Avec l’essor des échanges commerciaux internationaux, le souci de simplification et de rapidité de plus en plus grand dans la gestion du fret maritime, l’on évalue le coût du traitement des documents de transport maritime entre 7 et 10% du coût total.
Ajouter à cela, le phénomène de la fraude (presque généralisée) sur les documents maritimes achève de convaincre de l’importance de la connaissance parfaite et de la maitrise des documents maritimes dans leur ensemble.
C’est ce contexte qui a motivé l’initiative d’un séminaire sur « les documents dans le transport maritime ». Rencontre organisée ce mardi 24 septembre 2019, à la Maison de l’Entreprise d’Abidjan-Plateau, par la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) en collaboration avec le centre de formation de l’Observatoire de la célérité des opérations douanières (OCOD).
Ce séminaire s’inscrit dans la volonté de la CGECI et de ses partenaires de l’OCOD et des Douanes ivoiriennes d’expliquer aux acteurs de la chaine de dédouanement le nouvel environnement des procédures générales appliquées aux documents de transport maritime, tout en mettant un accent particulier sur les innovations opérées au profit du secteur privé.
Selon, le président de l’OCOD, Vallassiné Diarrassouba, le volume du commerce mondial qui ne cesse d’augmenter, avoisinera les onze (11) milliards de tonnes à la fin de l’année. Dans le même temps, les coûts fluctuent en fonction de certaines situations et les opérations d’expédition et de livraison des marchandises sont de plus en plus complexes.
« L’Observatoire, par le présent atelier, entend éclairer les opérateurs économiques sur lesdits documents et leur importance afin qu’ils en maîtrisent la rédaction et surtout l’utilisation », a-t-il déclaré.
A l’ouverture de cette formation destinée aux personnes impliquées dans les opérations de dédouanement notamment aux importateurs, exportateurs, transitaires et au personnel d’entreprise en charge des opérations d’importation et d’exportation, le directeur des commissions Etudes et Prospective de la CGECI, Félix Yenan, a, au nom du directeur exécutif, félicité ce partenariat entre la CGECI et l’OCOD.
Tout en espérant que cet atelier marque le début d’une longue et fructueuse collaboration au bénéfice des entreprises ivoiriennes impliquées dans l’import et l’export.
JOB
Ajouter à cela, le phénomène de la fraude (presque généralisée) sur les documents maritimes achève de convaincre de l’importance de la connaissance parfaite et de la maitrise des documents maritimes dans leur ensemble.
C’est ce contexte qui a motivé l’initiative d’un séminaire sur « les documents dans le transport maritime ». Rencontre organisée ce mardi 24 septembre 2019, à la Maison de l’Entreprise d’Abidjan-Plateau, par la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) en collaboration avec le centre de formation de l’Observatoire de la célérité des opérations douanières (OCOD).
Ce séminaire s’inscrit dans la volonté de la CGECI et de ses partenaires de l’OCOD et des Douanes ivoiriennes d’expliquer aux acteurs de la chaine de dédouanement le nouvel environnement des procédures générales appliquées aux documents de transport maritime, tout en mettant un accent particulier sur les innovations opérées au profit du secteur privé.
Selon, le président de l’OCOD, Vallassiné Diarrassouba, le volume du commerce mondial qui ne cesse d’augmenter, avoisinera les onze (11) milliards de tonnes à la fin de l’année. Dans le même temps, les coûts fluctuent en fonction de certaines situations et les opérations d’expédition et de livraison des marchandises sont de plus en plus complexes.
« L’Observatoire, par le présent atelier, entend éclairer les opérateurs économiques sur lesdits documents et leur importance afin qu’ils en maîtrisent la rédaction et surtout l’utilisation », a-t-il déclaré.
A l’ouverture de cette formation destinée aux personnes impliquées dans les opérations de dédouanement notamment aux importateurs, exportateurs, transitaires et au personnel d’entreprise en charge des opérations d’importation et d’exportation, le directeur des commissions Etudes et Prospective de la CGECI, Félix Yenan, a, au nom du directeur exécutif, félicité ce partenariat entre la CGECI et l’OCOD.
Tout en espérant que cet atelier marque le début d’une longue et fructueuse collaboration au bénéfice des entreprises ivoiriennes impliquées dans l’import et l’export.
JOB