Les différentes structures impliquées dans la promotion de l’emploi des jeunes et l’autonomisation de la femme en Côte d’Ivoire ont tenu une réunion, ce mardi 17 septembre 2019, au cabinet du ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur.
Ces structures vont apporter des observations sur le rapport de la stratégie de promotion d’activités génératrices de revenus et créatrices d’emplois pour les jeunes et les femmes de l’espace ‘’Entente’’ avant son adoption par le conseil des ministres de cette zone économique.
C’est un rapport suscité par le comité des experts estimant que la question de l’emploi des jeunes et des femmes était au cœur des préoccupations actuelles des différents gouvernements membres du Conseil de l’Entente.
Présenté par Dr Silvère Konan, professeur à l’UFR des Sciences Économique et de Gestion, ce rapport comprend trois axes stratégiques que sont : le renforcement de capacités des femmes et des jeunes à l’auto-emploi et soutien accru à leur insertion économique, la promotion de l’entrepreneuriat féminin dans l’espace et l’accompagnement des États membres dans la mise en place de mécanisme de promotion, d’activités génératrices de revenus et créatrices d’emploi sensibles au genre, et partage de bonnes pratiques.
Ce rapport révèle qu’en dépit de la croissance économique constaté dans l’ensemble des cinq (5) pays membres du Conseil de l’Entente, les jeunes et les femmes restent vulnérables. Situation imputable entre autres à l’inadéquation formation-emploi et à la gestion trop administrative et procédurale de la mise en œuvre des stratégies. Le rapport met également en lumière les secteurs à fort potentiel d’emploi.
Selon Yao Kouamé, Conseiller technique au ministère de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, ce rapport s’inscrit dans le cadre du plan stratégique 2018-2022 du Conseil de l’Entente pour faire face à l’épineuse problématique de l’emploi des jeunes et de l’autonomisation de la femme.
Le Conseil de l’Entente, qui regroupe cinq (5) pays, que sont le Niger, le Bénin, le Togo, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, a pour vocation d’accompagner les États membres à relever les nombreux défis de développement et d’intégration.
Ces structures vont apporter des observations sur le rapport de la stratégie de promotion d’activités génératrices de revenus et créatrices d’emplois pour les jeunes et les femmes de l’espace ‘’Entente’’ avant son adoption par le conseil des ministres de cette zone économique.
C’est un rapport suscité par le comité des experts estimant que la question de l’emploi des jeunes et des femmes était au cœur des préoccupations actuelles des différents gouvernements membres du Conseil de l’Entente.
Présenté par Dr Silvère Konan, professeur à l’UFR des Sciences Économique et de Gestion, ce rapport comprend trois axes stratégiques que sont : le renforcement de capacités des femmes et des jeunes à l’auto-emploi et soutien accru à leur insertion économique, la promotion de l’entrepreneuriat féminin dans l’espace et l’accompagnement des États membres dans la mise en place de mécanisme de promotion, d’activités génératrices de revenus et créatrices d’emploi sensibles au genre, et partage de bonnes pratiques.
Ce rapport révèle qu’en dépit de la croissance économique constaté dans l’ensemble des cinq (5) pays membres du Conseil de l’Entente, les jeunes et les femmes restent vulnérables. Situation imputable entre autres à l’inadéquation formation-emploi et à la gestion trop administrative et procédurale de la mise en œuvre des stratégies. Le rapport met également en lumière les secteurs à fort potentiel d’emploi.
Selon Yao Kouamé, Conseiller technique au ministère de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, ce rapport s’inscrit dans le cadre du plan stratégique 2018-2022 du Conseil de l’Entente pour faire face à l’épineuse problématique de l’emploi des jeunes et de l’autonomisation de la femme.
Le Conseil de l’Entente, qui regroupe cinq (5) pays, que sont le Niger, le Bénin, le Togo, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, a pour vocation d’accompagner les États membres à relever les nombreux défis de développement et d’intégration.