L’atelier portant sur la validation des rapports de l’état des lieux de la mise en œuvre des NDC de la Côte d’Ivoire pour les volets atténuation et adaptation et le lancement technique de la révision du volet adaptation des NDC s’est tenu du 26 au 27 septembre 2019
« L’objectif principal de cet atelier est de valider les rapports sectoriels de l’état des lieux de la mise en œuvre des NDC de la Côte d’Ivoire. Il vise également à lancer, de manière opérationnelle, le processus de révision du volet adaptation des NDC sur la base de cet état des lieux » a rappelé le directeur du cabinet, François Kouablan, représentant le professeur Joseph Séka Séka.
Selon François Kouablan, le réchauffement global de la planète représente une menace grave dont les effets sont de plus en plus présents dans notre quotidien : « La Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays de la planète, reconnaît l’impérieuse nécessité d’œuvrer de façon urgente à la protection de la vie et des économies nationales contre les conséquences de ce phénomène ».
Bien qu’à ce jour, les efforts en vue d’évaluer, avec suffisamment de précision, la gravité de ce phénomène font l’objet de vives polémiques, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit en réalité d’un exercice à la fois nécessaire et obligatoire au regard des engagements des parties à la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques et de l’ampleur des changements observés au niveau du climat.
C’est pourquoi dira le directeur de cabinet, consciente des risques liés au développement et, appréhendant les conséquences dommageables que peuvent engendrer les changements climatiques à divers niveaux (écologiques, environnementaux, et socio-économiques, etc.), la Côte d’Ivoire a préparé et soumis ses Contributions Prévues Déterminer au niveau National (INDC en anglais), en 2015 au Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques.
A l’en croire, ces INDC ont été directement admises en tant que NDC depuis la ratification de l’Accord de Paris sur le climat par notre pays octobre 2016.
« De plus, il est urgent d’identifier clairement, les défis, les obstacles, les goulots d’étranglement, les leviers à actionner pour améliorer la mise en œuvre des NDC et les options pour relever l’ambition de nos futures NDC » a-t-il fait savoir.
Pour faire face aux contraintes, le Pays bénéficie de l’appui du NDC Support Programme du PNUD qui vise à relever les différents défis et obstacles auxquels le Pays est confronté, en créant un environnement propice à l’exécution des NDC et à la préparation des futures NDC plus ambitieuses comme l’exige l’accord de Paris sur le climat.
Aussi le gouvernement bénéficie de la facilité Adaptation de l’AFD, qui aidera « la révision du volet des NDC de la Côte d’Ivoire ».
Avec l’adoption de l’accord de Paris, le 12 décembre 2015, ces INDC devenues NDC, constituent pour le pays la stratégie de développement bas carbone dont la mise en œuvre a mobilisé tous les secteurs, institutions et acteurs nationaux a indiqué le représentant du PNUD, Bernard Brou avant d’jouter que c’est dans cette dynamique que le PNUD accompagne, avec l’appui financier de l’Union Européenne et de l’Allemagne, le gouvernement , à travers le ministère de l’environnement et du développement durable dans la mise en œuvre de ses NDC.
PR
« L’objectif principal de cet atelier est de valider les rapports sectoriels de l’état des lieux de la mise en œuvre des NDC de la Côte d’Ivoire. Il vise également à lancer, de manière opérationnelle, le processus de révision du volet adaptation des NDC sur la base de cet état des lieux » a rappelé le directeur du cabinet, François Kouablan, représentant le professeur Joseph Séka Séka.
Selon François Kouablan, le réchauffement global de la planète représente une menace grave dont les effets sont de plus en plus présents dans notre quotidien : « La Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays de la planète, reconnaît l’impérieuse nécessité d’œuvrer de façon urgente à la protection de la vie et des économies nationales contre les conséquences de ce phénomène ».
Bien qu’à ce jour, les efforts en vue d’évaluer, avec suffisamment de précision, la gravité de ce phénomène font l’objet de vives polémiques, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit en réalité d’un exercice à la fois nécessaire et obligatoire au regard des engagements des parties à la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques et de l’ampleur des changements observés au niveau du climat.
C’est pourquoi dira le directeur de cabinet, consciente des risques liés au développement et, appréhendant les conséquences dommageables que peuvent engendrer les changements climatiques à divers niveaux (écologiques, environnementaux, et socio-économiques, etc.), la Côte d’Ivoire a préparé et soumis ses Contributions Prévues Déterminer au niveau National (INDC en anglais), en 2015 au Secrétariat de la Convention-cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques.
A l’en croire, ces INDC ont été directement admises en tant que NDC depuis la ratification de l’Accord de Paris sur le climat par notre pays octobre 2016.
« De plus, il est urgent d’identifier clairement, les défis, les obstacles, les goulots d’étranglement, les leviers à actionner pour améliorer la mise en œuvre des NDC et les options pour relever l’ambition de nos futures NDC » a-t-il fait savoir.
Pour faire face aux contraintes, le Pays bénéficie de l’appui du NDC Support Programme du PNUD qui vise à relever les différents défis et obstacles auxquels le Pays est confronté, en créant un environnement propice à l’exécution des NDC et à la préparation des futures NDC plus ambitieuses comme l’exige l’accord de Paris sur le climat.
Aussi le gouvernement bénéficie de la facilité Adaptation de l’AFD, qui aidera « la révision du volet des NDC de la Côte d’Ivoire ».
Avec l’adoption de l’accord de Paris, le 12 décembre 2015, ces INDC devenues NDC, constituent pour le pays la stratégie de développement bas carbone dont la mise en œuvre a mobilisé tous les secteurs, institutions et acteurs nationaux a indiqué le représentant du PNUD, Bernard Brou avant d’jouter que c’est dans cette dynamique que le PNUD accompagne, avec l’appui financier de l’Union Européenne et de l’Allemagne, le gouvernement , à travers le ministère de l’environnement et du développement durable dans la mise en œuvre de ses NDC.
PR