La dernière session du séminaire de formation ayant pour thème : « Je suis expert en TVA », suivie d’une remise de diplômes aux participants, a eu lieu ce mercredi 11 septembre, au Palm Club Hôtel d’Abidjan, à l’initiative de l’IPPC (Institut panafricain des professionnels comptables).
Cette formation est en légitimité avec l’objectif premier de l’IPPC, à savoir de permettre à des professionnels de la comptabilité venant d’horizons divers d’exercer leurs activités en intégrant l’obligation de formation continue. Et également, le développement de l’activité de l’expert-comptable, sous toutes formes juridiques, pour lui permettre d’accéder à de nouvelles missions grâce à de nouveaux produits, tout en perfectionnant sa façon de travailler dans le cadre de son activité traditionnelle.
Au terme de trois sessions de mai, juin et septembre 2019, l’IPPC a donné l’opportunité à onze (11) professionnels du métier, expert comptable, réviseur comptable, manager audit, fiscaliste, manager marketing, responsable comptable, assistante fiscale, juriste d’entreprise, comptable senior, avocat, qui ont été outillés sur les principes fondamentaux et les règles applicables en matière de TVA (Taxe sur la valeur ajoutée).
Justifiant le choix du thème : « Je suis expert en TVA », le président de l’IPPC, Yao Koffi Noël, Expert-Comptable, a expliqué qu’au niveau d’une économie moderne la TVA est un impôt suffisamment important parce qu’il touche tout le monde. Des simples consommateurs aux opérateurs, en passant par toute la chaîne de producteurs de richesses, tous sont concernés par la TVA.
« Nous avons jugé opportun de commencer par cet impôt qui dans sa conception ne doit pas venir grever les coûts, parce que tous les intermédiaires de la production ont un système en cascade de récupération et de facturation. Ce qui fait qu’en définitive, il y a que la valeur ajoutée que produit chaque acteur qui est fiscalisée pour l’Etat », a-t-il indiqué.
Selon Me Yao Koffi Noël, cet impôt ne devrait pas poser de problème aux contribuables, malheureusement pour une question de culture, il y a des contribuables qui jugent opportun d’augmenter leur marge, en ne restituant pas ce que l’Etat a volontairement autorisé à chaque opérateur de mettre sur son prix qu’il considère rémunérateur.
« Actuellement en Côte d’Ivoire, c’est 18%. Une fois que vous mettez les 18% sur le prix il faut le reverser à l’Etat. C’est un détournement de fonds de le garder par devers soi-même », a expliqué le président de l’IPPC.
Dans cette optique, l’IPPC, compte tenu de l’importance qu’il aimerait prendre sur la place, a visé cet impôt pour contribuer à l’amélioration des recettes de l’Etat.
Quant à l’animateur de la session de ce mercredi 11 septembre, Me Sié Koffi René, membre de l’IPPC, après avoir présenté des modules tels que ‘’ Régime de la TVA, illégalement facturée’’, ‘’Précisions relatives aux mentions de l’Etat des taxes déductibles annexe à la déclaration de la TVA’’ et ‘’ Traitement de subventions’’, il a soutenu que sans une bonne comptabilité il ne peut y avoir une bonne analyse fiscale avec un contenu maîtrisé.
Selon lui, l’intérêt de cette formation, c’est que les comptabilités soient bien tenues, les impôts surtout la TVA bien calculés et payés à l’Etat.
« Et comme vous le savez les recettes budgétaires sont mises à mal et que la TVA, selon les autorités, n’impactent pas le rendement économique de notre pays. Que cette formation permette à ces personnes de pouvoir appliquer au mieux les règles et que l’Etat soit gagnant en matière de recettes budgétaires », a-t-il conclu.
JOB
Cette formation est en légitimité avec l’objectif premier de l’IPPC, à savoir de permettre à des professionnels de la comptabilité venant d’horizons divers d’exercer leurs activités en intégrant l’obligation de formation continue. Et également, le développement de l’activité de l’expert-comptable, sous toutes formes juridiques, pour lui permettre d’accéder à de nouvelles missions grâce à de nouveaux produits, tout en perfectionnant sa façon de travailler dans le cadre de son activité traditionnelle.
Au terme de trois sessions de mai, juin et septembre 2019, l’IPPC a donné l’opportunité à onze (11) professionnels du métier, expert comptable, réviseur comptable, manager audit, fiscaliste, manager marketing, responsable comptable, assistante fiscale, juriste d’entreprise, comptable senior, avocat, qui ont été outillés sur les principes fondamentaux et les règles applicables en matière de TVA (Taxe sur la valeur ajoutée).
Justifiant le choix du thème : « Je suis expert en TVA », le président de l’IPPC, Yao Koffi Noël, Expert-Comptable, a expliqué qu’au niveau d’une économie moderne la TVA est un impôt suffisamment important parce qu’il touche tout le monde. Des simples consommateurs aux opérateurs, en passant par toute la chaîne de producteurs de richesses, tous sont concernés par la TVA.
« Nous avons jugé opportun de commencer par cet impôt qui dans sa conception ne doit pas venir grever les coûts, parce que tous les intermédiaires de la production ont un système en cascade de récupération et de facturation. Ce qui fait qu’en définitive, il y a que la valeur ajoutée que produit chaque acteur qui est fiscalisée pour l’Etat », a-t-il indiqué.
Selon Me Yao Koffi Noël, cet impôt ne devrait pas poser de problème aux contribuables, malheureusement pour une question de culture, il y a des contribuables qui jugent opportun d’augmenter leur marge, en ne restituant pas ce que l’Etat a volontairement autorisé à chaque opérateur de mettre sur son prix qu’il considère rémunérateur.
« Actuellement en Côte d’Ivoire, c’est 18%. Une fois que vous mettez les 18% sur le prix il faut le reverser à l’Etat. C’est un détournement de fonds de le garder par devers soi-même », a expliqué le président de l’IPPC.
Dans cette optique, l’IPPC, compte tenu de l’importance qu’il aimerait prendre sur la place, a visé cet impôt pour contribuer à l’amélioration des recettes de l’Etat.
Quant à l’animateur de la session de ce mercredi 11 septembre, Me Sié Koffi René, membre de l’IPPC, après avoir présenté des modules tels que ‘’ Régime de la TVA, illégalement facturée’’, ‘’Précisions relatives aux mentions de l’Etat des taxes déductibles annexe à la déclaration de la TVA’’ et ‘’ Traitement de subventions’’, il a soutenu que sans une bonne comptabilité il ne peut y avoir une bonne analyse fiscale avec un contenu maîtrisé.
Selon lui, l’intérêt de cette formation, c’est que les comptabilités soient bien tenues, les impôts surtout la TVA bien calculés et payés à l’Etat.
« Et comme vous le savez les recettes budgétaires sont mises à mal et que la TVA, selon les autorités, n’impactent pas le rendement économique de notre pays. Que cette formation permette à ces personnes de pouvoir appliquer au mieux les règles et que l’Etat soit gagnant en matière de recettes budgétaires », a-t-il conclu.
JOB