Un atelier de restitution des résultats de l’évaluation à mi-parcours des mesures d’accompagnement banane (MAB2012) a été organisé le jeudi 03 octobre dernier dans un hôtel à Abidjan, par la cellule de coordination de la coopération Côte d’Ivoire-Union européenne.
Cet atelier vient contribuer à améliorer l’efficacité de la cellule de coordination de ladite coopération, au regard de l’importance du financement dans la stratégie globale de développement de la filière banane dessert conformément, à son plan d’action opérationnelle 2019.
A toute fin utile, il faut souligner que depuis juin 2013, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un montant d’environ 30 milliards de F cfa (44,7 millions d’euros) de la part de l’Union européenne.
Ces mesures d’accompagnement de la filière banane sont une réponse concrète du partenariat au développement économique entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne, et à la réduction de la pauvreté.
Les MAB-2012 visent spécifiquement la gestion durable de la filière banane dessert par l’amélioration de la compétitivité, le développement des exploitations villageoises, la diversification commerciale, la préservation de l’environnement et surtout l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Cependant, six ans après sa mise en œuvre, plusieurs objectifs quantitatifs ont pu être atteints, notamment l’amélioration de l’outil de production dans les plantations et les stations de conditionnement, et l’appui à la certification d’un nombre important de sites de production de banane dessert.
A cela, il faut ajouter la réintroduction des petites unités de planteurs dans la filière, le développement du marché sous régional et surtout l’amélioration des conditions de vie des ouvriers et des entrepreneurs ruraux.
Ces travaux de restitution des résultats de l’évaluation à mi- parcours des Mesures d’accompagnement Banane (MAB2012) se sont déroulés sous la houlette du Coordinateur national de la cellule de coordination de la coopération CI/UE, Semon Bamba.
A ses côtés, Michel Laloge, Chef des opérations de coopération à la délégation de l’Union européenne et Marcel Goré Bi, directeur général des productions et de la sécurité alimentaire au ministère de l’Agriculture et du Développement rural. Etaient aussi présents plusieurs acteurs de la filière.
JOB
Cet atelier vient contribuer à améliorer l’efficacité de la cellule de coordination de ladite coopération, au regard de l’importance du financement dans la stratégie globale de développement de la filière banane dessert conformément, à son plan d’action opérationnelle 2019.
A toute fin utile, il faut souligner que depuis juin 2013, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un montant d’environ 30 milliards de F cfa (44,7 millions d’euros) de la part de l’Union européenne.
Ces mesures d’accompagnement de la filière banane sont une réponse concrète du partenariat au développement économique entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne, et à la réduction de la pauvreté.
Les MAB-2012 visent spécifiquement la gestion durable de la filière banane dessert par l’amélioration de la compétitivité, le développement des exploitations villageoises, la diversification commerciale, la préservation de l’environnement et surtout l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Cependant, six ans après sa mise en œuvre, plusieurs objectifs quantitatifs ont pu être atteints, notamment l’amélioration de l’outil de production dans les plantations et les stations de conditionnement, et l’appui à la certification d’un nombre important de sites de production de banane dessert.
A cela, il faut ajouter la réintroduction des petites unités de planteurs dans la filière, le développement du marché sous régional et surtout l’amélioration des conditions de vie des ouvriers et des entrepreneurs ruraux.
Ces travaux de restitution des résultats de l’évaluation à mi- parcours des Mesures d’accompagnement Banane (MAB2012) se sont déroulés sous la houlette du Coordinateur national de la cellule de coordination de la coopération CI/UE, Semon Bamba.
A ses côtés, Michel Laloge, Chef des opérations de coopération à la délégation de l’Union européenne et Marcel Goré Bi, directeur général des productions et de la sécurité alimentaire au ministère de l’Agriculture et du Développement rural. Etaient aussi présents plusieurs acteurs de la filière.
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