La Secrétaire d’Etat chargée de l’Autonomisation de la femme, Myss Belmonde Dogo, a pris officiellement fonction jeudi, à l’issue cérémonie de passation technique des charges entre elle et la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Ramata Ly-Bakayoko.
Mme Dogo s’est, à cette occasion, engagée à avoir des approches novatrices sur la question de l’autonomisation de la femme, et de faire en sorte que le genre soit davantage au centre des politiques de développement en Côte d’Ivoire.
Elle a regretté que les femmes continuent d’être l’objet de discrimination dans le partage des richesses de la planète, alors que celles-ci représentent la moitié de l’humanité.
« C’est bien moins du quart des revenus des Etats qui sont détenus par elles (les femmes). Et ce, malgré leur grande capacité de production qui demeure du reste « mal ou peu exploitée », a-t-elle ajouté.
Selon l’édition 2015 de l’Indice de développement humain du PNUD, la pauvreté touche les femmes en Côte d’Ivoire avec un ratio de 47,4% contre 45,5% chez les hommes en milieu rural, et 56,8% contre 35,9% en milieu urbain, notamment dans le Nord et l’Ouest du pays.
« Il faut se donner les moyens de mettre cette force de production au travail par des initiatives nombreuses et des approches participatives innovantes », a conclu Myss Belmonde Dogo.
(AIP)
eaa/tm
Mme Dogo s’est, à cette occasion, engagée à avoir des approches novatrices sur la question de l’autonomisation de la femme, et de faire en sorte que le genre soit davantage au centre des politiques de développement en Côte d’Ivoire.
Elle a regretté que les femmes continuent d’être l’objet de discrimination dans le partage des richesses de la planète, alors que celles-ci représentent la moitié de l’humanité.
« C’est bien moins du quart des revenus des Etats qui sont détenus par elles (les femmes). Et ce, malgré leur grande capacité de production qui demeure du reste « mal ou peu exploitée », a-t-elle ajouté.
Selon l’édition 2015 de l’Indice de développement humain du PNUD, la pauvreté touche les femmes en Côte d’Ivoire avec un ratio de 47,4% contre 45,5% chez les hommes en milieu rural, et 56,8% contre 35,9% en milieu urbain, notamment dans le Nord et l’Ouest du pays.
« Il faut se donner les moyens de mettre cette force de production au travail par des initiatives nombreuses et des approches participatives innovantes », a conclu Myss Belmonde Dogo.
(AIP)
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