Seulement 36 hôtels, bars et maquis sont en règle sur 411 contrôlés par l'inspection générale du ministère ivoirien du tourisme et des loisirs à Cocody, une commune huppée dans l'Est d'Abidjan, indique une note d'information transmise dimanche à APA.
Cette inspection des établissements de tourisme s'inscrit dans le cadre d'une opération de contrôle de ces établissements initiée il y a quelques mois par ce département ministériel. Ce contrôle qui a déjà pris fin dans les communes de Cocody, Plateau et Bingerville, concerne tous les établissements de tourisme de la Côte d'Ivoire et devrait s'achever le 30 septembre prochain. Au-delà de cette date, précise le ministère, les établissements de tourisme non en règle, seront fermés.
« L'inspecteur général du tourisme sur rapport de ses quelques 200 agents assermentés sur le terrain, fait ressortir en guise des données statistiques, à Cocody par exemple, sur 411 établissements visités, seulement 36 seulement sont en règle... Après le 30 septembre, délai de rigueur, ces établissements seront fermés», prévient la note citant Pascal Mahan, l'inspecteur général du ministère du tourisme et des loisirs.
Selon le ministère, seulement 1/4 des contrevenants a répondu à la convocation de l'inspection générale. En attendant les communes d'Abobo, Adjamé, Anyama et Attécoubé dans le district d'Abidjan, cette opération de contrôle se poursuit dans les communes d'Abidjan sud ( Treichville, Marcory, Koumassi et Port-Boüet) ainsi que dans la cité balnéaire de Grand-Bassam.
« En ce concerne l'intérieur du pays, les services du ministère du tourisme et des loisirs relèvent qu'actuellement, ce sont respectivement 65 établissements qui font l'objet d'inspection et de contrôle à Bouaké, 160 à Yamoussoukro, 100 à Korhogo et 103 à San-Pedro», indique par ailleurs, le texte.
« Tous les contrevenants sont passibles de poursuites de même que ceux qui font entrave à la mission des agents assermentés. Avec à la clé des peines d'emprisonnement allant de 3 mois à 3 ans d'emprisonnement assorties d'amendes pécuniaires », conclut la note.
Le champ d'action du ministère ivoirien du tourisme et des loisirs, rappelle-t-on, inclut entre autre, les activités de l'hôtellerie, la restauration et les activités assimilées ( Restaurants, maquis, bars, cafés, glaciers, salons de thé...), les agences de voyage et locations de véhicules, guides de tourisme, agences d'hôtesses, night-clubs... Cette opération de contrôle des établissements de tourisme qui a débuté il y a quelques mois en Côte d'Ivoire, vise notamment à assainir les activités liés au tourisme et aux loisirs dans le pays.
LB/ls/APA
Cette inspection des établissements de tourisme s'inscrit dans le cadre d'une opération de contrôle de ces établissements initiée il y a quelques mois par ce département ministériel. Ce contrôle qui a déjà pris fin dans les communes de Cocody, Plateau et Bingerville, concerne tous les établissements de tourisme de la Côte d'Ivoire et devrait s'achever le 30 septembre prochain. Au-delà de cette date, précise le ministère, les établissements de tourisme non en règle, seront fermés.
« L'inspecteur général du tourisme sur rapport de ses quelques 200 agents assermentés sur le terrain, fait ressortir en guise des données statistiques, à Cocody par exemple, sur 411 établissements visités, seulement 36 seulement sont en règle... Après le 30 septembre, délai de rigueur, ces établissements seront fermés», prévient la note citant Pascal Mahan, l'inspecteur général du ministère du tourisme et des loisirs.
Selon le ministère, seulement 1/4 des contrevenants a répondu à la convocation de l'inspection générale. En attendant les communes d'Abobo, Adjamé, Anyama et Attécoubé dans le district d'Abidjan, cette opération de contrôle se poursuit dans les communes d'Abidjan sud ( Treichville, Marcory, Koumassi et Port-Boüet) ainsi que dans la cité balnéaire de Grand-Bassam.
« En ce concerne l'intérieur du pays, les services du ministère du tourisme et des loisirs relèvent qu'actuellement, ce sont respectivement 65 établissements qui font l'objet d'inspection et de contrôle à Bouaké, 160 à Yamoussoukro, 100 à Korhogo et 103 à San-Pedro», indique par ailleurs, le texte.
« Tous les contrevenants sont passibles de poursuites de même que ceux qui font entrave à la mission des agents assermentés. Avec à la clé des peines d'emprisonnement allant de 3 mois à 3 ans d'emprisonnement assorties d'amendes pécuniaires », conclut la note.
Le champ d'action du ministère ivoirien du tourisme et des loisirs, rappelle-t-on, inclut entre autre, les activités de l'hôtellerie, la restauration et les activités assimilées ( Restaurants, maquis, bars, cafés, glaciers, salons de thé...), les agences de voyage et locations de véhicules, guides de tourisme, agences d'hôtesses, night-clubs... Cette opération de contrôle des établissements de tourisme qui a débuté il y a quelques mois en Côte d'Ivoire, vise notamment à assainir les activités liés au tourisme et aux loisirs dans le pays.
LB/ls/APA