Abidjan, Des représentants d’administrations fiscales et douanières des pays l’Union monétaire ouest africain (UEMOA) planchent sur les stratégies d’évaluation des dépenses fiscales, dans le cadre d’un atelier d’échanges et de partage d’expériences, organisé du mardi au vendredi à Abidjan.
Ces assisses visent à renforcer les capacités des équipes nationales de ces administrateurs à partir des enseignements tirés des expériences concrètes menées par les pays de l’UEMOA et aussi de ceux du CREDAF. En plus des représentants des huit pays de l’UEMOA, des administrateurs d’Etats francophones membres du Cercle de réflexion et d’échanges des dirigeants des administrations fiscales (CREDAF) participent à cette rencontre.
Selon le directeur général des impôts, Ouattara Abou Sié, ces assises permettront d’apporter des réponses à certaine préoccupation « largement partagée » par les états de l’UEMOA.
Il s’agit de voir comment concilier les impératifs de mobilisation de recettes domestiques avec la volonté de l’Etat d’accompagner les entreprises, d’assurer l’efficacité des exonérations fiscales en faveur des entreprises et des ménages en terme de coûts / bénéfice, d’harmoniser l’octroi des avantages fiscaux, d’adapter le système fiscal à la réalité socio-économique dans une économie en pleine mutation.
Pour le représentant de l’UEMOA, Gustave Diasso, les plus hautes autorités de l’Union aspirent à la rationalisation des dépenses fiscales pour améliorer le niveau de mobilisation des recettes dans les Etats membres.
Cet atelier est organisé dans le cadre du Programme d’appui au renforcement des capacités institutionnelles de l’UEMOA (PARCI), en collaboration avec le ministère d’Europe et des affaires étrangères français, la Fondation pour les études et recherche sur le developpement international ( FERDI).
(AIP)
tad/kam
Ces assisses visent à renforcer les capacités des équipes nationales de ces administrateurs à partir des enseignements tirés des expériences concrètes menées par les pays de l’UEMOA et aussi de ceux du CREDAF. En plus des représentants des huit pays de l’UEMOA, des administrateurs d’Etats francophones membres du Cercle de réflexion et d’échanges des dirigeants des administrations fiscales (CREDAF) participent à cette rencontre.
Selon le directeur général des impôts, Ouattara Abou Sié, ces assises permettront d’apporter des réponses à certaine préoccupation « largement partagée » par les états de l’UEMOA.
Il s’agit de voir comment concilier les impératifs de mobilisation de recettes domestiques avec la volonté de l’Etat d’accompagner les entreprises, d’assurer l’efficacité des exonérations fiscales en faveur des entreprises et des ménages en terme de coûts / bénéfice, d’harmoniser l’octroi des avantages fiscaux, d’adapter le système fiscal à la réalité socio-économique dans une économie en pleine mutation.
Pour le représentant de l’UEMOA, Gustave Diasso, les plus hautes autorités de l’Union aspirent à la rationalisation des dépenses fiscales pour améliorer le niveau de mobilisation des recettes dans les Etats membres.
Cet atelier est organisé dans le cadre du Programme d’appui au renforcement des capacités institutionnelles de l’UEMOA (PARCI), en collaboration avec le ministère d’Europe et des affaires étrangères français, la Fondation pour les études et recherche sur le developpement international ( FERDI).
(AIP)
tad/kam