Les lampions de la septième édition du Salon de l’Architecture et du bâtiment (ARCHIBAT) se sont éteints, le vendredi 04 octobre dernier, au terme de la cérémonie de clôture qui s’est déroulée en présence de membres de cabinets ministériels, du président de la Chambre nationale de l’ordre des architectes de Côte d’Ivoire (CNOA CI), Abdoulaye Dieng, et du commissaire général de l’ARCHIBAT, Ismaël Boga N’Guessan.
En raison de sa sensibilité à la dignité humaine et pour la légitime raison qu’il y a un lien étroit entre le logement décent et la stabilité sociale, l’intensité des échanges de cinq jours d’activités et l’engouement suscité par ce salon montrent bien que le logement constitue un secteur capital au cœur des préoccupations sociales.
Une cérémonie sur un site aéroportuaire, avec ses avantages logistiques, riche en couleurs, symboles et émotions, qui a été rehaussée par la présence des représentants de l’administration publique, du corps diplomatique, des élus ainsi que de l’ensemble des acteurs clés du secteur.
Selon Diabaté Kaladji, représentant du ministre de la Construction, avec la forte urbanisation que connaît la Côte d’Ivoire, le logement devient un enjeu social de premier plan, si on tient à préserver l’équilibre, la cohésion et le vivre ensemble entre les populations. Il se réjouit donc de l’opportunité offerte par ce salon placé sous le thème : « Habitat pour tous », de rassembler tous ensemble, l’administration publique, les organisations professionnelles du secteur, élus locaux et partenaires techniques et financiers pour réfléchir dans le cadre de débats ouverts et constructifs.
Il en a profité pour rappeler certains points clés des relevés de synthèse des panels. Il s’agit de la nécessité d’une production massive pour la réduction du déficit de logement. Cela passe par une densification de l’espace urbain en vue d’optimiser le foncier disponible et les investissements en voirie et réseau divers. Ce point paraît essentiel même si certaines contraintes techniques afférentes à la verticalité restent encore à surmonter par l’ensemble des acteurs du secteur.
Ensuite, la nécessité à prendre en compte systématiquement des notions de durabilité, de mixité sociale, de mobilité urbaine et d’efficacité énergétique dans la conception des quartiers et villes nouvelles à venir.
Ajouter à cela, le devoir d’un engagement responsable aussi bien des concitoyens que des pouvoirs publics pour mettre fin aux constructions anarchiques et non conformes qui constituent une menace, non seulement pour l’ordre urbain mais surtout pour la sécurité des populations.
Pour terminer, il a souligné la nécessité d’apporter des solutions concrètes à la problématique du financement de l’Habitat social autant pour le financement des promoteurs que des acquéreurs.
Ces différents points, le représentant du ministre l’a confirmé, s’intègrent dans la nouvelle vision stratégique du Ministère en matière d’habitat qui vise à promouvoir un accès plus large au logement. Et qui passe par une maîtrise du foncier, base de toute opération immobilière, une planification urbaine cohérente et durable.
JOB
En raison de sa sensibilité à la dignité humaine et pour la légitime raison qu’il y a un lien étroit entre le logement décent et la stabilité sociale, l’intensité des échanges de cinq jours d’activités et l’engouement suscité par ce salon montrent bien que le logement constitue un secteur capital au cœur des préoccupations sociales.
Une cérémonie sur un site aéroportuaire, avec ses avantages logistiques, riche en couleurs, symboles et émotions, qui a été rehaussée par la présence des représentants de l’administration publique, du corps diplomatique, des élus ainsi que de l’ensemble des acteurs clés du secteur.
Selon Diabaté Kaladji, représentant du ministre de la Construction, avec la forte urbanisation que connaît la Côte d’Ivoire, le logement devient un enjeu social de premier plan, si on tient à préserver l’équilibre, la cohésion et le vivre ensemble entre les populations. Il se réjouit donc de l’opportunité offerte par ce salon placé sous le thème : « Habitat pour tous », de rassembler tous ensemble, l’administration publique, les organisations professionnelles du secteur, élus locaux et partenaires techniques et financiers pour réfléchir dans le cadre de débats ouverts et constructifs.
Il en a profité pour rappeler certains points clés des relevés de synthèse des panels. Il s’agit de la nécessité d’une production massive pour la réduction du déficit de logement. Cela passe par une densification de l’espace urbain en vue d’optimiser le foncier disponible et les investissements en voirie et réseau divers. Ce point paraît essentiel même si certaines contraintes techniques afférentes à la verticalité restent encore à surmonter par l’ensemble des acteurs du secteur.
Ensuite, la nécessité à prendre en compte systématiquement des notions de durabilité, de mixité sociale, de mobilité urbaine et d’efficacité énergétique dans la conception des quartiers et villes nouvelles à venir.
Ajouter à cela, le devoir d’un engagement responsable aussi bien des concitoyens que des pouvoirs publics pour mettre fin aux constructions anarchiques et non conformes qui constituent une menace, non seulement pour l’ordre urbain mais surtout pour la sécurité des populations.
Pour terminer, il a souligné la nécessité d’apporter des solutions concrètes à la problématique du financement de l’Habitat social autant pour le financement des promoteurs que des acquéreurs.
Ces différents points, le représentant du ministre l’a confirmé, s’intègrent dans la nouvelle vision stratégique du Ministère en matière d’habitat qui vise à promouvoir un accès plus large au logement. Et qui passe par une maîtrise du foncier, base de toute opération immobilière, une planification urbaine cohérente et durable.
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