Abidjan- Quelque 464 dossiers de mise à disposition ont reçu un avis favorable du ministère de la Fonction publique sur un total de 3.996 demandes formulées, soit 12%, a révélé, jeudi, à Abidjan, le directeur de la gestion administrative des personnels civils de l’Etat, Kouassi Adlès Francis, se prononçant sur «La mobilité professionnelle : conditionnalités et mise en œuvre dans l’administration publique », au cours de la 2ème édition du petit déjeuner de la Fonction publique.
M. Kouassi a précisé que les mouvements d’un ministère à un autre (mise à disposition) relevaient de l’accord conjoint des responsables des ressources humaines (structure d’accueil, structure d’origine) et de la décision du ministère de la Fonction publique.
A l’en croire, plusieurs constats ont révélé que de nombreux fonctionnaires ayant entamé les procédures de mise à disposition non encore achevées abandonnent leurs postes de travail dans la structure d’origine. De même que certains agents ayant émis le vœu de rejoindre une autre structure sont sortis des fichiers de personnels de la structure d’origine. «Ces différentes situations créent un important vivier de fonctionnaires payés sans pour autant occuper un poste de travail », a-t-il déploré.
Le ministre de la Fonction Publique a donc pris depuis 2018 des mesures en vue de mieux organiser les procédures de mise à disposition des agents publics. Il s’agit dans un premier temps que le chef de service et le directeur des ressources humaines de la structure d’accueil et d’origine donnent leurs avis avant la validation de la demande par la Fonction publique.
Pour éviter les procédures devant le conseil de discipline, le directeur de la gestion administrative des personnels civils de l’Etat a conseillé aux fonctionnaires désireux d’engager une demande de mobilité de s’informer sur ces différentes dispositions en liaison avec la direction des ressources humaines de leur ministère.
bsp/ask
M. Kouassi a précisé que les mouvements d’un ministère à un autre (mise à disposition) relevaient de l’accord conjoint des responsables des ressources humaines (structure d’accueil, structure d’origine) et de la décision du ministère de la Fonction publique.
A l’en croire, plusieurs constats ont révélé que de nombreux fonctionnaires ayant entamé les procédures de mise à disposition non encore achevées abandonnent leurs postes de travail dans la structure d’origine. De même que certains agents ayant émis le vœu de rejoindre une autre structure sont sortis des fichiers de personnels de la structure d’origine. «Ces différentes situations créent un important vivier de fonctionnaires payés sans pour autant occuper un poste de travail », a-t-il déploré.
Le ministre de la Fonction Publique a donc pris depuis 2018 des mesures en vue de mieux organiser les procédures de mise à disposition des agents publics. Il s’agit dans un premier temps que le chef de service et le directeur des ressources humaines de la structure d’accueil et d’origine donnent leurs avis avant la validation de la demande par la Fonction publique.
Pour éviter les procédures devant le conseil de discipline, le directeur de la gestion administrative des personnels civils de l’Etat a conseillé aux fonctionnaires désireux d’engager une demande de mobilité de s’informer sur ces différentes dispositions en liaison avec la direction des ressources humaines de leur ministère.
bsp/ask