Cette année, pour la célébration de sa 34e journée, le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), a décidé de se pencher sur la problématique de l’ensablement et la pollution des cours d’eau et tirer la sonnette d’alarme sur leurs impacts sur la production agricole.
Ce jeudi 19 septembre, les acteurs nationaux impliqués dans la protection de l’environnement et le comité national du CILSS, ont engagé la réflexion autour de la question au cours d’une rencontre au musée national des civilisations.
L’envahissement des eaux par le sable et les plantes envahissantes a atteint un niveau inquiétant dans les pays du sahel. Le rétrécissement du fleuve Niger ces dernières années en est une l’illustration.
Bien qu’étant un pays côtier, la Côte d’Ivoire n’est pas exempte des impacts de ce phénomène. Plus de de 100 mille habitants au nord de la Côte d’Ivoire sont concernés par cette menace selon le comité national.
Aggravé par l’orpaillage clandestin, le changement climatique, l’urbanisation et l’utilisation de produits chimiques pour la pêche, la pollution des cours d’eau fait planer une réelle menace d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sur les pays du CILSS qui sont essentiellement agricoles.
La Banque Africaine de Développement (BAD) fait état de 100 millions de personnes exposés à l’insécurité alimentaire lié à ces phénomènes en Afrique de l’ouest.
Il est donc temps de trouver des solutions durables : « nous voulons à travers cette Journée inviter les décideurs et les chercheurs à agir pour limiter les dégâts » a indiqué Hubert Lémonkpé Bié, président du comité national CILSS.
Capitaine Kolia, des eaux et forêt, dans sa communication, a plaidé pour un décret d’application du code de l’eau adopté depuis 1998 en vue de mieux protéger les ressources en eau et faire la répression contre ceux qui exercent des activités illégales autour des cours d’eau.
Représentant le Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Kalilou Cissé, Directeur de cabinet adjoint, a, tout en rappelant l’effectivité de cette menace, réitéré l’engagement du gouvernement ivoirien à accompagner le CILSS vers la promotion d’une nouvelle équilibre écologique au sahel.
Ce jeudi 19 septembre, les acteurs nationaux impliqués dans la protection de l’environnement et le comité national du CILSS, ont engagé la réflexion autour de la question au cours d’une rencontre au musée national des civilisations.
L’envahissement des eaux par le sable et les plantes envahissantes a atteint un niveau inquiétant dans les pays du sahel. Le rétrécissement du fleuve Niger ces dernières années en est une l’illustration.
Bien qu’étant un pays côtier, la Côte d’Ivoire n’est pas exempte des impacts de ce phénomène. Plus de de 100 mille habitants au nord de la Côte d’Ivoire sont concernés par cette menace selon le comité national.
Aggravé par l’orpaillage clandestin, le changement climatique, l’urbanisation et l’utilisation de produits chimiques pour la pêche, la pollution des cours d’eau fait planer une réelle menace d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sur les pays du CILSS qui sont essentiellement agricoles.
La Banque Africaine de Développement (BAD) fait état de 100 millions de personnes exposés à l’insécurité alimentaire lié à ces phénomènes en Afrique de l’ouest.
Il est donc temps de trouver des solutions durables : « nous voulons à travers cette Journée inviter les décideurs et les chercheurs à agir pour limiter les dégâts » a indiqué Hubert Lémonkpé Bié, président du comité national CILSS.
Capitaine Kolia, des eaux et forêt, dans sa communication, a plaidé pour un décret d’application du code de l’eau adopté depuis 1998 en vue de mieux protéger les ressources en eau et faire la répression contre ceux qui exercent des activités illégales autour des cours d’eau.
Représentant le Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Kalilou Cissé, Directeur de cabinet adjoint, a, tout en rappelant l’effectivité de cette menace, réitéré l’engagement du gouvernement ivoirien à accompagner le CILSS vers la promotion d’une nouvelle équilibre écologique au sahel.