quête permanente d’ingrédients pour saper les fondements de cette paix.
Igor Wawayou.