Le ministre ivoirien auprès du premier ministre chargé de la promotion de l’investissement privé, Emmanuel Esmel Essis a ouvert officiellement samedi le foyer des jeunes du village de Débrimou ( Dabou Ouest d’Abidjan), un ouvrage qu’il a réhabilité pour en faire un instrument de promotion de l’entrepreneuriat dans cette localité.
M. Essis a inauguré cet ouvrage en marge de la clôture de la 4è édition du festival « Mani-Lèl», qui se veut une plateforme de promotion de la culture Adioukrou (population autochtone de ce village).
« Près de 60% de la population ivoirienne à moins de 35 ans. Ce foyer des jeunes doit être un creuset pour vous retrouver afin de parler d’entrepreneuriat et de votre développement. Vous devez fréquenter ce centre pour concevoir des projets. Nous sommes disposés à vous accompagner », a assuré M. Essis aux jeunes de Débrimou avant de les inviter à s’inscrire dans les guichets emplois.
Selon lui, « sans le travail, on n’a pas d’avenir et l’argent en vitesse n’existe pas». Poursuivant, le ministre Essis a appelé à l’union et à la cohésion des populations du Leboutou ( Sud ivoirien dont il est lui-même originaire).
« Je lance un appel à la cohésion sociale et au développement du Leboutou. Peuple du Leboutou, il est temps qu’on se ressaisisse pour conjuguer le verbe du vivre-ensemble», a-t-il exhorté.
Parlant auparavant du festival « Mani-Lèl», le ministre a estimé que « toute cette richesse culturelle devrait donner au peuple Leboutou son développement ».
« Mani-Lèl se veut notre identité culturelle, ce que nous sommes. Nous voulons avoir les pieds dans notre tradition et la tête dans le modernisme », a expliqué auparavant, Yédé Niagne Jean Claude, le maire de la commune de Dabou (située à une cinquantaine de km à l’ouest d’Abidjan).
Pour lui, «l’essentiel, c’est de montrer au monde entier qui nous sommes». Pour sa part, Alain Loba, le Commissaire général de « Mani-Lèl» a fait savoir que ce festival est un lieu d’échanges pour valoriser la culture et l’identité culturelle Adioukrou. Initié en 2016 dans le village de Débrimou, le festival « Mani-lèl» se veut « un pont culturel et touristique international» du Leboutou.
LB/ls/APA
M. Essis a inauguré cet ouvrage en marge de la clôture de la 4è édition du festival « Mani-Lèl», qui se veut une plateforme de promotion de la culture Adioukrou (population autochtone de ce village).
« Près de 60% de la population ivoirienne à moins de 35 ans. Ce foyer des jeunes doit être un creuset pour vous retrouver afin de parler d’entrepreneuriat et de votre développement. Vous devez fréquenter ce centre pour concevoir des projets. Nous sommes disposés à vous accompagner », a assuré M. Essis aux jeunes de Débrimou avant de les inviter à s’inscrire dans les guichets emplois.
Selon lui, « sans le travail, on n’a pas d’avenir et l’argent en vitesse n’existe pas». Poursuivant, le ministre Essis a appelé à l’union et à la cohésion des populations du Leboutou ( Sud ivoirien dont il est lui-même originaire).
« Je lance un appel à la cohésion sociale et au développement du Leboutou. Peuple du Leboutou, il est temps qu’on se ressaisisse pour conjuguer le verbe du vivre-ensemble», a-t-il exhorté.
Parlant auparavant du festival « Mani-Lèl», le ministre a estimé que « toute cette richesse culturelle devrait donner au peuple Leboutou son développement ».
« Mani-Lèl se veut notre identité culturelle, ce que nous sommes. Nous voulons avoir les pieds dans notre tradition et la tête dans le modernisme », a expliqué auparavant, Yédé Niagne Jean Claude, le maire de la commune de Dabou (située à une cinquantaine de km à l’ouest d’Abidjan).
Pour lui, «l’essentiel, c’est de montrer au monde entier qui nous sommes». Pour sa part, Alain Loba, le Commissaire général de « Mani-Lèl» a fait savoir que ce festival est un lieu d’échanges pour valoriser la culture et l’identité culturelle Adioukrou. Initié en 2016 dans le village de Débrimou, le festival « Mani-lèl» se veut « un pont culturel et touristique international» du Leboutou.
LB/ls/APA