Abidjan - Un symposium sur la place de la recherche des agglutines irrégulières (RAI) et l’hémovigilance dans la sécurité transfusionnelle en Afrique se tiendra, mardi, à Abidjan, a annoncé le directeur du Réseau d’Afrique Francophone pour le transfusion sanguine (RAFTS), Dr Konaté Seidou, lors d’une conférence de presse.
Dr Konaté a expliqué, lundi, au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) à Treichville que ce 6e symposium, qui aura lieu plus précisément à l’hôtel Pulmann, a pour objectif de faire l’état des lieux de l’allo-immunisation anti érythrocytaire dans les pays qui composent le RAFATS. Autrement dit, faire un tour d’horizon sur la question de la sécurisation des personnes transfusées.
Il s’agira d’établir la prévalence de l’allo-immunisation anti érythrocytaire, de répertorier les analyses immuno-hématologiques réalisées chez le donneur et le receveur de produits sanguins, de sensibiliser tous les pays du RAFTS et les participants aux bonnes pratiques de qualification biologique du don de sang.
Cette rencontre permettra également d’évaluer les recommandations du 4e symposium de 2017, proposer une stratégie commune pour les analyses immuno-hématologie dans les centres de transfusion sanguine et évaluer les systèmes d’hémovigilance des pays du réseau, a fait savoir Dr Konaté, par ailleurs directeur du CNTS.
Plus de 150 participants, issus des centres nationaux de transfusion sanguine de plus de 25 pays d’Afrique francophone, anglophone et lusophone, des experts d’Afrique, d’Europe et des partenaires au développement du secteur de la santé, sont annoncés à cet événement organisé avec l’appui du laboratoire Diagast.
Crée en avril 2006, en Algérie, le Réseau d’Afrique Francophone pour le transfusion sanguine (RAFTS) a pour but de promouvoir la discipline transfusionnelle en Afrique, contribuer à l’élaboration de politique de qualité de la sécurité transfusionnelle des pays d’Afrique et bien d’autres.
bsb/fmo
Dr Konaté a expliqué, lundi, au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) à Treichville que ce 6e symposium, qui aura lieu plus précisément à l’hôtel Pulmann, a pour objectif de faire l’état des lieux de l’allo-immunisation anti érythrocytaire dans les pays qui composent le RAFATS. Autrement dit, faire un tour d’horizon sur la question de la sécurisation des personnes transfusées.
Il s’agira d’établir la prévalence de l’allo-immunisation anti érythrocytaire, de répertorier les analyses immuno-hématologiques réalisées chez le donneur et le receveur de produits sanguins, de sensibiliser tous les pays du RAFTS et les participants aux bonnes pratiques de qualification biologique du don de sang.
Cette rencontre permettra également d’évaluer les recommandations du 4e symposium de 2017, proposer une stratégie commune pour les analyses immuno-hématologie dans les centres de transfusion sanguine et évaluer les systèmes d’hémovigilance des pays du réseau, a fait savoir Dr Konaté, par ailleurs directeur du CNTS.
Plus de 150 participants, issus des centres nationaux de transfusion sanguine de plus de 25 pays d’Afrique francophone, anglophone et lusophone, des experts d’Afrique, d’Europe et des partenaires au développement du secteur de la santé, sont annoncés à cet événement organisé avec l’appui du laboratoire Diagast.
Crée en avril 2006, en Algérie, le Réseau d’Afrique Francophone pour le transfusion sanguine (RAFTS) a pour but de promouvoir la discipline transfusionnelle en Afrique, contribuer à l’élaboration de politique de qualité de la sécurité transfusionnelle des pays d’Afrique et bien d’autres.
bsb/fmo