Abidjan, L’édition 2019 de la Journée nationale du partenariat sera axée sur le thème « Partenariat Etat/secteur privé pour une croissance inclusive et durable », ont annoncé les organisateurs lors de la cérémonie de lancement, jeudi, au Sofitel hôtel ivoire d’Abidjan-Cocody.
Pour le secrétaire exécutif du Comité de concertation Etat/secteur privé (CCESP), Fofana Fadiga Mariam, le choix de ce thème s’inscrit dans la mouvance de l’embellie économique de la Côte d'Ivoire au cours de ces dernières années avec un taux de croissance de 8,6% et qui mérite d’être soutenue par une synergie d'actions entre l’Etat et le secteur privé afin de contribuer plus fortement à l’inclusion économique et au bien-être social.
Un important challenge qui requiert le renforcement de partenariat entre l’Etat et le secteur privé à partir des expériences nationales et internationales en matière de politiques ou d’initiatives de promotion de l’inclusion, a suggéré Mme Fadiga.
Pour la première fois depuis 1984, le taux de pauvreté est à la baisse en Côte d’Ivoire, passant de 51% en 2011 à 46% en 2015. Un programme social d'un montant de plus de 700 milliards dans les secteurs de l'éducation, de la santé, de la protection sociale etc, a été engagé depuis 2019 pour améliorer la qualité de vie des populations, signale-t-on.
Représentant du groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Coulibaly Abdoulaye a estimé également que parler de croissance inclusive et durable vient à point nommé parce qu’il intègre le consensus entre les acteurs de développement pour mettre un accent sur une répartition équitables des fruits de la croissance.
Le secteur privé qui contribue pour l’essentiel à la croissance économique et à la création d’emploi à un rôle clé à jouer, a-t-il fait savoir M. Coulibaly saluant l’engagement du gouvernement à travers son programme social (PSgouv) qui vise directement les couches les plus vulnérables de la société.
Il a annoncé à cet effet, un soutien à travers un programme d’appui aux réformes sociales (PARES) d’environs 50 milliards de FCFA ainsi que le financement d’un projet multisectoriel d’investissement en infrastructures sociales pour appuyer le PSgouv en complément du PARES.
Représentant le ministre de l’Economie et des Finances, le directeur de cabinet adjoint Akpess Bernard s’est également félicité de l’initiative de la Journée nationale du partenariat qui demeure le cadre d’échange propice à la présentation des réformes et des efforts consentis par l’Etat mais également le cadre d’expression des attentes et des difficultés rencontrées par le secteur privé.
« Le gouvernement soutient et accompagne cette initiative qui impulse un dynamique à travers laquelle l’Etat et le secteur privé se retrouvent pour adresser les problématiques visant à améliorer les conditions d’exercice des activités du secteur privé dont les populations en sont les principaux bénéficiaires. », a assuré M. Akpess.
Panels, conférence inaugurale, cérémonie de distinctions, rencontre B to B, présentation de « slide events », meubleront cette 4e édition de la journée du partenariat qui se tiendra le 7 octobre prochain.
(AIP)
bsb/ask
Pour le secrétaire exécutif du Comité de concertation Etat/secteur privé (CCESP), Fofana Fadiga Mariam, le choix de ce thème s’inscrit dans la mouvance de l’embellie économique de la Côte d'Ivoire au cours de ces dernières années avec un taux de croissance de 8,6% et qui mérite d’être soutenue par une synergie d'actions entre l’Etat et le secteur privé afin de contribuer plus fortement à l’inclusion économique et au bien-être social.
Un important challenge qui requiert le renforcement de partenariat entre l’Etat et le secteur privé à partir des expériences nationales et internationales en matière de politiques ou d’initiatives de promotion de l’inclusion, a suggéré Mme Fadiga.
Pour la première fois depuis 1984, le taux de pauvreté est à la baisse en Côte d’Ivoire, passant de 51% en 2011 à 46% en 2015. Un programme social d'un montant de plus de 700 milliards dans les secteurs de l'éducation, de la santé, de la protection sociale etc, a été engagé depuis 2019 pour améliorer la qualité de vie des populations, signale-t-on.
Représentant du groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Coulibaly Abdoulaye a estimé également que parler de croissance inclusive et durable vient à point nommé parce qu’il intègre le consensus entre les acteurs de développement pour mettre un accent sur une répartition équitables des fruits de la croissance.
Le secteur privé qui contribue pour l’essentiel à la croissance économique et à la création d’emploi à un rôle clé à jouer, a-t-il fait savoir M. Coulibaly saluant l’engagement du gouvernement à travers son programme social (PSgouv) qui vise directement les couches les plus vulnérables de la société.
Il a annoncé à cet effet, un soutien à travers un programme d’appui aux réformes sociales (PARES) d’environs 50 milliards de FCFA ainsi que le financement d’un projet multisectoriel d’investissement en infrastructures sociales pour appuyer le PSgouv en complément du PARES.
Représentant le ministre de l’Economie et des Finances, le directeur de cabinet adjoint Akpess Bernard s’est également félicité de l’initiative de la Journée nationale du partenariat qui demeure le cadre d’échange propice à la présentation des réformes et des efforts consentis par l’Etat mais également le cadre d’expression des attentes et des difficultés rencontrées par le secteur privé.
« Le gouvernement soutient et accompagne cette initiative qui impulse un dynamique à travers laquelle l’Etat et le secteur privé se retrouvent pour adresser les problématiques visant à améliorer les conditions d’exercice des activités du secteur privé dont les populations en sont les principaux bénéficiaires. », a assuré M. Akpess.
Panels, conférence inaugurale, cérémonie de distinctions, rencontre B to B, présentation de « slide events », meubleront cette 4e édition de la journée du partenariat qui se tiendra le 7 octobre prochain.
(AIP)
bsb/ask