Le ministre ivoirien des mines et de la géologie Jean Claude Kouassi et les dirigeants de premier rang des entreprises minières en Côte d’Ivoire réunis autour du groupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (G.P.M.CI) se sont rencontrés le 26 septembre 2019 à Abidjan la capitale Economique de la Côte d’Ivoire en vue de l’élaboration du document de politiques minières développement local pour le cycle 2020-2025.
« L’objectif est de doter la Côte d’Ivoire et le secteur minier d’un outil de guidage et de pilotage appelé à définir pour les cinq prochaines années, la vision du gouvernement, les axes clés et les moyens des réformes à mettre en œuvre ainsi que les résultats attendus. « nous avons choisi de mettre en cohérence l’ensemble des réformes initiées par le Gouvernement, depuis 2011, en vue de garantir l’atteinte de l’objectif assigné au secteur des mines par le Plan National de Développement (PND), né le 10 juillet 2018, de la volonté affirmée de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, de faire du secteur minier, le second pilier de la croissance économique de notre pays. Le Ministère des Mines et de la Géologie a inscrit, au rang de ses priorités, la formulation d’un document de politique minière, accompagné de son plan d’actions stratégiques pour le cycle 2020-2025» a précisé Jean Claude Kouassi. Avant de révéler de tous les pays de l’Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire dispose du potentiel le plus important, car elle recouvre plus de 35% des formations géologiques dites « birimiennes » réputées pour leur potentiel en minéralisation aurifère. L’affirmer, c’est, dans le même temps, souligner les attentes fortes qui en découlent pour notre pays, son Gouvernement et ses habitants, en termes de création de richesses, de recettes fiscales, de prospérité et d’emplois a indiqué le ministre ivoirien.
Le président du groupement des professionnels miniers de Côte d’Ivoire (G.P.M.CI) Ibrahima Danso a souligné « que cette rencontre vient à point nommé quand on sait les défis auxquels est confronté le secteur minier de la Côte d’Ivoire, une jeune industrie en pleine expansion mais déjà confrontée à de multiples défis. « Nous nourrissons l’espoir que les consultations comme celles qui nous réunissent aujourd’hui aideront à créer un cadre stable efficace et compétitif favorisant le développement d’un secteur dynamique et fort en Côte d’Ivoire… » Les travaux de cette rencontre de partage se sont déroulés sur des thématiques, choisies en lien avec le Groupement Professionnel des Miniers de Côte d’Ivoire, dont les sous-thèmes sont relativement la disponibilité de l’information géologique, la délivrance et la gestion des titres miniers, les contrôles et sanctions, le développement d’une sous-traitance minière nationale de qualité, l’appui des sociétés minières à la lutte contre l’orpaillage clandestin, la gestion des conflits fonciers et les relations avec les communautés locales impactées,
Aly OUATTARA
« L’objectif est de doter la Côte d’Ivoire et le secteur minier d’un outil de guidage et de pilotage appelé à définir pour les cinq prochaines années, la vision du gouvernement, les axes clés et les moyens des réformes à mettre en œuvre ainsi que les résultats attendus. « nous avons choisi de mettre en cohérence l’ensemble des réformes initiées par le Gouvernement, depuis 2011, en vue de garantir l’atteinte de l’objectif assigné au secteur des mines par le Plan National de Développement (PND), né le 10 juillet 2018, de la volonté affirmée de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, de faire du secteur minier, le second pilier de la croissance économique de notre pays. Le Ministère des Mines et de la Géologie a inscrit, au rang de ses priorités, la formulation d’un document de politique minière, accompagné de son plan d’actions stratégiques pour le cycle 2020-2025» a précisé Jean Claude Kouassi. Avant de révéler de tous les pays de l’Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire dispose du potentiel le plus important, car elle recouvre plus de 35% des formations géologiques dites « birimiennes » réputées pour leur potentiel en minéralisation aurifère. L’affirmer, c’est, dans le même temps, souligner les attentes fortes qui en découlent pour notre pays, son Gouvernement et ses habitants, en termes de création de richesses, de recettes fiscales, de prospérité et d’emplois a indiqué le ministre ivoirien.
Le président du groupement des professionnels miniers de Côte d’Ivoire (G.P.M.CI) Ibrahima Danso a souligné « que cette rencontre vient à point nommé quand on sait les défis auxquels est confronté le secteur minier de la Côte d’Ivoire, une jeune industrie en pleine expansion mais déjà confrontée à de multiples défis. « Nous nourrissons l’espoir que les consultations comme celles qui nous réunissent aujourd’hui aideront à créer un cadre stable efficace et compétitif favorisant le développement d’un secteur dynamique et fort en Côte d’Ivoire… » Les travaux de cette rencontre de partage se sont déroulés sur des thématiques, choisies en lien avec le Groupement Professionnel des Miniers de Côte d’Ivoire, dont les sous-thèmes sont relativement la disponibilité de l’information géologique, la délivrance et la gestion des titres miniers, les contrôles et sanctions, le développement d’une sous-traitance minière nationale de qualité, l’appui des sociétés minières à la lutte contre l’orpaillage clandestin, la gestion des conflits fonciers et les relations avec les communautés locales impactées,
Aly OUATTARA