Yamoussoukro – La deuxième phase du programme Coop-Academy, visant le renforcement à un haut niveau des capacités des coopératives agricoles et leurs dirigeants, a été lancé mercredi à Yamoussoukro par le chocolatier Cargill.
Ce projet, d’une durée quatre années, concerne 140 coopératives de la filière cacao qui bénéficieront d’une formation académique étalée sur cinq mois et d’un suivi opérationnel comprenant un coaching personnalisé de 12 mois pour chaque coopérative.
"Au cours de la première phase, l’objectif était de professionnaliser les coopératives, de les rendre autonomes pour qu’elles puissent gagner de l’argent, les rendre rentables", a rappelé le directeur Afrique du chocolatier américain.
Lionel Saoulard a ajouté que cette démarche avait également pour but de donner le coffre nécessaire à ces coopératives agricoles pour qu’elles "jouent leur rôle social qui est d’être un vecteur de développement".
Ainsi, 269 dirigeants de coopératives ont été formés et 69 coopératives ont bénéficié de renforcement de capacités, selon Lionel Saoulard qui a ajouté que tous les efforts fournis par son groupe agro-industriel ont permis de mieux encadrer les paysans et d’accélérer avec eux les bonnes pratiques de développement de leurs plantations.
Grâce à la collaboration de la société financière internationale (SFI), les coopératives ont fait un important pas dans le domaine de la sécurisation de leurs opérations financières.
Le représentant de la SFI, Olivier Buyoya, s’est, pour sa part, félicité de la mise en place d’une plateforme de paiement digital regroupant plus de 10 000 paysans. "Reste maintenant à travailler à créer d’autres produits adaptés aux besoins des coopératives et leurs membres", a-t-il fait remarquer.
Gso/kp
Ce projet, d’une durée quatre années, concerne 140 coopératives de la filière cacao qui bénéficieront d’une formation académique étalée sur cinq mois et d’un suivi opérationnel comprenant un coaching personnalisé de 12 mois pour chaque coopérative.
"Au cours de la première phase, l’objectif était de professionnaliser les coopératives, de les rendre autonomes pour qu’elles puissent gagner de l’argent, les rendre rentables", a rappelé le directeur Afrique du chocolatier américain.
Lionel Saoulard a ajouté que cette démarche avait également pour but de donner le coffre nécessaire à ces coopératives agricoles pour qu’elles "jouent leur rôle social qui est d’être un vecteur de développement".
Ainsi, 269 dirigeants de coopératives ont été formés et 69 coopératives ont bénéficié de renforcement de capacités, selon Lionel Saoulard qui a ajouté que tous les efforts fournis par son groupe agro-industriel ont permis de mieux encadrer les paysans et d’accélérer avec eux les bonnes pratiques de développement de leurs plantations.
Grâce à la collaboration de la société financière internationale (SFI), les coopératives ont fait un important pas dans le domaine de la sécurisation de leurs opérations financières.
Le représentant de la SFI, Olivier Buyoya, s’est, pour sa part, félicité de la mise en place d’une plateforme de paiement digital regroupant plus de 10 000 paysans. "Reste maintenant à travailler à créer d’autres produits adaptés aux besoins des coopératives et leurs membres", a-t-il fait remarquer.
Gso/kp